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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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vendredi 11 mai 2012

Side Street - Malcolm St. Clair - 1929



Tom Moore ...
Jimmy O'Farrell

Owen Moore ...
Dennis O'Farrell

Matt Moore ...
John O'Farrell

Emma Dunn ...
Mrs. Nora O'Farrell

Katherine Perry ...
Kathleen Doyle (as Kathryn Perry)

Frank Sheridan ...
Mr. Tom O'Farrell

Charles Byer ...
Maxse Kimball

Arthur Housman ...
Henchman Silk Ruffo

Mildred Harris ...
Bunny

Walter MacNamara ...
Patrick Doyle (as Walter McNamara)
  George Raft            ... Dancer (non crédité)

74 minutes

A New York dans un appartement habité par les O'Farrell des irlandais pure souche qui attendent leurs trois fils. John (Matt) qui a fait des études de médecine grâce à l'aide financière de son frère Dennis (Owen) qui semble avoir fait fortune et Jimmy (Tom) devenu un policeman. Tout ce petit monde se retrouve avec plaisir lorsque des coups de feu sont tirés dans la rue. Jimmy et John se précipitent dans le cadre de leur profession respectives et Dennis s'approche discrètement. On comprend alors qu'il mène une deuxième vie secrète en tant que chef d'une bande de bootleggers. Les choses se compliquent lorsque John est appelé en urgence dans un appartement luxueux où un homme a reçu un coup sur la tête. Il découvre alors que son frère Dennis est à la tête des gangsters. 
Plus tard, le soir de Thanksgiving lors d'une réunion familiale Dennis comprend que sa couverture est éventrée et va tenter avec l'aide de John d'empêcher Jimmy nouvellement nommé inspecteur de tomber dans un piège qu'il a lui même tendu ...



On découvre le père et la mère discutant de leurs trois fils, la caméra est plantée dans le décors et on se demande si l'on va être capable de suivre le film car le son est assez mauvais et les accents plutôt prononcés. L'arrivée successive des trois frères qui semblent très liés marque le début d'une action qui ira crescendo. Au début j'ai cru avoir affaire à un film léger, or il n'en est rien, le drame va bel et bien éclater et le final est même très émouvant.

Ce film est l'occasion de voir les trois frères jouer ensemble dans leur premier film parlant. Le son est assez mauvais mais cela ne dérange pas trop si l'on a l'habitude des bruits sourds qui accompagnent les premiers films sonorisés. On verra George Raft joliment danser avec des girls dans une scène amusante.
Curieusement les trois frères ne se ressemblent pas tellement, à part un nez commun aux trois (long et en trompette !) et un profil assez similaire. Les parents sont émouvants dans le rôle de ces braves gens fiers de leurs garçons. Tom et son faciès sympathique de lutin rieur, Owen le beau gosse de la famille et Matt le garçon tranquille jouent avec naturel et c'est un plaisir de les voir réunis.

George Raft et les chorus girls

mercredi 18 avril 2012

Road to Mandalay (The) - Tod Browning - 1926



Lon Chaney ...
Singapore Joe
Lois Moran ...
Joe's Daughter
Owen Moore ...
The Admiral
Henry B. Walthall ...
Father James
Sôjin ...
English Charlie Wing (as Kamiyama Sojin)
Rose Langdon ...
Pansy
John George ...
Servent

env 50 minutes

Des marins touchent le fond (au figuré !). Composée entre autres de Singapore Joe (Chaney), un homme brutal dont un œil est révulsé, English Charlie Wing (Sojin) un chinois prompt à jouer du couteau et de l'Admiral Herrington (Moore) le capitaine du bateau, ces mecs n'ont rien d'enfants de coeur, au moindre mot de travers les couteaux jaillissent dans la crasse, l'alcool et les filles, la mort rôde souvent à leurs côtés.
Durant une escale à Singapore, Joe se rend dans la boutique de Rosemary (Moran) qui n'est autre que sa propre fille. Celle-ci ignore tout de son père et vend de la dentelle et des statues pieuses, couvée par le Père James (Walthall) qui veille sur elle comme une mère. Joe fait mine d'acheter un cadeau pour sa fille pour l'approcher et rejoint ensuite le père James qui est en réalité son frère. (en résumé, le père qui se comporte comme une mère non loin de la mer est le frère !)
La jeune fille se montre plutôt apeurée par Joe (et il y a de quoi) mais celui-ci tout au plaisir de la regarder ne le remarque pas. Plus tard alors que Joe retrouve son frère, le Père James donc, L'admiral fait son apparition accompagnée d'une femme peu distinguée. Apercevant un bébé dans la boutique et alors qu'il demande à la jeune fille si c'est son petit dernier, il réalise alors l'incongruité de la remarque et reste confus. Plus tard il revient à la boutique et la remercie. "pourquoi ?" demande Rosmary "Parce que vous m'avez fait réfléchir" répond-il. On comprend qu'il se reprend en main. Il manque un bout ...

On reprend alors que L'admiral et Rosemary sont sur le point de se marier. Joe réalise tout à coup que sa fille va épouser le scélérat qu'il connait depuis longtemps sans réaliser que celui-ci a changé par amour. Il interrompt la cérémonie en retenant son frère (le Père !) qui tente de le convaincre que les deux jeunes gens éprouvent l'un pour l'autre un sentiment plus grand. Peine perdue .... Il manque un bout ...

On retrouve l'admiral ficelé dans un bouge crasseux menacé par Joe. Rosemary se met à la recherche de son fiancé kidnappé (le futur marié jamais marié) et remonte jusqu'au tripot d' English Charlie Wing qui la convoite pour lui-même et qu'il séquestre. Alors qu'il s'en approche dans un but peu recommandable, Joe fait son apparition et sauve sa fille. Entre temps le chinois fait libérer Herrington, persuadé que les deux hommes vont s'entretuer. Mais alors qu'ils se battent et que l'admiral est sur le point d'être étranglé, Rosemary se saisit d'un couteau qu'elle plante dans le dos de Joe sans savoir qu'il s'agit de son propre père (aie). Mortellement blessé, Joe réalise alors à quel point l'amour de sa fille est sincère et conjure les jeunes gens de s'enfuir ensemble sur son bateau. Charlie Wing s'approche dans le but de porter le coup fatal et Joe bascule dans la salle miteuse au milieu des consommateurs non moins miteux. Son frère accourt, Joe meurt, les deux jeunes gens sont ensemble, tout est bien qui finit bien !



J'aimerais bien voir en entier ce film qui me laisse sur ma faim (fin). C'est le troisième des huit films tournés pour MGM entre 1925 et 1929 qui voit la collaboration de Lon Chaney et de Tod Browning.
Composés d'acteurs particulièrement talentueux : Lon Chaney m'a paru touchant plus d'une fois malgré les excès (une lentille blanche sur l’œil qui lui fait une expression terrible, comme l'image est mauvaise on a même souvent l'impression qu'il voit à travers cet unique oeil, l'autre disparaissant souvent dans l'ombre ce qui lui donne un petit côté diabolique ...) lorsqu'il mime la rage son visage se déforme terriblement, franchement il n'a pas besoin d'avoir un oeil révulsé pour faire peur ! Owen Moore qui débute très fort dans le film, mal rasé, mal peigné, débraillé et sale semble avoir un verre de trop et se montre cynique. La scène dans le magasin lorsqu'il comprend sa méprise est parfaite de justesse et magnifiquement exprimée, comme s'il redevenait lui-même d'un seul coup. Henry Walthall est toujours digne. Vous pouvez lui faire confiance pour incarner un curé ou un pasteur, son air à la fois compassé et bon est tout à fait en accord avec ce genre de rôle. Le chinois semble cruel comme il se doit avec ses yeux en fentes et son visage émacié, Lois Moran n'est pas mal du tout, contrairement à d'autres je lui ai trouvé un air assez doux et convenable.

Dommage qu'il manque quelques parties ce qui nuit à la continuité, ainsi on ne saura jamais vraiment comment L'admiral a changé même si on comprend que c'est par amour, on ne connaitra pas son passé ni celui de Joe, ni la manière dont il a été enlevé. De même l'image n'est pas bonne. Tout cela est bien navrant.




samedi 17 mars 2012

Cinderella - James Kirkwood - 1914



Mary Pickford ...
Cinderella
Owen Moore ...
Prince Charming
Isabel Vernon ...
Stepmother
Georgia Wilson ...
Stepsister
Lucille Carney ...
Stepsister
W.N. Cone ...
The King
Inez Marcel ...
Fairy Godmother

52 minutes

Bien sûr vous connaissez ce conte. Vous en avez déjà vu plusieurs versions, dont celle de Walt Disney avec GusGus la sympathique souris et les petits oiseaux colorés qui gazouillent et aident Cendrillon à coudre sa robe de bal en voletant joyeusement.
Cette version conte l'histoire de manière basique sans fioriture particulière. Tout est dans la représentation des différents protagonistes et surtout de Cendrillon qui occupe le centre de l'action, en laissant peu de place au prince, à la fée, la belle-mère etc.
Les images sont assez poétiques et la naïveté qui les entoure est plutôt touchante. Déjà (ou seulement ?) 100 ans (à deux ans près) que ce film a été tourné. La bonté et la vertu sont gagnantes, une bonne conscience est garante d'un sommeil sain et réparateur alors qu'une mauvaise conscience apporte un sommeil agité. La morale suinte dans de nombreuses scènes, dont de nombreuses montrent des métamorphoses de fort jolie manière.
Toutefois je relève que Cendrillon dort beaucoup : elle s'endort dans la forêt à coté de son fagot de bois, à côté de l’âtre, dans son lit,  etc. Dans le fond, cette Cendrillon là a une belle vie car on ne la voit jamais récurer, frotter, cuisiner, trimer ou autre. Cendrillon en 1914, c'est plutôt une histoire de petite fille rêveuse qui grandit et se métamorphose en femme (c'est à dire en femme mariée). Bien sûr elle et le prince vécurent longtemps heureux à la fin ! (la fin ? la fin de quoi ?)

On aimerait réellement que les bonnes actions apportent le bien être et le bonheur comme le dit avec conviction la bonne fée. De nos jours il y a pénurie de gentilles bonnes fées aux coins des rues, de celles qui voient vos qualités et vous aident à les développer en vous garantissant un avenir serein et heureux. Pourtant si l'on cherche bien, il se trouve certainement encore de nombreuses bonnes âmes qui ne souhaitent que votre bonheur, à commencer par vous même, ce qui n'est pas rien, loin de là. 
Alors qu'est-ce qui fait que cette habilité à se réconforter avec des histoires simples qui vous montrent le droit chemin se perde ? Le cinéma muet c'est un peu le paradis perdu, pas si lointain et déjà inaccessible. 


Owen Moore, si masculin quelques années plus tard ressemble à un freluquet fluet dans son costume de page: il a pourtant 28 ans en 1914 et il est marié depuis 1911 à Mary Pickord qu'il a épousée secrètement. Elle-même a 22 ans et en parait facilement 6 de moins.
 La bonne surprise de ce film c'est le cauchemar de l'horloge. On se souvient que Cendrillon devait rentrer absolument avant minuit, heure à laquelle le charme s'éteindrait, du carrosse à sa robe. Alors de retour dans son petit lit dans son grenier poussiéreux (elle ne semble pas se préoccuper du ménage de sa chambre) elle s'endort mais fait très vite un cauchemar dans lequel deux gnomes frappent une cloche indiquant minuit mais les heures et le cadran tournent et se déforment : c'est la conséquence de la désobéissance nous dit un intertitre. Quelle désobéissance me suis-je demandé ? Cette question m'a fait mesurer d'un coup le fossé qui séparent les mentalités d'aujourd'hui à celles d'hier.




mardi 6 mars 2012

Blackbird (The) - Tod Browning - 1926


Lon Chaney ...
The Blackbird / The Bishop
Owen Moore ...
West End Bertie
Renée Adorée ...
Fifi Lorraine
Doris Lloyd ...
Limehouse Polly
Andy MacLennan ...
The Shadow (as Andy Maclennan)
William Weston ...
Red


86 minutes

A Londres, dans le quartier de Limehouse. The Blackbird est un homme recherché car il opère des larcins audacieux. Malin, il vit chez son frère surnommé le Bishop, un homme gravement estropié qui tient un foyer pour déshérités et qui est aimé de ses paroissiens.
Le soir Blackbird se rend dans un music hall dont le clou du spectacle est un théâtre de marionnettes tenu par Fifi. Très épris il remarque que Fifi rêve d'une vie aisée et de luxe. Mais un autre homme s’intéresse à Fifi, West End Bertie, un voleur distingué doublé d'un homme du monde très intelligent. Amoureux tous deux de la belle Fifi sans le savoir, les deux hommes décident de partager leurs gains. Mais très vite Blackbird ressent une terrible jalousie car Fifi s'intéresse de plus en plus à West End qui en arrive à vouloir l'épouser et à renoncer à sa mauvaise vie. Mais Blackbird a plus d'un tour dans son sac ...



Autant le dire tout de suite, le pivot de l'intrigue est d’emblée décelable. Lon Chaney joue les deux rôles tenus par un seul homme, on le devine aisément tout de suite ce qui est un peu ennuyeux. Il y a quelque chose de presque malsain à le voir composer des estropiés de cette manière, en tous cas je trouve gênant que le réalisateur Tod Browning, dans le fond, ait toujours avoir besoin de créer des personnages physiquement et moralement tordus (sensés appeler la sympathie ? je n'en suis même pas sûre. En fait ça provoque chez moi plutôt l'inverse et m'énerve tout en me rendant le personnage antipathique).
Dommage, Blackbird va tout faire pour séparer les deux amoureux mais à chacune de ses trouvailles les deux tourtereaux se rapprochent encore plus sous son regard assassin. Lorsque Chaney compose le frère Bishop il se montre mielleux, collant, obséquieux et franchement détestable. Au final j'étais finalement contente que ce type arrêt son théâtre. Chaney est un très bon acteur, mais c'est comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser. Pour ma part j’attrape assez vite une indigestion à trop le voir. Dommage car c'est un excellent acteur.
Owen Moore compose un homme distingué pincé à souhait avec son monocle. Très séduisant, petit à petit il s'humanise : ses sourires sont candides et attirent la sympathie. Renée Adorée est craquante : ses yeux limpides et humides ne peuvent que vous toucher. Un film à voir.











mercredi 18 janvier 2012

Red Mill (The) - Roscoe 'Fatty' Arbuckle - 1927



Marion Davies ...
Tina
Owen Moore ...
Dennis
Louise Fazenda ...
Gretchen
George Siegmann ...
Willem (as George Siegman)
Karl Dane ...
Captain Jacop Van Goop
Russ Powell ...
Burgomaster (as J. Russell Powell)
Snitz Edwards ...
Caesar
William Orlamond ...
Governor
Ignatz ...
Himself - a Mouse

74 minutes
Adaptation par Frances Marion d'une opérette composée par Victor Herbert-Henry Blossom


En Hollande en hiver. Tous les habitants d'un village patinent sur la glace sauf Tina (Davies), la servante de l'auberge tenue par Willem, un homme de la pire espèce. Dehors un concours de patinage a lieu et Tina aimerait bien le remporter pour être embrassée par Dennis (Moore) qui officie en tant que juré. Grâce à l'aide d'un chien poursuivant un chat, Tina remporte le premier prix mais ne reçoit pas la récompense escomptée - à la place son patron la traine, à moitié congelée par une chute dans l'eau, dans l'auberge.
Le printemps revient et Tina se languit de Dennis qui revient accompagné de Caesar (Edwards) passer quelques jours au village. Ils s'installent à l'auberge et remarquent, de loin, Gretchen (Fazenda), la fille du Burgomaster séquestrée à l'auberge avant son mariage avec le gouverneur alors qu'elle aime le capitaine Jacop (Dane). Celui-ci rôde dans le jardin et transmet un message à sa belle via Tina qui propose d'échanger leurs vêtements afin que Gretchen puisse rejoindre son chéri dehors. Aussitôt dit aussitôt fait, Dennis aperçoit dans la chambre la jeune fille de ses rêves, qui n'est autre que Tina passant pour Gretchen ...



Très drôle, les situations cocasses s'enchaînent, Marion Davies s'en donne à coeur joie et pousse la mimique à l’extrême avec une apparence à la Bécassine évidente !
Owen Moore, le premier mari de Mary Pickford, lui donne la réplique dans le rôle du séduisant Dennis. Karl Dane parait presque séduisant dans ce film et Louise Fazenda est loin d'être aussi moche qu'on essaie de nous faire croire. Pour apporter une touche comique supplémentaire il y a Snitz Edwards dont l'aspect extérieur fait rire quoiqu'il arrive. La scène finale qui se passe dans le moulin hanté vaut à elle seule son pesant d'or, rien que pour les situations incroyables qui augmentent la crainte des protagonistes face aux "fantômes". Ignatz la souris chérie de Tina a aussi un rôle très important.
Un film vraiment très amusant. On le trouve dans la collection "Archive" de Warner.

Roscoe "Fatty" Arbuckle doit la direction de ce film "The Red Mill" à William Randolph Hearst qui se sentait coupable d'avoir ruiné sa carrière via les articles publiés dans ses journaux qui l'attaquaient méchamment durant la durée du procès dans lequel il était soupçonné d'être coupable de meurtre et d'enlèvement en 1922. Arbuckle avait finalement été acquitté.











Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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