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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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jeudi 8 septembre 2011

Gallant Lady - Gregory La Cava - 1933




Ann Harding ...
Sally Wyndham
Clive Brook ...
Dan Pritchard
Otto Kruger ...
Phillip Lawrence
Tullio Carminati ...
Cynario
Dickie Moore ...
Deedy
Janet Beecher ...
Maria Sherwood
Betty Lawford ...
Cynthia


 84 minutes

Unn homme se prépare a battre un record de vol de longue distance en avion. Dans la foule une femme (Sally, Harding) le regarde avec amour pendant qu'il avoue aux journalistes être amoureux et avoir l'intention de demander en mariage la femme qu'il aime à son retour. Son dernier regard va vers Sally, la femme qu'il aime et l'avion s'ébranle pour se crasher en bout de piste où il explose et prend feu. 
Dans un parc, un policier tente de faire circuler une femme effondrée sur un banc qui n'est autre que Sally. Un homme (Dan, Brook) fait alors croire qu'elle l'attendait et lui sauve la mise en l’emmenant chez lui où il lui offre du café. Lui même ne va pas très fort car il a été radié de l'ordre des médecins et compte fuir en Australie après avoir passé quelques mois en prison pour avoir aidé un patient à en finir avec ses jours. Sally lui explique être enceinte et n'avoir aucune personne vers laquelle se tourner et Dan va l'aider de son mieux. Le nouveau né est confié à un couple, les Lawrence qui promettent de s'en occuper avec amour. Sally est déchirée par la séparation mais reprend goût à la vie grâce à Dan qui la présente à Maria Sherwood (Beecher), une décoratrice en vogue de la place. Maria est amoureuse de Dan, mais celui-ci n'a d'yeux que pour Sally à laquelle il tente de faire part de son amour mais celle-ci n'entend pas. Un jour Sally comprend que Maria est amoureuse de Dan et propose de partir à sa place en Italie pour lui laisser la place ...

avec Tullio Carminati


En général j'essaie de ne pas trop parler pour ne pas déborder dans les films parlants mais j'avoue que je ne résiste pas à l'envie d'écrire un mot à son sujet.
Un film à la fois très moderne par le sujet principal développé, l'adoption, mais aussi par les sous-thèmes qui l'entourent, tels l'euthanasie (un sujet toujours davantage d'actualité), l'amitié, et l'amour.
Le comportement des protagonistes est mûr et très adulte. Bien sûr on peut aimer et ne pas être aimé en retour, bien sûr les liens d'une mère sont très forts mais j'avoue quand même que la fin m'a surprise. Je suis assez fleur bleue je l'admets, mais le revirement final est trop rapide pour moi. D'un côté je vois bien que le personnage de Sally est amoureux tout à coup, alors que peu de temps auparavant il indiquait à Dan que ce n'est pas le cas, mais le fait est que quelque part c'est trop facile, même si d'un autre côté on peut se dire qu'un comportement correct ne peut qu'amener un dénouement correct (une espèce de retour de manivelle positif, en quelque sorte, mais cela n'est vrai que si ce film porte un message moralisateur, ce qui est en fait le cas, comme dans presque tous les films de cette époque). Mais je m'embrouille !

Bon tout le monde s'en f., mais moi j'aurais voulu que Sally se rende compte de l'immense amour que lui porte Dan, un amour noble qui ne demande rien en retour, un amour pur et désintéressé comme on n'en vit que très peu dans une vie (voire jamais).  Clive Brook est particulièrement magnifique dans ce rôle, ce partenariat avec Ann Harding fait ressortir de nombreuses facettes terriblement humaines qu'on ne lui voit pas souvent. Il a en particulier un talent certain pour incarner des hommes portés sur la boisson !
Ann Harding est magnifique dans ce rôle profond et classe. Par contre le titre est interpellant, j'ai de la peine à trouver un écho en français : gallant (en français fier, vaillant, noble ou brave, le sens n'est pas pareil). je dirais brave en ce qui concerne Sally et noble en ce qui concerne Dan (et d'ailleurs le titre de ce film pourrait être Gallant Man dans ce sens !)
Otto Kruger a un rôle peu crédible : on se demande comment il peut avoir des goûts aussi divers en matière de femmes !
A noter le petit Dickie Moore, très naturel dans ce rôle et celui de Tullio Carminati qui est utilisé comme faire valoir dans ce film ...

samedi 16 avril 2011

Secrets - Frank Borzage - 1933


Mary Pickford ...
Mary Carlton / Mary Marlow
Leslie Howard ...
John Carlton
C. Aubrey Smith ...
Mr. William Marlowe
Blanche Friderici ...
Mrs. Martha Marlowe (as Blanche Frederici)
Doris Lloyd ...
Susan Channing
Herbert Evans ...
Lord Hurley
Ned Sparks ...
Sunshine
Allan Sears ...
Jake Houser
Mona Maris ...
Senora Lolita Martinez
Huntley Gordon ...
William Carlton as an Adult
Ethel Clayton ...
Audrey Carlton as an Adult
Bessie Barriscale ...
Susan Carlton as an Adult


90 minutes
Scénario : Frances Marion (remake d'une version muette de 1924)

Mary Marlow (Pickford) appartient à la bonne société et son père (Aubrey Smith), un armateur banquier, souhaite la voir épouser un Lord anglais. Mais Mary a fait la connaissance de John (Howard), un clerc de son père et en est tombée amoureuse. Aussitôt son père saque son employé en lui promettant qu'il ne trouvera jamais plus de travail dans la région;  John n'a donc d'autre choix que de partir pour la Californie. Le soir d'un bal arrangé où les fiançailles de Mary avec le Lord sont subitement annoncées, Mary feint de se trouver mal et remonte dans sa chambre. John rejoint Mary à l'aide d'une échelle et Mary décide de s'enfuir avec lui en Californie : c'est le début d'un long voyage en direction de la terre promise. Malgré les embuches, ils finissent par s'installer et élèvent du bétail. Mais les soucis continuent : des voleurs sévissent dans les parages, et leur fils est bien malade ....



C'est une saga familiale (en trois époques, de styles différents et en mode concentré), qui porte sur une cinquantaine d'années. Un film charmant et original. 
On débute par la cour faite à Mary par John en grand bi, le déshabillage de Mary par John qui enlève les jupons par couches, la fuite des deux amants sur le grand bi (avec les jupes !), le mariage symbolique et la longue marche avec les chariots jusqu'en Californie - filmée de manière particulièrement réaliste et où l'on voit les embuches de la piste, entre les chemins caillouteux, la boue, les orages, etc.- les gros plans sur les jambes des chevaux, des hommes, les roues des chariots etc sont très réussis et vous font comprendre parfaitement toutes les difficultés du parcours.
La deuxième partie nous montre l'installation du jeune couple et leur fils dans une région hostile et s'apparente plus à un western et la troisième partie nous entraîne assez rapidement dans la reconnaissance sociale de John maintenant gouverneur de Californie en poste à Washington et les difficultés du couple sur la durée.
Le tout termine dans une charmante pirouette où l'on voit le couple, maintenant âgé, s'enfermer dans une pièce alors que leurs enfants (adultes) tentent de les convaincre de ne pas partir pour la Californie. Finalement Mary leur annonce qu'ils les aiment tous mais que maintenant ils aimeraient se retrouver en couple, comme avant qu'ils arrivent, et cesser de parler d'eux pour enfin se consacrer à eux-mêmes. Elle ajoute qu'ils ont des secrets, qu'ils ne tiennent pas à partager avec leurs enfants. Des joies secrètes, des soucis secrets, des secrets charmants et d'autres terribles ... qui appartiennent à eux seuls !
Une belle fin idéaliste, qui prend le cœur en compte et qui nous fait penser qu'il ne faut finalement pas grand'chose, sinon une seule chose, pour faire durer un couple : l'amour avec une bonne dose de grandeur d'esprit !

A cette époque Mary Pickford avait bien de la peine avec la transition au parlant. Ses deux films précédents avaient été mal accueillis par le public, elle traversait une crise matrimoniale avec Douglas Fairbanks. 
Les critiques de l'époque étaient bonnes mais malheureusement ce film n'obtint pas le succès escompté, peut être est-ce dû au décret anti-dépression prononcé par le Président Roosevelt  en ces temps difficiles de l'époque ?






mardi 30 novembre 2010

Heroes for Sale - William A. Wellman - 1933


Richard Barthelmess ...
Thomas 'Tom' Holmes
Aline MacMahon ...
Mary Dennis
Loretta Young ...
Ruth Loring Holmes
Gordon Westcott ...
Roger Winston
Robert Barrat ...
Max Brinker (as Robert Barratt)
Berton Churchill ...
Mr. Winston
Grant Mitchell ...
George W. Gibson
Charley Grapewin ...
Pa Dennis (as Charles Grapewin)
Robert McWade ...
Dr. Briggs
G. Pat Collins ...
Leader of Agitators (as George Pat Collins)
James Murray ...
Blind soldier
Edwin Maxwell ...
Laundry Company President



76 minutes

Durant la première guerre mondiale, Roger (Wescott) et Tom  (Barthelmess) sont envoyés dans une mission dont ils savent qu'ils ont peu de chance de revenir. Durant le combat Roger perd les pédales et se terre dans un trou alors que Tom continue tout seul. A son retour et après qu'il ait capturé un soldat ennemi, il est grièvement blessé et demande à Roger de l'aider à retourner dans la tranchée. Celui-ci est incapable de faire le moindre geste et Tom est laissé pour mort. Alors que Roger est décoré pour haute bravoure, Tom est soigné par les allemands qui le remettent sur pied mais ne peuvent enlever tous les morceaux de métal figés dans sa colonne vertébrale. En proie à une grande souffrance permanente, il prend de la morphine. A l'armistice, Tom et Roger se retrouvent sur le bateau qui les ramène au bercail. Roger explique qu'il n'a pas pu faire autrement que de recevoir tous ces honneurs, et Tom l'assure qu'il n'a pas l'intention de révéler quoi que ce soit. Roger est reçu comme un héros dans leur ville natale et Tom retrouve sa mère et un travail au sein de la banque du père de Roger. Très vite il fait de nombreuses erreurs et ne peut plus se passer de morphine. Déclaré comme drogué, il est viré de la banque et part pour Chicago. Dans une gargote bon marché, il loue une chambre misérable lorsqu'il pose les yeux sur Ruth (Loretta Young), une autre locataire de la pension ...



Je m'arrête là dans le descriptif de ce film excellent. Robert Barthelmess crée un nouveau personnage à chaque fois. Il est un Tom très humain plus vrai que nature dans ce film poignant. Plein d'idées, il rebondit, crée, aime, et à chaque fois il retombe, traité injustement. Loretta Young est égale à elle même chaleureuse et souriante, mais c'est Aline McMahon qui m'a le plus touchée.  Robert Barrat est excellent dans le rôle du "rouge" exalté et inventif qui s'adapte au capitalisme car -
citation :
Thomas 'Tom' Holmes: You used to hate the capitalists.
Max Brinker: Naturally. That was before I had money.

C'est le genre de film à voir lorsqu'on se sent des velléités philanthropiques et le tout est l'illustration parfaite de ce poème de Kipling

Si : Tu seras un homme, mon fils - traduction d'André Maurois (1918)

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.


... il y a encore du chemin à parcourir, et c'est justement sur l'image de Tom en marche que le film se termine ! ... et ce n'est pas un hasard si je termine par cette image de Tom au guichet de la banque ...

dimanche 22 août 2010

Man's Castle - Frank Borzage - 1933



Spencer Tracy... Bill

Loretta Young... Trina
Marjorie Rambeau... Flossie
Glenda Farrell... Fay La Rue
Walter Connolly... Ira
Arthur Hohl... Bragg
Dickie Moore... Joey

75 minutes
Bill (Tracy), un homme sans le sou mais débrouillard rencontre Trina (Young), une jeune femme qui n'a pas mangé depuis plusieurs jours. Habillé en homme du monde, il l'emmène dans un luxueux restaurant où il s'avère qu'il ne peut payer l'addition. A l'aide de son boniment très sensé, il s'en sort sans problème et présente son lieu d'habitation à Trina qui ne sait où aller : une cabane précaire sans toit car il aime regarder le ciel dans une cité de sans-logis sans eau courante mais sans impôt à payer (!) près du pont de Brooklin. Après les présentations des voisins les plus proches,  Bill, en costume d'Adam plonge dans l'eau et demande à Trina de le rejoindre. D'abord effarouchée elle tente de s'esquiver mais il insiste et elle plonge à son tour ..



Une ode à la liberté : Bill souhaite rester libre et sans attache, mais ne peut résister à Trina qui prend chaque jour davantage de place dans sa vie. Bill et Trina ne sont pas les victimes des temps qui sont durs, mais des êtres dont la foi dans le bonheur est plus forte que tout.

Un film tout de pureté, tendresse et délicatesse, comme toutes les oeuvres de Borzage que j'ai pu voir ...

Spencer Tracy et Frank Borzage se sont parfaitement trouvés dans ce film, ils se ressemblent même un peu. Ce film a subi de nombreuses coupures de la censure et a été reçu par des critiques plus que virulentes par les media l'époque.


C'est étrange, quand les gens n'ont plus rien, ils se comportent comme des êtres humains ...

Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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