William Haines | ... |
Jack Kelly
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Joan Crawford | ... |
Allie Monte
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George K. Arthur | ... |
Eustace Tewksbury
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George Fawcett | ... |
Mr. Waters
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Eileen Percy | ... |
Martha Lomsdom
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Edward Earle | ... |
Johnson
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Bert Woodruff | ... |
Pop Kelly
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Lee Moran | ... |
Oscar
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78 minutes
Titre français : le Temps des cerises
Comme son père, Jack Kelly (Haines) est employé à l'expédition des magasins de porcelaine Waters. Son temps libre il le passe à jouer au golf, une activité dans laquelle il excelle. Un jour M. Waters découvre, alors qu'il est sur le point de le mettre à la porte, que Kelly joue merveilleusement bien et lui offre un séjour de deux semaines en tant que son neveu dans un club de golf prestigieux. Bien sûr il fait vite des ravages, et sur les green et auprès des demoiselles. Allie Monte (Crawford) n'est pas indifférente aux charmes du jeune homme qui détonne fortement parmi les habitués un peu guindés du club. Bientôt Jack obtient la victoire face au tenant du titre, Johnson, et prend goût et à la gloire et à la richesse. Il déclare qu'il épousera une jeune fille pour son argent et reste sans voix lorsque Allie lui annonce que son père est ruiné. Johnson en profite pour la demander en mariage ce qu'elle accepte car, dit-elle, elle ne peut imaginer sa vie sans fortune. Jack change alors d'avis et s'enfuit avec la jeune femme en lui faisant croire qu'il est riche ...
J'avais déjà vu le remake intitullé Love in the Rough avec Robert Montgomery réalisé par Charles Reisner en 1930, et déjà l'histoire ne m'avait pas parue transcendante. Je crois que les amateurs de Joan Crawford perdent un peu la tête si l'on se base sur la note de 7.5 de moyenne donnée à ce film sur IMDB alors que l'action est assez quelconque (bien que toutefois assez sympathique).
Ce n'est pas qu'on s'ennuie mais c'est tout comme car le scénario nous montre principalement des green et dans le fond pas grand'chose à se mettre sous la dent. Le scénario est faible mais William Haines et Joan Crawford forment un couple très joli à regarder même si William Haines se montre quand même très cabotin ....