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dimanche 14 octobre 2012

A Sporting Chance - Henry King - 1919


William Russell


William Russell ...
John Stonehouse
Fritzi Brunette ...
Gilberte Bonheur
George Periolat ...
Edward Craig
J. Farrell MacDonald ...
Luther Ripley aka Kennedy
Lee Hill ...
George Cornhill
Harvey Clark ...
Aaron Witt
Perry Banks ...
Anthony James

50 minutes

Dans un hôtel. Après s'être concerté avec son chef (Farrell MacDonald), le réceptionniste refuse un client sous prétexte qu'il est trop petit. Puis de même le suivant parce qu'il est marié. Plus tard, survient un jeune homme costaud qui sera accepté et qui s'inscrit sous le nom de John Stonehouse (Russell). Le gérant de l'hôtel l'identifie comme l'un des rois du tungstène. John s'installe dans la chambre 420. Dans la chambre d'en face il aperçoit une jeune femme (Brunette) mais il tire le store et s'installe pour écrire un mot. Très vite on comprend qu'il s'agit d'une lettre expliquant le geste irréparable qu'il s’apprête à commettre, le suicide. Alors qu'il tient déjà le revolver il entend un coup de feu; relevant alors le store il aperçoit la jeune femme qui tire sur un homme qui s'effondre. Il accourt dans la chambre et le gérant ne tarde pas à apparaitre. La jeune femme lui raconte que l'homme abattu est un maitre chanteur venu pour récupérer une somme d'argent prêtée à son père. Elle explique qu'une magnifique émeraude offerte par son fiancé a servi de gage et qu'il tentait de la menacer, il s'agit donc de légitime défense. La police ne tarde pas à faire son apparition et John, chevaleresque et n'ayant rien à perdre, prend le crime sur lui ...


Le cadavre a de la peine à garder les yeux ouverts !
Un film bourré de revirements abracadabrants. Le réalisateur ne cherche pas à nous surprendre car dès le départ on comprend qu'il s'agit d'un coup monté. Tout a été pensé à l'avance, la police, le mort, la jeune femme. Le dindon de la farce est bon joueur, au final John Stonehouse sortira vainqueur. Au final on comprendra le pourquoi de sa tentative avec l'arrivée de Anthony James, qu'il nomme dans son mot d'adieu. La fin est juste un peu facile et c'est dommage parce que le gros de l''action est plutôt accrocheur et qu'on suit avec plaisir les quiproquos pleins d'humour.
Scénario de Jules Furthman.

Fritzi Brunette

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