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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

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mercredi 27 septembre 2017

Dr. X - Robert Dinesen - 1915


Gunnar Tolnæs


Dans une faculté de médecine, deux jeunes docteurs se font concurrence pour découvrir un sérum pour lutter contre le cancer. L'un d'eux, Malvolio, a davantage de succès avec les femmes que de succès scientifiques, l'autre, Kamper, est considéré comme un génie et ses recherches sont suivies de près par le monde scientifique et la presse.
Malvolio est jaloux du succès de Kamper mais celui-ci envie son collègue car il lui semble heureux et bon vivant. Ainsi Kamper va trouver Malvolio qui élabore une stratégie sans faille pour annihiler les progrès du pauvre garçon.
Depuis sa fenêtre il lui montre Margaret, une jeune femme venue se baigner avec un étudiant en médecine, Seidel, qui monte la garde tandis qu'elle barbote dans l'eau, vêtue des pieds à la tête. Son frère qui la chaperonne, le Lieutenant Vincent, vient retrouver les deux jeunes gens.
Malvosio fait croire à Kamper qu'il peut obtenir la jeune femme facilement et celui-ci suit ses conseils. Pour commencer le diabolique Malvosio emmène son nouvel ami chez le barbier. Après une restauration de façade, il l'accompagne au casino où il lui conseille de jouer noir et impair, car tout le monde sait que c'est la combinaison gagnante. En effet Kamper gagne et fait sauter la banque.
Plus tard, à une soirée dansante, Malvosio aide Kamper à rencontrer Margaret qui se montre tout d'abord réticente face ce jeune homme trop entreprenant. Pour l'aider à se retrouver seul avec la pauvre fille, Malvosio détourne Vincent et Seidel.
Puis Kamper fait envoyer un bijou à Margaret et enfin Malvosio occupe la tante de Margaret afin que Kamper puisse à nouveau se retrouver seul avec sa proie qui ne tarde pas à tomber dans le piège de l'amour, d'autant plus facilement que son frère Vincent a été muté dans une autre garnison et que le champs est libre.

Dès lors Kamper fait sa cours assidument et bientôt la jeune femme se retrouve enceinte.  A sa lettre annonçant la nouvelle à l'homme qu'elle aime, un chèque lui revient en retour. La jeune femme est désespérée et son frère demande réparation. Malvosio apprend l'escrime à Kamper qui affronte en duel Vincent le lendemain. 
Vincent est mortellement touché, avant de mourir il a juste le temps de dire à sa soeur que seule sa vie pouvait réparer le déshonneur fait à leur famille  : "Quand tu as détruit notre honneur, Greta, tu m'as infligé une blessure bien pire que celle-ci, qui m'apporte la mort".
Le Dr Kamper se dénonce à la police et écope de 5 ans de prison bien vite mués à 5 mois pour cause de pardon.
Le Dr Malvosio reprend secrètement les recherches scientifiques de Kamper et continue à faire mener une vie de débauche à son pseudo ami. 
Tandis que Margaret dépérit à la clinique, Kamper sort et s'amuse. Mais un soir la triste réalité lui revient en tête comme un boomerang et il décide d'aller trouver Margaret à l’hôpital où on lui annonce le décès de la jeune femme, ainsi que celui du bébé ...

Carlo Wieth


Conclusion : Les génies peuvent être aussi cons que les autres !
Une histoire terrible qui semble être basée sur le mythe de Faust. En ce temps là on ne plaisantait pas avec la morale et l'honneur mais Méphistophélès rode toujours. L'histoire va dramatiquement finir, comme il se doit pour bien nous mettre en garde contre les agissements du diable. Comme dans le célèbre roman de Goethe, le Dr Kamper sera damné à la fin, ceci même si il a cherché sa rédemption en tentant de revenir auprès de l'innocente Margaret.

Je n'ai trouvé aucune photo de ce film pour illustrer ce poste.

Le film a été restauré en 1992 par Mark-Paul Meyer avec le soutien du Danske Film Museum à Copenhague.

aussi connu sous le titre Doktor X
USA The Folly of Sin
World-wide (English title) The Master Physician

55 minutes

  Gunnar Tolnæs                 Dr Malvosio
Carlo Wieth ...
Dr. Felix Kamper
Johanne Fritz-Petersen ...
Margaret
Henry Seemann ...
Vincent
Betzy Kofoed ...
Sara
Arne Weel ...
Seidel
Ellen Møller ...
Maid
 

Johanne Fritz-Petersen

jeudi 23 février 2012

Himmelskibet - Holger-Madsen - 1918



Nils Asther ...
Martian citizen
Philip Bech ...
Martian leader - wise man
Alf Blutecher ...
Dr. Krafft, Avantis' friend
Frederik Jacobsen ...
Professor Dubius
Lilly Jacobson ...
Marya, Martian leader's daughter
Svend Kornbech ...
David Dane, american
Nicolai Neiiendam ...
Professor Planetaros, astronomer
Alfred Osmund ...
Martian priest
Zanny Petersen ...
Corona, Avanti's sister
Gunnar Tolnæs ...
Avanti Planetaros, sea captain


97 minutes
autre titre : 400 Million Miles from Earth

Ne vous méprenez pas, Nils Ashter figure peut-être en tête des acteurs ci-dessus mais il n'apparait que quelques secondes. Le héros de ce film est Gunnar Tolnæs !

Avanti, le fils du professeur Planetaros revient d'une glorieuse mission en mer. Son père lui donne l'envie de progresser et de découvrir l'univers et Avanti s'initie à l'aviation. Un jour il revient bouleversé car il a volé plus haut que quiconque à ce jour et entrevoit une possibilité de voler jusqu'à mars. Son père soutient le projet ainsi que le Dr Krafft, amoureux de sa sœur Corona.
Au bout de deux ans le vaisseau spatial (Himmelskibet) ou plutôt l'engin spatial est construit et il ne reste plus qu'à trouver un équipage. 
Le capitaine Avanti organise une soirée pour les téméraires qui désireraient tenter l'aventure et le professeur Dubius tente de semer le doute comme son nom l'indique. Après des adieux aux siens, le vaisseau décolle en direction de la planète mars vers laquelle il se dirige à 12'000 km à l'heure.
Après 6 mois le vaisseau vogue toujours en direction de Mars et les hommes se découragent dans la nuit (!) qui les entoure. Alors qu'une mutinerie se prépare Avanti et le Dr Krafft prévenus par l'un d'eux se préparent à défendre chèrement leurs vies. Mais sur Mars ils sont repérés et les Martiens accélèrent leur arrivée. Le vaisseau atterrit dans la liesse générale, une population tout de blanc vêtue les accueille avec gentillesse. Les notables parviennent à communiquer par la transmission de pensée et leur présentent leur planète. Dans un jardin ils font goûter aux voyageurs les fruits locaux et les terriens apportent des échantillons en provenance de la terre, une bouteille de chianti qui provoque une grimace et une boîte de viande qui dégoute profondément le sage qui demande alors comment ils font pour manger de la viande. Avanti se méprenant sur la question prend alors son revolver et abat un oiseau qui passe provoquant ainsi un mouvement de panique car des milliers d'années étaient passés sans qu'un coup de feu soit tiré sur Mars. La foule se dirigeant en courant vers eux, le Dr Krafft lance une grenade et un jeune homme s’effondre ...

Les martiens déclarent alors qu'il leur faut se rendre dans la maison des jugements ...



Je m'arrête là pour ne pas en dire plus sur cet excellent film sorti le 22 février 1918, soit 94 ans jour pour jour avant que je n'aie la chance de le voir.
Les films qui apportent de l'espoir même s'il peuvent paraitre naïfs m'émeuvent. Je trouve simplement réconfortant de partager ce sentiment avec d'autres personnes, égale l'époque à laquelle elles ont vécu. Là je suis tombée sous le charme de ce film truffé d'images symboliques. Je n'y ai pas vu, comme certains l'ont relevé, d'images racistes.

On ne peut manquer remarquer que les protagonistes portent des noms qui reflètent leur personnalité : ainsi Avanti va de l'avant, Planetaros garde un œil vers l'univers et donc démontre une ouverture d'esprit peu commune, le Dr Krafft produit de l'énergie et donne l'élan nécessaire, le professeur Dubius apporte ses doutes et donc manque de foi dans le projet qu'il tente de saboter, Marya représente bien sûr la pureté et l'innocence, et Corona est la constellation de la couronne et donc la noblesse de son esprit ne peut nous échapper. David Dane pourrait représenter le commun des danois ou des terriens par extrapolation, le film étant danois et Dane voulant dire danois en anglais (mais là je m'avance). Leur vaisseau s'appelle l'Excelsior.

L'histoire est fort simple : l'aventure de quelques personnes ayant la foi en leur projet qu'ils mènent à son terme et, malgré les quolibets de ceux qui n'y croient pas, ils ne se découragent pas. Une fois le vaisseau parti, le doute assaille les plus faibles qui se regroupent et qui tentent de se rassurer en prenant le contrôle de la machine dans l'obscurité ou les ténèbres sidérales qui les entourent.
Les martiens représentent l'idéal humain et ça fait chaud au cœur de les voir emplis d'amour et simples. Les terriens vont assister à la danse des vierges, aux coutumes locales toutes emplies de beauté et d'amour. Ils vont faire le serment de ne plus jamais faire couler le sang (on est en 1918 et la fin de la première guerre mondiale approche - pour mémoire L'armistice sera signé le 11 novembre 1918 tôt le matin et marquera la fin des combats, le Danemark étant resté un état neutre).

Les martiens ont des années d'avance sur les terriens, ils savent vivre en bonne entente les uns avec les autres après avoir connu la violence. Les sages meurent avec reconnaissance pour la vie qu'ils ont menée et s'en vont le coeur empli de bonheur. Aucun jugement n'est porté par une tierce personne, celles qui commettent de mauvaises actions sont priées de se juger elles-mêmes consciemment.
Bien sûr Avanti tombe amoureux de la belle Marya. Lorsqu'il lui déclare son amour celle ci l'installe sous un arbre du songe ce qui lui permettra de savoir si elle doit s'unir avec lui. La scène de l'union est particulièrement douce et tendre. D'ailleurs une bonne partie du film l'est, doux et tendre.
Gunnar Tolnæs est un homme magnifique qui possède une jolie prestance. Un visage très beau au profil très masculin, il a de plus de belles mains déliées. Ses expressions sont assez théâtrales dans ce film. Lilly Jacobson sourit avec douceur tout au long du film. La sensation de douceur est accentuée par les voiles vaporeux qu'elle porte et par ses longs cheveux soyeux dans lesquels des reflets de lumière se perdent. 
Les terriens arrivent en combinaison de cuir sombre, portent des revolvers et des grenades et se munissent de masque à gaz pour débarquer avant de réaliser que l'air est tout à fait respirable. Une fois leur conversion effectuée ils recevront la cape blanche de l'innocence.
Tout cela est certes un peu théâtral  mais cela ne nuit toutefois pas au sens profond de ce film qui est un régal pour les yeux et pour le cœur.
Si comme le professeur Dubius vous ne croyez pas aux aventures qui dépassent notre entendement  - passez votre chemin. Si l'utopie ou la quête d'un idéal ne vous font pas peur ou si vous avez gardé une âme d'enfant friande de contes, ce film devrait vous plaire !



Sur Mars, même les fleurs vont se coucher ...







Attention la musique de cet extrait n'est pas la musique du DVD que vous pouvez obtenir au film & kunst GmbH, Edition Filmmuseum  http://www.edition-filmmuseum.com/




dimanche 19 février 2012

Geschlecht in Fesseln - William Dieterle - 1928


William Dieterle ...
Franz Sommer (as Wilhelm Dieterle)
Gunnar Tolnæs ...
Fabrikant Rudolf Steinau
Mary Johnson ...
Helene - Sommers Frau
Paul Henckels ...
Helenes Vater - der Geheimrat
Hans Heinrich von Twardowski ...
Alfred
Gerd Briese ...
Der Staatsanwalt
Hugo Werner-Kahle ...
Der Abgeordnete
Carl Goetz ...
Strafgefangener #1 (as Karl Goetz)
Friedrich Kurth ...
Strafgefangener #2
Arthur Duarte ...
Strafgefangener 3

107 minutes
 Titre anglais : Sex in Chains
Titre français :  Sexes enchaînés

La crise économique, à Berlin. Franz Sommer (Dieterle) cherche du travail pendant que sa femme Helene (Johnson) fait tout ce qui est en son pouvoir pour garder les apparences d'un couple qui vit sans souci surtout auprès de son père. Franz finit par dégotter un job de démonstrateur d'aspirateurs en faisant du porte à porte, il est payé au lance pierre à la commission. Helene se résout à travailler le soir en vendant des cigarettes dans un café. Un soir un client l'importune et au cours de l'altercation Franz repousse le client qui s'assomme en tombant. Franz est emmené dans un centre de détention. Durant les quelques jours avant le jugement il fait la connaissance d'un autre détenu Steinau (Tolnæs) avec lequel il sympathise. Celui-ci est relâché et promet de s'occuper d'Helene à laquelle il propose du travail. Peut de temps après Franz est condamné à trois ans de prison car le client blessé est finalement décédé, il est transféré en prison et découvre ses codétenus et la cellule...



 Un film courageux qui traite du manque de relations - sexuelles principalement - durant la détention en général. Le sujet est bien traité avec énormément de délicatesse et des images très parlantes. Le scénario est tiré d'un livre écrit par Franz Höllering, un homme qui a vécu lui-même cette situation semble-t-il. Plusieurs choses interpellent : la première c'est que la cellule n'est pas aussi horrible qu'on aurait pu se l'imaginer. Une fenêtre peut s'ouvrir, des dessins au pochoir ornent les murs, les lits sont corrects et les prisonniers s'occupent à créer des animaux de bois. Certains prisonniers s'en sortent plutôt bien grâce à leur imagination, d'autre ne peuvent concevoir vivre sans les bras de leur aimée et pètent un câble.
Le film est particulièrement notable car il aborde la question de l'homosexualité par petites touches sensibles dès l'arrivée d'un prisonnier gay (mais qui n'a aucun des comportements caricaturés habituellement) ce qui va permettre à Franz d'ouvrir une porte en empêchant la frustration de le détruire. Franz trouve donc en Alfred une raison de vivre, ou au moins de survivre (une scène étonnante : pendant le prêche d'un pasteur du haut de sa chaire, les prisonniers écoutent plus ou moins, certains visiblement indifférents, d'autres intéressés, pendant qu'Alfred écrit leurs noms, Alfred et Franz entourés d'un trait de plume sur son livre de cantiques et lui le montre ...)
Pendant que Franz est emprisonné Helene travaille chez Steinau qui tombe amoureux d'elle mais jamais ne lui fait d'avances car il la respecte trop ainsi que Franz. Lorsqu'Helene désespérée par l'image de Franz qu'elle voit partout et qu'elle ne sait comment affronter un soir le retrouve, on comprend qu'elle et Steinau passent la nuit ensemble.
J'avoue avoir été surprise par la fin : j'imaginais qu'Helene et Franz restaient fidèles par respect et honneur et qu'une fois face à face et confrontés à eux-mêmes, ils auraient une chance de retrouver une nouvelle vie ou de reprendre leur ancienne vie. Or ce n'est pas le cas. Le réalisateur nous montre que ces voies ne sont pas prises en compte et préfère une solution drastique sans compromis.

Tous les acteurs sont excellents mais j'avoue avoir eu un faible pour Gunnar Tolnæs, un acteur norvégien qui se montre d'une grande sobriété avec un jeu d'une grande finesse.

J'ai trouvé ce film touchant par certains côtés, par ailleurs il est parfois trop esthétique (soigné ou travaillé ?)  ce qui le rend presque un peu artificiel (sans que cela ne nuise vraiment au fond abordé). Le final ne laisse aucun doute sur le drame que vivent tous les protagonistes car personne ne sort indemne : Steinau reste malheureux après avoir pensé recommencer une nouvelle vie avec Helene, Alfred se retrouve seul et triste, Franz et Helene se suicident au gaz ...
Ce film n'a donc rien d'un film gay car le message final démontre qu'on ne peut vivre isolés loin de ceux qu'on aime (égale l'appartenance) surtout si l'on est un jeune couple tel celui qui nous est présenté. D'autre part le suicide final indique plutôt une auto condamnation commune aux deux protagonistes qui ne peuvent vivre en sachant qu'ils ont dévié d'une course qu'ils croyaient tous deux pouvoir poursuivre en décidant de vivre en commun. Il y a donc aussi une notion de manque d'adaptation, bien sûr liée au temps et à l'époque où toute déviance était fortement condamnée par l'opinion publique. Donc on peut on conclure qu'il s'agit principalement un film militant les droits humains. 

On trouve ce film chez Kino, magnifiquement rendu, comme toujours !

 Gunnar Tolnæs

Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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