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dimanche 10 février 2013

The Final Extra - James P. Hogan - 1927


Marguerite De La Motte ...
Ruth Collins (as Margaret DeLaMotte)
Grant Withers ...
Pat Riley
John Miljan ...
Mervin Le Roy
Frank Beal ...
Tom Collins
Joseph W. Girard ...
Editor Williams
Billy 'Red' Jones ...
Buddy Collins
Leon Holmes ...
The Copyboy

58 minutes

Dans une grande ville, les presses de La Tribune tournent à fond. L'éditeur, Williams, travaille d'arrache pied quand son vieil ami, Tom Collins lui annonce être sur la piste de l'Ombre (The Shadow) un criminel insaisissable. Non loin des deux hommes, Pat Riley écrit les potins mondains sans trop de conviction tout en rêvant une pratique du journalisme plus héroïque. Pour changer Williams l'envoie faire un compte rendu de la soirée de répétition du prochain spectacle de LeRoy. Pat remarque tout de suite une charmante jeune fille nommée Ruth mais visiblement n'est pas le seul sous le charme.
Plus tard dans la rue, Pat retrouve Ruth dont le talon vient de casser. Malgré une réparation de fortune à l'aide d'un chewing gum mâchouillé, le talon s'obstine à se désolidariser de la semelle et la jeune fille finit par rentrer chez elle en taxi après lui avoir annoncé qu'elle est la fille de Collins.
De retour au journal, Pat apprend la mort de Tom Collins alors sur les traces des bandits et Williams l'envoie annoncer la triste nouvelle à ses enfants ...

Ce film n'est guère passionnant. On traque l'Ombre sans vraiment connaître les raisons ou les crimes perpétrés, la romance est menée assez mollement de même que l'action. Les scènes de danse sont ennuyeuses (malgré la réputation de danseuse de Marguerite de la Motte qui ne démontre pas un talent particulier).

Il est par contre intéressant de découvrir Grant Whiters, qui tournera plutôt des rôles de villains quelques années plus tard. Grand (1m91) et plutôt séduisant il devait bien plaire aux dames pourtant. Il connaitra une fin tragique (suicide) après une vie plutôt mouvementée.
La petite (1m57) Marguerite De La Motte ne connaitra pas le succès à l’avènement du parlant et décédera en 1950. Son mari John Bowers s'était précédemment suicidé en 1936.
John Miljan aura une carrière plus heureuse sur la durée.
A voir si vous n'avez rien d'autre à faire ou des insomnies ...


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