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vendredi 22 juillet 2011

Interference - Roy Pomeroy - 1928



William Powell ...
Philip Voaze
Evelyn Brent ...
Deborah Kane
Clive Brook ...
Sir John Marlay
Doris Kenyon ...
Faith Marlay
Tom Ricketts ...
Charles Smith
Brandon Hurst ...
Inspector Haynes
Louis Payne ...
Childers
Wilfred Noy ...
Dr. Gray
Donald Stuart ...
Freddie
Raymond Lawrence ...
Reporter
Clyde Cook ...
Hearse Driver

Titre français : interférences
10 bobines

Philipp Voaze (Powell) entre chez un fleuriste et aperçoit une couronne mortuaire sur laquelle il lit son nom. Il s'arrange pour connaître le lieu et l'heure de la cérémonie et s'y rend pour découvrir que c'est Deborah Kane (Brent) une femme très éprise de lui quelques années auparavant qui en a fait l'acquisition à l'occasion d'une cérémonie du souvenir organisée en mémoire d'un certain nombre de combattants morts sur les champs de bataille durant la première guerre mondiale. Philipp a été déclaré manquant et donc est supposé mort et Deborah n'en revient pas de le voir à la cérémonie. Elle le suit et découvre qu'il vit sous un nouveau nom : de plus il ne l'aime toujours pas ce qui ne manque pas de faire aussitôt germer dans sa tête un plan pour faire chanter la femme qu'il a aimée et épousée, Faith Marlay (Kenyon), maintenant mariée à un homme respectable, un médecin connu et respecté par ses pairs, Sir John Marlay (Brook). Deborah se rend donc chez Faith et lui dit avoir rencontré son ex-mari, toujours vivant ce qui fait donc que Faith est bigame, pour lui extorquer GBP 500, que Faith, désespérée paie sans discuter. Mais bientôt Deborah devient plus gourmande, et Phlipp se découvre une grave maladie qui l'amène consulter chez Sir John Marlay ...



Le tout premier film entièrement parlant de Paramount. L'image est bonne, par contre le son est tout juste audible. Le scénario est quand même un peu tiré par les cheveux et le tout ressemble plutôt à une pièce de théâtre. 
William Powell la joue blasé et distant (comme souvent et dans ce film il a réellement l'air très faible), Evelyn Brent paraît dure et acerbe (ce qui correspond bien à son personnage, ses vêtements et surtout son chapeau lui donnent un air machiavélique), Doris Kenyon parait affolée et très démunie (et on se demande pourquoi, puisque son ex-mari a été déclaré mort officiellement ?) et Clive Brook joue à l'homme du monde très classe qui possède un grand sang froid (Il porte un haut de forme et un manteau qui lui vont parfaitement bien !). A voir par curiosité !






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