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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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mercredi 21 octobre 2020

Maytime - Louis J. Gasnier - 1923



C'est le printemps. Laissant libre cours à ses émotions, Ottilie Van Zandt chante en s'accompagnant au piano pour le jardinier dont elle est follement amoureuse, Richard Wayne.
Celui-ci se rapproche de la fenêtre pour mieux entendre sa bien-aimée. 
Le monde sourit et même le cousin Matthieu s'émeut devant la lingerie féminine qui sèche dehors au soleil.
Malheureusement la tante Mathilda veille au grain. En tant que jeune héritière promise à un brillant mariage, Ottilie a l'interdiction de voir Dick et bientôt son promis, son cousin Claude arrive à la maison, sûr de lui et hautain. Le Colonel Van Zandt l'accueil avec faste. Une garden party est donnée dans le jardin et Alice Tremaine, une amie d'Ottilie confie son attelage au jardinier qu'elle aime elle-aussi.
Ottilie et Richard s'esquivent et plantent au pied d'un arbre deux objets leur appartenant en guise de preuve d'amour éternel. Cousin Claude et furieux et le Colonel flanque dehors le jardinier qui promet de revenir avec de la fortune et une position sociale.
Un an plus tard, alors qu'il revient riche comme il l'avait prédit, il se présente à la maison mais arrive trop tard car Ottilie a épousé son cousin sous la contrainte de son père.

Dick est dévasté et se rapproche de la jeune femme mais quand le scandale est sur le point d'éclater, il fait croire qu'il est venu annoncer ses fiançailles avec Alice Tremaine, qui l'a toujours aimé.

En conséquence, les deux amoureux vivent donc chacun leur vie de couple loin de l'autre. Ainsi ils ont des enfants, puis des petits enfants. lorsque le cousin Claude a dilapidé la fortune Dick rachète la maison d'Ottilie afin que sa vieille amie puisse y finir ses jours. Son petit fils fait alors la connaissance de la petite fille d'Ottilie ...



Je ne sais pas si c'est l'absence de fin mais ce film manque cruellement de ressort. J'avoue que je ne suis pas non plus une grande fan d'Harrison Ford que je trouve fade et peu expressif, sa palette d'expressions étant très limitée à mon avis.  Ethel Shannon est attractive et vive, de même Clara Bow qui a fait ses débuts l'année précédente.



51 minutes (il manque la fin qui nous est expliquée)

Ethel Shannon ... Ottilie Van Zandt
Harrison Ford ... Richard Wayne
William Norris ... Matthew
Clara Bow ... Alice Tremaine
Wallace MacDonald ... Claude Van Zandt
Josef Swickard ... Colonel Van Zandt
Martha Mattox ... Mathilda
Betty Francisco ... Ermintrude
Robert McKim ... Monte Mitchell
Julie Bishop ... Little Girl (as Jacqueline Wells)
Pat Wing ... Little Girl (as Madison Wing)



jeudi 5 décembre 2013

Red Signals - J.P. McGowan - 1927


En moins de deux mois 5 trains de la Western Limited Railroad ont été accidentés et pillés. Le superintendant de Central City Frank Bennet mène l'enquête et se rend sur place (il attend quand même longtemps je trouve !). 
Lafe et Jim sont les bandits qui opèrent sous le couvert d'employés de la compagnie. Peu de temps après, Jim découvre des passagers clandestins qu'il tente de faire arrêter. Lorsque le train stoppe enfin il apparait que l'un des vagabonds est le frère de Frank, Lee. Celui-ci est en fait un détective qui travaille incognito de mèche avec son frère. Lee fait la connaissance de la jolie fille d'un conducteur, Mary Callahan mais il semble que Jim tienne à faire croire que la demoiselle lui est promise...


Rien de transcendant ni d'original dans l'histoire contée, par contre les amateurs de trains trouveront grand plaisir à voir ce film bourré de scènes de trains roulant à toute vapeur dans un nuage de fumée noire.
Le réalisateur J.P. McGowan se trouve devant et derrière la caméra puisqu'il est aussi l'acteur incarne le bandit. Le détective Lee Bennet (pourquoi donc est-ce écrit Bryson sur IMDB ?) fait figure de crevette face au gabarit de McGowan...

Les intertitres sont plutôt marrants, du style "il y a toujours un restaurant du genre de la Fourchette graisseuse, souvent on le trouve à côté des pompes funèbres locales" ... ou bien en présentant le personnage de Frank Rice "Il n'y a sur terre que deux exemplaires comme lui, le deuxième est appelé girafe" ...Bref, c'est un film qui se laisse regarder !

La version de Encore Home Video n'est pas mauvaise du tout ! On trouve aussi ce film chez Grapevine Video.
Pour les amateurs de train de l'époque, la liste de quelques films muets disponibles : http://www.silentera.com/video/info/railroadFilms.html


Wallace MacDonald ...
Lee Bryson
Earle Williams ...
Mark Bryson
Eva Novak ...
Mary Callahan
J.P. McGowan ...
Jim Twyler
Sylvia Ashton ...
Opal Summers
William F. Moran ...
Lafe Reeves (as William Moran)
Robert McKenzie ...
Tim Callahan
Billy Franey ...
One-Round Hogan
Frank Rice ...
The Professor

eee

lundi 10 septembre 2012

Lightnin' - John Ford - 1925


Jay Hunt ...
William 'Lightnin' Bill' Jones
Wallace MacDonald ...
John Marvin
Richard Travers ...
Mr. Raymond Thomas
J. Farrell MacDonald ...
Judge Lemuel Townsend
Otis Harlan ...
Zeb
Edythe Chapman ...
Mrs. Bill Jones
Madge Bellamy ...
Miss Millie Jones
Ethel Clayton ...
Margaret Davis
Brandon Hurst ...
Everett Hammond
James A. Marcus ...
Sheriff Blodgett (as James Marcus)

104 minutes
Scénario Frances Mariond'après une pièce de Frank Bacon

Madame Bill Jones est la propriétaire d'un hôtel appelé le Calineva (à moins que ce soit l'inverse) qui se situe pile poil sur la frontière du Nevada et de la Californie ce qui a de nombreux avantages. Son mari Lightin' comme son nom ne l'indique pas est un gars d'un certain âge qui ne se fatigue pas trop et dont le seul intérêt semble être de boire des verres avec son vieux copain Zeb. Grâce à un chien particulièrement malin ils réussissent tous deux à échapper aux foudres de Madame et à se procurer des bouteilles pendant que la pauvre femme et leur fille adoptive Millie nettoient la maison et s'occupent des clients peu nombreux. En effet seul un juge et une jeune femme venue pour divorcer s'y trouvent.
Non loin de là se trouve la cabane de John Marvin, un jeune avocat poursuivit par le shérif car une entreprise douteuse a des vues sur ses terres pour construire le chemin de fer et la vente bien qu'ayant eu lieu n'est pas validée car la Golden Enterprise n'hésite pas à faire acheter des propriétés contre des fausses actions. Justement Monsieur Thomas vient pour établir un contrat de vente avec Madame Jones. Mis au courant par son mari, John tente de les prévenir contre la malhonnêteté du groupe mais Madame Jones ne le croit pas et ne comprend pas que son mari refuse de contresigner l'acte et Millie prend le jeune homme de haut ...



Lightnin' n'est pas rapide, l'action non plus. Divisé en trois parties, une où les deux vieux amis ne pensent qu'à leur bouteille, la deuxième dans l’hôtel avec John Milton et Lightnin' qui refuse de signer le document de vente et la troisième partie dans le tribunal, ce long film ne tient pas trop la route.
 
On commence à s'ennuyer assez vite jusqu'à ce que le jeune avocat fasse son apparition.
Ensuite le film prend des tournures comiques avec John Marvin qui saute d'un côté ou de l'autre de la limite des États dans l’hôtel pour narguer et échapper au shérif. 
Puis on passe au côté larmoyant de la plaidoirie de Lightnin' pour récupérer sa femme et lui faire entendre raison. Pour ce faire les grands moyens sont utilisés, Lightnin' est un ancien combattant, il boite et fait des yeux de cocker, il a l'air bien gentil et pas très malin ... mais la sauce ne prend pas, ça ressemble dans le fond plutôt à un plaidoyer pour les gens gentils qui n'en foutent pas une. Désolée mais je ne suis pas d'humeur en ce moment !

Pourtant les acteurs sont loin d'être mauvais (le chien est d'ailleurs excellent !), il est juste bien dommage que ce film n'ait pas de sens. Au final le spectateur n'a même pas la satisfaction de voir les escrocs arrêtés pour malversation même s'ils seront bien arrêtés, mais uniquement parce qu'ils ont tenté de pousser Madame Jones à mentir un peu pour obtenir le divorce. C'est donc davantage une farce qu'un film sérieux, mais l'humour est bien dépassé ...



mercredi 8 août 2012

Primrose Path (The) - Harry O. Hoyt - 1925




Wallace MacDonald ...
Bruce Armstrong
Clara Bow ...
Marilyn Merrill
Arline Pretty ...
Helen
Stuart Holmes ...
Tom Canfield
Pat Moore ...
Jimmy Armstrong
Tom Santschi ...
Big Joe Snead
Lydia Knott ...
Mrs. Armstrong
Templar Saxe ...
Dude Talbot


60 minutes

Bruce (MacDonald) est un jeune playboy qui suit le chemin de la facilité (Primrose Path). Le soir il sort, boit et joue. Son alcoolisme a déjà provoqué un accident qui a rendu son petit frère Jimmy (Moore) handicapé d'une jambe. Malgré tout, les deux garçons restent proches de leur mère aimante (Knott).
Tom Canfield (Holmes) est un tricheur qui possède une boîte de nuit qui rencontre un joli succès. Il ne tarde pas à se rendre compte que les reconnaissances de dettes signées par Bruce sont des faux. Il propose donc à Bruce de lui rendre un petit service. Il s'agit d'aller au port rencontrer Dude Talbot (Saxe), un contrebandier qui apporte des diamants par bateau. Comme tous les hommes de la bande sont surveillés, Bruce a de bonnes chances de pouvoir s'approcher de Dude pour échanger sa canne qui contient les diamants au nez et à la barbe des agents fédéraux qui soupçonnent Dude. Son homme de main Snead (Santschi) fait diversion pour faciliter l'opération.
Alors que les diamants sont rapportés à Canfield une altercation éclate entre lui et Snead qui lui donne un magistral coup de poing. En tombant Canfield se tue sur les chenets de la cheminée. Dude et Snead prennent la fuite et Bruce ne doit son salut qu'à la présence d'esprit de Marilyn (Bow), la star de la boîte qui l'entraine dans sa loge. Plus tard, Snead se rend chez Bruce pour récupérer les diamants qui ont été escamotés par Dude lors de l'accident. Il ne croit pas un mot des explications données par Bruce et les deux hommes se battent violemment. En désespoir de cause, Bruce sort un revolver et abat Snead.
Il est aussitôt arrêté ....



Ce film que l'on peut trouver édité chez Synergy Archive Series n'a pas une image très nette. Comme l'action est constante ce n'est pas trop dérangeant. La musique d'accompagnement n'est pas mauvaise non plus. Le petit Pat Moore apporte beaucoup au film grâce à sa présence très attachante.
Wallace MacDonald est un acteur séduisant qui a beaucoup tourné, dans de nombreux genres de films.
Clara Bow se montre sous l'aspect d'une chic fille qui fera tout ce qu'elle peut pour aider l'homme qu'elle aime. Lydia Knott est le genre de femme que vous souhaiteriez comme mère. Un air de grande douceur et de gentillesse, un peu du genre d'Edythe Chapman.
Tom Santschi est toujours imposant dans sa manière de traiter ses rôles. Sûr de lui et possessif, il incarne avec sérieux et autorité un homme qui sait où il va. Le nom du bateau sur lequel se trouve Dude et les diamants est le LUCERNE. Étonnant, ce n'est pas un nom de bateau usuel. Je me demande si ce n'est pas Tom Santschi qui aurait soufflé ce nom, lui qui est né dans cette ville en 1878 ? Un acteur pionnier du cinéma mort prématurément en 1931 à l'age de 50 ans à la filmographie impressionnante.
Je ne sais pas qui joue le rôle du chorégraphe des danses des filles de la boîte de nuit, mais il est excellent. Ses mimiques sont parfaitement compréhensibles et drôles !

Bref, il y a de l'action et aussi des scènes touchantes : le petit frère comme mentionné plus haut et des détails simples mais assez percutants (la tranche de gâteau d'anniversaire qui attend Bruce avec une petite bougie ou le petit garçon qui tente de remonter le moral de son frère en prison et qui fait croire qu'il n'a plus besoin de l'appareillage qui l'aide à marcher) il y a des acteurs hors pairs (pour s'en convaincre il suffit de regarder Clara Bow les yeux pleins de larmes en regardant l'homme qu'elle aime sur le point de s'enfoncer dans l'illégalité ou Lydia Knott fière de ses deux garçons et qui reste digne quoi qu'il arrive, sans parler des acteurs mentionnés plus haut !)

samedi 30 avril 2011

Lady (The) - Frank Borzage - 1925



Brandon Hurst ...
St. Aubyns Sr
Norma Talmadge ...
Polly Pearl
Paulette Duval ...
Madame Adrienne Catellier
Emily Fitzroy ...
Madame Blanche
Johnny Fox ...
Freckles (as John Fox Jr.)
Alfred J. Goulding ...
Tom Robinson
George Hackathorne ...
Leonard Cairns
John Herdman ...
John Cairns
Ed Hubbell ...
London Boy (as Edwin Hubbell)
Doris Lloyd ...
Fannie St. Clair
Walter Long ...
Blackie
Wallace MacDonald ...
Leonard St. Aubyns
Miles McCarthy ...
Mr. Graves
Marc McDermott ...
Mr. Wendover
Margaret Seddon ...
Mrs. Cairns


96 minutes (en théorie car il manque quelques extraits)

Adapté par Frances Marion d'après Martin Brown

Dans un café du port de Marseille, deux militaires passablement éméchés entrent : le plus âgé des deux se montre grossier et bouscule les clients ainsi que la patronne du café, Polly Pearl (Talmadge), une femme d'un certain âge. Celle-ci raconte à un gentleman qu'elle a rêvé, il y a bien longtemps, d'être une Lady ...
Flash back : plus d'une vingtaine d'année auparavant, elle était la reine du music-hall londonien, la "Girl with the Glad Eye". Très courtisée, elle finit par épouser l'un de ses plus fidèles admirateurs Saint Aubyns, (McDonald) un aristocrate que son père va déshériter. Le couple voyage à Monte Carlo et flambe toute la fortune qui leur restait. Saint Aubyns se lasse de sa femme roturière et s'affiche maintenant avec une jeune aristocrate. Outrée Polly va empoigner sa rivale et la rouer de coups. Horrifié, Saint Aubyns va répudier sa femme en la traitant grossièrement.
Plus tard on retrouve Pearl qui a accouché d'un petit garçon qu'elle baptisera Leonard et qu'elle cherira comme la prunelle de ses yeux dans un bouge marseillais tenu par Madame Blanche (Fitzroy). Elle travaille comme chanteuse au milieu de clients malfamés. Un soir le père Saint Aubyns fait son apparition, muni d'un papier officiel indiquant que Polly est dans l'incapacité d'élever son petit fils. Son fils étant maintenant décédé, il exige de récupérer le bébé. Polly, désespérée confie Leonard à Mme Cairns la femme d'un révérend anglais en lui faisant promettre de ne jamais révélé l'identité de sa mère.
 Polly maintenant de retour à Londres arpente les trottoirs de Londres en vendant des petits bouquets de fleurs. "Hope is slow to die" : elle croit voir dans chaque enfant son fils Leonard. 
Bien plus tard, le destin lui sourit à nouveau : Madame Blanche lui lègue son café marseillais. Retour au départ :  le plus âgé des deux militaires se querelle avec un marin. Le plus jeune (Hackathorne) tente de s'interposer, abat accidentellement son compatriote puis tombe évanoui. Penchée au-dessus du jeune homme Polly découvre, grâce à la plaque d'identité militaire attachée à son poignet, qu'il s'agit de son propre fils ...



Je le dis sans honte, j'ai pleuré près de la moitié de ce film où tout se joue entre des contrastes tellement forts : douceur-dureté, amour-haine, lumière-obscurité, alors comment résister aux émotions ?
Norma Talmadge est magnifique de sensibilité, ses regards vous touchent au plus haut point. Il y a des scènes d'une grande tendresse, par exemple Emily Fitzroy en Madame Blanche qui apparait très dure et qui se métamorphose en regardant le bébé, l'agent de police, impitoyable tout d'abord en tentant de faire circuler Polly dans les rues de Londres, et qui finit par montrer un visage humain plein de sympathie, ou cette jeune maman avec son petit garçon, qui le laisse approcher de la vieille femme...et il y a cette scène presque surréaliste du baptême du petit Leonard par un pasteur anglais, une espèce d'antre de paix lumineuse au milieu de ce bouge crasseux et sombre, avec des êtres tout d'abord un peu dubitatifs puis finalement touchés par la grâce...
...et que dire de cette scène magnifique où Pearl choisit de confier son fils à la femme du pasteur ... pour faire croire que l'on prépare dignement son petit fils au vieil homme acariâtre, alors que les femmes organisent la fuite du petit bonhomme, Polly chante ....Le visage de Norma Talmadge passe du désespoir à la détermination puis à l'hystérie à une vitesse fulgurante et avec une telle tension, ses expressions sont tellement lisibles que c'est du grand art ! Sans parler du final  ...
A voir, bien sûr !
(c'est quand même fou, comment il fait Borzage ? en un peu plus d'un an, il fait Secret, The Lady, Daddy's Gone a Hunting, The Circle, et ... LAZYBONES !  ... Respect !)
Il manque apparemment la deuxième bobine, un bon bout est en assez mauvais état (attaques nitrates).






Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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