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jeudi 22 septembre 2011

Hoodlum (The) - Sidney Franklin - 1919



Mary Pickford ...
Amy Burke
Ralph Lewis ...
Alexander Guthrie
Kenneth Harlan ...
John Graham
T.D. Crittenden ...
John Burke (as Dwight Crittendon)
Aggie Herring ...
Nora
Andrew Arbuckle ...
Pat O'Shaughnessy
Max Davidson ...
Abram Isaacs
Paul Mullen ...
The Pugilist
Buddy Messinger ...
Dish Lowry (as Buddie Messenger)

78 minutes
Autre titre : The Ragamuffin (UK)

Alexander Guthrie (Lewis) est un homme d'un certain âge richissime et dur. La compassion n'est pas son fort et tirer les ficelles de la ville locale ne lui pose pas de problème de conscience particulier. Il ne peut rien refuser à sa petite fille, Amy (Pickford), une jeune fille gâtée et insupportable qui crise à la moindre contrariété. Lorsque son grand-père lui propose un voyage en Europe elle décide de rester avec son père, un éminent sociologue qui a établi son quartier général dans une rue populaire pour étudier les mœurs locales et écrire un livre. C'est le choc, Amy est horrifiée de découvrir la plèbe et rechigne à sortir. Un jour elle fait la connaissance de son voisin (Harlan) d'en face qui se sert d'un de leurs linges mis à sécher pour s’essuyer le visage. Peu après son père lui conseille de se faire des amis de ces gens plutôt que de les traiter de haut, et Amy opère des changements radicaux pour découvrir ce monde ...



Un film dans lequel les animaux et en particulier les chats n'ont pas le beau rôle, et c'est quand même navrant. Le film se laisse suivre, Mary Pickford campe toujours un peu de la même manière ce genre de jeune fille, mais ce n'est pas franchement une critique. Je veux plutôt dire qu'on n'est pas surpris par le style donné à ce film dont l'action tourne principalement autour d'elle. Kenneth Harlan est charmant comme toujours mais apparait finalement assez peu dans l'histoire. C'est sensé être une comédie, mais je trouve que ce classement ne convient pas vraiment non plus.
Une magnifique scène jouée par Aggie Herring dans le rôle de Nora, la gouvernante de l'appartement, qui prend Amy dans ses bras alors qu'elle revient mouillée et apeurée après qu'elle se soit perdue. Aggie Herring est superbe de douceur à ce moment là !


Il est indéniable que les films de Mary Pickford bénéficient tous d'une attention particulière : restauration soignée et accompagnement musical particulier composé pour la circonstance. Évidemment cela facilite le visionnement de ses films mais je souhaiterais que d'autres films aient l'opportunité de subir le même traitement !









Quelques captures d'écran :

Jolie vue sur le voisin !





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