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jeudi 28 février 2013

Soul Fire - John S Robertson - 1925


Richard Barthelmess ...
Eric Fane
Bessie Love ...
Teita
Percy Ames ...
1st Critic
Charles Esdale ...
2nd Critic
Effie Shannon ...
Mrs. Howard Fane - Eric's Mother
Lee Baker ...
Howard Fane - Eric's Father
Carlotta Monterey ...
Princess Rhea
Gus Weinberg ...
The Old Musician
Ann Brody ...
Princess Rhea's Maid
Helen Ware ...
San Francisco Sal
Walter Long ...
Herbert Jones - Sailor
Rita Rossi ...
The Prima Donna
Edward La Roche ...
The Orchestra Leader
Harriet Sterling ...
Ruau
Richard Harlan ...
Nuku

90 minutes


Deux critiques musicaux s'installent dans une salle de concert. Les parents du compositeur, Eric Fane, les regardent avec une certaine crainte. L'un des deux critiques explique que la symphonie qu'ils vont écouter raconte la vie du compositeur ...
... auquel ses parents avaient offert un séjour en Italie pour qu'il puisse parfaire ses connaissances musicales. Après quelque temps, n'ayant pas atteint le niveau requis le père annonce à son fils que dorénavant il devra travailler comme il le souhaite si il veut profiter de la fortune familiale. Eric refuse et suit une princesse à Paris où il connait un certain succès en composant des chants un peu osés mais très populaires. Petit à petit la princesse Rhea se montre de plus en plus vénale et Eric finit par se dégager de sa coupe. Il finit par se retrouver à Port Said où il erre dans la rue. Un femme le prend sous sa coupe et lui remet les papiers d'un marin qu'elle fait passer pour mort pour qu'Eric puisse débuter une nouvelle vie. Échoué sur une île du Pacifique, Eric croit être arrivé au Paradis lorsqu'il fait la rencontre d'une métisse Teita, fille d'un peintre anglais décédé et d'une mère indigène qui s'est suicidée à la mort de son mari. Teita possède un piano, légué par ses parents ...



Un belle histoire avec un thème difficile que le réalisateur conte joliment. Par petites touches en flash back on imagine la musique d'un jeune homme qui ne connait rien à la vie ni à ses émois et qui finira par s'affranchir des facilités offertes par la fortune familiale pour acquérir une certaine profondeur. De fil en aiguille il prend de l'ampleur grâce à ses aventures et surtout grâce à la rencontre de l'amour et la peur de perdre l'être cher.

Le film que j'ai vu a une image abominablement déformée ... pourtant j'ai suivi sans peine. Ce film mériterait une bonne restauration avec une musique particulière.
Deux phrase particulièrement intéressantes :
Les critiques musicaux : "Ses parents sont stupidement riches"
Eric à son père :  "Quand vous dites avoir du succès, vous voulez dire être riche ?"

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