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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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mercredi 27 avril 2016

The Man who Laughs - Paul Leni - 1928

 
 
Lorsque Lord Clancharlie refuse de baiser la main du despotique roi James II, celui-ci le fait capturer grâce à l'aide de son bouffon nommé Barkilphedro. Comme Lord Clancharlie refuse de s'abaisser devant le roi, il est enfermé dans la dame de fer, un sarcophage bien utile pour se débarrasser des importuns et dans lequel ils meurent dans de grandes souffrances. Pour ajouter un dose de cruauté avant de l'envoyer ad patres, le roi apprend au pauvre homme que son fils a été emporté par les comprachicos, des voleurs d'enfants qu'ils mutilent afin d'en faire des bêtes de foire.

Quelques années plus tard alors que les comprachicos sont chassés d'Angleterre, le fils de Lord Clancharlie erre non loin des quais où embarque entre autres le docteur Hardquanonne, le chirurgien qui a pratiqué une incision sur la bouche de l'enfant. Seul et grelottant le petit garçon découvre un bébé dans les bras d'une morte et l'emporte avec lui. Plus loin les deux enfants sont recueillis par un homme nommé Ursus qui vit avec son chien-loup Homo.
Les enfants grandissent et les trois amis sont à la tête d'un petit cirque ambulant qui obtient beaucoup de succès grâce aux pièces de théâtre mises en scène pas Ursus mettant en scène la belle et aveugle Dea et l'homme qui rit, Gwynplaine, le garçon forcé de rire malgré lui.

A une foire, le Dr Harquanonne, celui-là même qui opérait les enfants volés par les comprachicos reconnait l'homme qui rit et envoie un message à la duchesse Josiana, la nièce de la reine maintenant au pouvoir après le décès du roi. La reine est cruelle et la nièce est débauchée. Le message est intercepté par le bouffon Barkilphedro qui va s'empresser de prévenir la reine que le fils de Clancharlie est en ville ...



Un film allégorique terrible, qu'on le prenne au premier ou au deuxième degré. L'homme n'est qu'un animal, l'animal est un guide au propre et au figuré, le pouvoir est un cirque et le cirque est la vie. 
Les noms donnés à certains protagonistes sont très explicites en ce sens. Déa (déesse sous l'aspect de l’angélique Mary Philbin), Ursus l'ours, Homo l'homme, les autres semblent plus obscurs mais nul doute qu'ils soient inspirés aussi ...Hardquannone vous fait penser à une dure condition sine qua non (Sinequanone) par exemple)  
On ne peut qu’être gêné par le sourire permanent de Gwynplaine. Difficile d'imaginer la souffrance tant le sourire l'emporte sur toute autre expression. Les yeux de Conrad Veidt ne semblent pas tristes mais exorbités et son front est ridé à force de tirer sur sa bouche. Lorsque Gwynplaine pleurera il cachera ses yeux, seule sa bouche sera visible. L'expression des yeux n'est parlante que lorsque la bouche est couverte, ce qui fait que dans le fond on ne peut pas mesurer le terrible désespoir de cet homme.

Au premier degré, on se demande quand même pourquoi la reine ne fait pas abattre le prisonnier plutôt que de le présenter comme pair? De plus la spectatrice romantique que je suis aurais bien voulu connaitre l'histoire de Déa et de sa mère.
Olga Baclanova tourne la scène où elle veut coucher avec Gwynplaine avec une immense sensualité.
L'histoire débute d'une manière poignante et très émouvante. L'ambiance très particulière vous scotche devant l'écran. Ensuite le film s'enlise légèrement pour terminer par une course poursuite haletante bienvenue. On reste toutefois un peu interloqué devant le thème qui laisse une impression bizarre.

D'après le roman de Victor Hugo publié en

Je pense qu'il faudrait lire le livre pour comprendre toute la richesse de cette histoire.

On se doute bien que le personnage de Gwynplaine a inspiré le Jocker.
L'homme qui rit

110 minutes

Mary Philbin ...
Dea
Conrad Veidt ...
Gwynplaine / Lord Clancharlie
Julius Molnar ...
Gwynplaine as a child (as Julius Molnar Jr.)
Olga Baclanova ...
Duchess Josiana
Brandon Hurst ...
Barkilphedro
Cesare Gravina ...
Ursus
Stuart Holmes ...
Lord Dirry-Moir
Sam De Grasse ...
King James II (as Sam DeGrasse)
George Siegmann ...
Dr. Hardquanonne
Josephine Crowell ...
Queen Anne
Charles Puffy ...
Innkeeper
Zimbo the Dog ...
Homo the Wolf (as Zimbo)


mercredi 13 avril 2016

The Last Warning - Paul Leni - 1929



Barbara n'en mène pas large ...
Au cours d'une représentation théâtrale, un acteur meurt sur scène, électrocuté par un chandelier. Les acteurs sont tous soupçonnés par la police ce qui cause la rupture entre la star Doris Terry et le réalisateur Richard Quayle.

5 ans plus tard, le théâtre est rouvert et McHugh souhaite refaire la même représentation avec les mêmes acteurs qu'il convoque. Tous ne sont pas ravis de se retrouver dans les décors qui leurs ont laissé d'amers souvenirs. Les propriétaires du théâtre, les frêres Bounce arrivent eux aussi mais l'ambiance est plutôt à la terreur car visiblement le théâtre est désormais hanté par le fantôme de l'acteur décédé, Woodford ...

Délicieusement effrayant, le film est dans la même veine que The Cat and the Canary tourné par le même Paul Leni deux ans plus tôt en 1927 avec en vedette aussi Laura La Plante.

Les décors sont remarquables, les situations font monter la tension.
Paul Leni est né à Stuttgart, Baden-Württemberg, sous le nom de Paul Josef Levi. Il mourra peu après le tournage de ce film en 1929 à l'âge de 44 ans. Il nous laissera quelques perles encore visibles de nos jours, Hintertreppe 1921, Das Wachsfigurenkabinett, 1924, The Man who Laughs 1928, entre autres.



Le Dernier Avertissement

Réalisé d’après un roman de Wadsworth Camp et la pièce de Thomas F. Fallon.
77 minutes

Laura La Plante ...
Doris Terry
Montagu Love ...
Arthur McHugh
Roy D'Arcy ...
Harvey Carleton
Margaret Livingston ...
Evalynda Hendon
John Boles ...
Richard Quayle
Burr McIntosh ...
Josiah Bunce
Mack Swain ...
Robert
Bert Roach ...
Mike Brody
Carrie Daumery ...
Barbara Morgan
Slim Summerville ...
Tommy Wall
Torben Meyer ...
Gene
D'Arcy Corrigan ...
John Woodford
Bud Phelps ...
Sammy
Charles K. French ...
Doctor
Francisco Marán ...
Jeffries

En ce moment on peut le voir ici
https://www.youtube.com/watch?v=gRW18LohzpM&list=PL352A910B9C1EA70E&index=81

vendredi 8 mars 2013

The Cat and the Canary - Paul Leni - 1927



Laura La Plante ...
Annabelle West
Creighton Hale ...
Paul Jones
Forrest Stanley ...
Charles Wilder
Tully Marshall ...
Roger Crosby
Gertrude Astor ...
Cecily
Flora Finch ...
Susan
Arthur Edmund Carewe ...
Harry (as Arthur Edmund Carew)
Martha Mattox ...
Mammy Pleasant
George Siegmann ...
The Guard
Lucien Littlefield ...
Ira Lazar

80 minutes
Titre Français : La volonté du mort
D'après une pièce de théâtre écrite par John Willard


Considéré comme un excentrique voire un fou, un vieillard richissime vit dans un manoir qui semble hanté. A son décès il laisse un testament qui ne devra être ouvert que 20 ans plus tard, suivi d'instructions très précises à suivre selon certains cas de figures.
20 ans plus tard à minuit pile exactement les héritiers se rendent au manoir pour assister à lecture du testament par Roger Crosby le notaire qui ne peut que constater que le manuscrit pourtant enfermé dans un coffre fort a déjà été ouvert. Annabelle West est désignée comme seule héritière car elle est la parente la plus lointaine du défunt qui considère que tous ses proches guettaient sa mort comme des chats un canari.
Il reste toutefois une clause spéciale avant qu'elle ne puisse prendre possession de la fortune en question. Un médecin doit venir constater qu'Annabelle est saine d'esprit sinon une deuxième enveloppe indiquant le nom d'un autre héritier sera ouverte.
Dans la chambre du défunt, le notaire met en garde Annabelle du danger qu'elle court. Alors qu'il est sur le point de lui dire de se méfier de la personne mentionnée dans la deuxième enveloppe il disparait mystérieusement comme happé dans le mur ...


Un film d'horreur et comique à la fois. Les héritiers sont bien campés, des mains aux ongles pointus sortent des murs ... sans compter que la femme de chambre est au moins autant lugubre que le manoir dans lequel elle vit depuis si longtemps ! Des personnes qui ne semblent avoir aucun lien avec l'héritage font leur apparition, tout le monde semble craindre les fantômes réputés vivre dans le manoir et la tension est bien compréhensive dans de tels décors ! Un bon moment assuré !
De nombreuses versions de ce film ont été tournées ...







mardi 22 mai 2012

Backstairs - Leopold Jessner / Paul Leni - 1921



Henny Porten ...
Das Dienstmädchen
Fritz Kortner ...
Der Postbote
William Dieterle ...
Der Handwerker (as Wilhelm Dieterle)


50 minutes
Titre français : Escaliers de service
Titre original : Hintertreppe

A Berlin dans l'arrière cour d'un immeuble un escalier mène à la mansarde d'une femme de chambre. A la nuit tombée elle retrouve son amoureux avant de fermer les portes de la cour. Un soir l'amoureux ne revient pas. Commencent alors le questionnement et l'attente  ponctués par les visites du facteur porteur d'espoir, un homme boiteux dont l'une des mains est sérieusement handicapée. Secrètement amoureux de la femme de chambre, le facteur devant son désespoir finit par lui faire parvenir une lettre qu'il écrite lui-même. Aussitôt la femme de chambre se sent revivre ...



Je reste sans voix devant ce film qui ne comprend aucun intertitre. Ceux-ci n'auraient d'ailleurs aucune utilité car nous pénétrons dans les personnages avec une facilité presque déconcertante tant leurs expressions expriment ce qu'ils ressentent.
Au premier jour nous assistons au réveil de la femme de chambre dans une chambrette déjà illuminée par la lumière. Il est 6 heures, elle ouvre les yeux, regarde le réveil et le retarde de 5 minutes qu'elle met à profit pour se rendormir (je fais pareil, sauf que j'avance mon réveil !) on comprend alors le bonheur tout simple de cette femme qui s'autorise quelques minutes supplémentaires de sommeil. Elle vaque à ses occupations, heureuse et dynamique. Elle se sent aimée, elle vit le soir dans les bras de son aimé. Arrive la nuit suivante mais personne ne vient au rendez-vous, elle ne comprend pas et ses gestes ralentissent déjà, une nuit de plus et toujours personne : la femme dynamique se métamorphose lentement, pour devenir petit à petit une ombre d'elle-même qui fonctionne au ralenti. Chaque jour le facteur se présente et elle ouvre la porte à son coup de sonnette, prend le courrier mais aucune lettre de l'aimé ne lui est adressée.
Mais un jour le facteur qui n'a pas le courage de la regarder mais qui meurt d'amour sans espoir d'être aimé en retour ni même d'avoir la moindre chance d'être même reconnu par la jeune femme lui tend une lettre. La femme de chambre s'illumine en lisant les mots "ma bien aimée, je t'aime, je devais m'éloigner mais je me languis de toi", elle reprend aussitôt goût à la vie, se permet même un geste tendre envers le postier qui en est aussitôt illuminé.
De grandes réceptions sont données dans l'appartement et la femme de chambre fait le service avec entrain. Elle garde un pichet de vin qu'elle va apporter au facteur pour qu'il puisse partager sa joie mais ô surprise celui-ci est en train d'écrire et la femme de chambre comprend tout à coup que le mot de son aimé a été écrit par cet homme éclopé. Elle saisit surtout que cet homme l'a fait par amour et ne lui en veut pas. Petit à petit les deux solitudes se rejoignent et se mettent à vivre, le facteur transforme son taudis en petit habitat soigné et cuisine avec amour pour la femme de chambre. Je me suis surprise à me dire qu'il ne fallait pas que l'amoureux revienne, que ce ne serait pas juste tant ils ont l'air heureux et en effet la chance est avec eux car il ne revient pas.
Mais le destin finit par rattraper la femme de chambre qui aperçoit l'ombre des jambes de son amour qui fait les 100 pas dans la cour et c'est le coup d'assommoir : il ne comprend pas qu'elle sorte de la chambrette du facteur qui de son côté reste paralysé dans son mouvement, le pichet en équilibre précaire à la main. Et c'est le drame ....

Impossible de décrire la finesse des sentiments qui enveloppe les deux personnages principaux. Henny Porten est une femme au visage magnifique. Ses expressions sont tellement justes qu'il n'y a pas d'équivoque possible. Fritz Kortner a le rôle ingrat du facteur, son humilité ne semble pas feinte, son épanouissement fait plaisir à voir et on se prend à espérer que le bonheur le rattrape enfin après une vie qui semble être passée en marge ou dans l'ombre. William Dieterle encore tout jeune n'apparait que quelques minutes dans le film.

Le film termine dans la tragédie, en effet on comprend que le facteur a voulu s'approprier par la force une part de lumière en interférant dans les messages des deux amoureux qu'il intercepte et échange. Comprenant la terrible supercherie la femme de chambre est déchirée et son amant, compatissant et compréhensif, se montre presque tendre avec le facteur mais ce geste de tendresse est de trop pour un homme qui n'a jamais rien eu, n'a rien et n'aura rien au final. L'amour et ses effets, le mal être sans l'amour ...

Le scénario, les acteurs, les images et la musique de l'édition Grapevine sont juste parfaits. Quelques scènes vous restent en tête par leur grande simplicité et leur très grande force de suggestion, il m'a été impossible de rester indifférente face à ces deux acteurs magnifiques et émouvants.

Ce film se trouve dans Ladies of the German Cinema avec le film Sappho (Grapevine Video).

Ce genre de film intimiste et minimaliste appelé Kammerspiel était en vogue en Allemagne dans les années 20. On trouve davantage d'explications sous http://fr.wikipedia.org/wiki/Kammerspiel






Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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