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mardi 10 janvier 2012

Poor Little Peppina - Sidney Olcott - 1916




Mary Pickford ...
Peppina
Eugene O'Brien ...
Hugh Carroll
Antonio Maiori ...
Soldo
Ernest Torti ...
Pietro
Edwin Mordant ...
Robert Torrens
Jack Pickford ...
Beppo
Edith Shayne ...
Mrs. Torrens
Cesare Gravina ...
Villato
William T. Carleton ...
Detective Chief
N. Cervi ...
Dominica
Mrs. A. Maiori ...
Bianca
Francesca Guerra ...
The Stoker

env 60 minutes

Une petite fille vit avec ses parents, de riches américains, en Italie. Lorsque son père participe à l'arrestation de Soldo, il ignore que sa petite fille va être l'objet de la vengeance du bandit qui s'évade grâce à l'aide de la mafia peu de temps après son incarcération. L'homme kidnappe la petite fille endormie et la confie aux parents du petit Beppo. Un faux témoin assure que la petite s'est noyée.
Quinze ans ont passé et Peppina (Pickford), c'est maintenant son nom, travaille dure aux champs. Ses parents ne peuvent refuser la demande en mariage de son patron et Peppina implore l'aide d'une duchesse locale qui lui donne de l'argent pour l'aider éventuellement à quitter le pays pour se rendre aux Etats-Unis. Le jour de ses noces elle s'enfuit grâce à l'aide de Beppo (Pickford) et déguisée en garçon, devient passager clandestin sur un transatlantique. Alors qu'elle tente de dérober quelques fruits dans une chambre elle est surprise par un passager (O'Brien) ...



Les préjugés ont la vie dure : tout le monde gesticule passablement pour passer pour italiens. Un film dont la trame est assez simple mais qui apporte quelques développements qui permettent de le suivre avec plaisir. Les plans sont peu rapprochés et de ce fait le spectateur est tenu un peu à distance. Outre Mary Pickford dans le rôle de Peppina, on trouve Eugene O'Brien, toujours très classe (et qui semble beaucoup fumer sur le bateau). Il me semble qu'il a quand même bien souvent un rôle de faire valoir comme dans ce film.
C'est aussi l'un des seuls films ou Mary tourne avec son frère Jack qui joue le petit rôle de Beppo. Un film qui se laisse regarder et dont j'aurai bientôt de la peine à me souvenir.

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