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jeudi 20 octobre 2011

Love of Sunya (The) - Albert Parker - 1927



Gloria Swanson ...
Sunya Ashling
John Boles ...
Paul Judson
Pauline Garon ...
Anna Hagan
Ian Keith ...
Louis Anthony
Andrés de Segurola ...
Paolo deSalvo
Anders Randolf ...
Robert Goring
Hugh Miller ...
The Outcast
Robert Schable ...
Henri Picard
Ivan Lebedeff ...
Ted Morgan (as Ivan B. Lebedeff)
John Miltern ...
Asa Ashling
Raymond Hackett ...
Kenneth Ashling
Florence Fair ...
Rita Ashling (as Flobelle Fairbanks)


78 minutes


Dans l'Ancienne Egypte, une pure jeune fille (Swanson) est poussée à se jeter dans un feu par un prêtre. De nombreuses années plus tard, le jeune prêtre devenu un vagabond (Miller ?) doit payer sa dette pour le repos de son âme.
De nos jours Sunya (Swanson) est amoureuse de Paul (Boles). Celui-ci lui annonce qu'il a obtenu un poste important en Amérique du Sud et souhaite l'épouser. Mais le destin veille : le père de Sunya subit des revers financiers et dépend maintenant du bon vouloir du financier Robert Goring qui fait du chantage afin d'épouser Sunya. Le soir même une soirée est donnée car DeSalvo veut essayer de convaincre le père de Sunya de la laisser partir avec lui à Paris où une brillante carrière de chanteuse l'attend. Bien sûr le père n'a qu'une idée en tête : celle de convaincre Sunya d'épouser son financier et refuse donc d'écouter son fils Kenneth qui pourtant voudrait l'aider. Au cours de la soirée où Sunya doit prendre une décision qui décidera du reste de sa vie, un vagabond fait apparition et sort une boule de cristal ...


Très bon film qui traite de la réincarnation et des dettes à payer pour le salut de son âme. Les acteurs sont tous excellents, Gloria Swanson bien sûr qui est capable d'exprimer en une fraction de seconde des sentiments presque opposés, le charmant John Boles dans le rôle de l'amoureux, Anders Randolf et Ian Keith qui se montrent durs et impitoyables, la jolie Florence Fair dans le rôle de Rita, et Pauline Garon dans celui de l'allumeuse intéressée, un rôle qui lui va comme un gant comme on avait déjà pu s'en convaincre lors une prestation presque identique dans "Redskin", dans la scène du bal, alors qu'elle tentait de faire danser Richard Dix contre son gré. Les scènes qui gravitent autour de la boule de cristal rendent parfaitement bien l'ambiance et Hugh Miller a un regard impressionnant dans ces moments durant lesquels le futur apparait ...




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