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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 8 septembre 2021

Little Lord Fauntleroy - Alfred E. Green, Jack Pickford - 1921

 



Le petit Cédric Errol vit avec sa maman Chérie à New York. Amical, Cédric est très copain avec Hobbs l'épicier, Madame Mc Ginty La vendeuse de pommes et Dick, le cireur de chaussures.

Lorsqu'il a finit sa tournée auprès de ses amis, Cédric retourne auprès de sa maman qui est veuve et qui souhaite qu'il garde ses longues boucles de cheveux qui lui rappellent son papa, maintenant décédé. Cela vaut à Cédric de belles moqueries mais le petit garçon est heureux de faire plaisir à sa mère.

Très loin en grande-Bretagne, le Comte de Dorincourt porte tous ses espoirs sur son dernier fils mais celui-ci tombe de cheval et meurt. Conseillé par son avocat Havisham, il décide de faire venir le fils de son 1er fils décédé et renié pour une mésalliance. 

Cédric fait donc ses adieux à ses amis et rejoint sa maman. Tous deux font leurs bagages et se rendent auprès du Comte mais celui-ci est très réticent à l'idée de faire la connaissance du petit garçon. Quant à sa mère il ne veut pas en entendre parler et la fait loger dans un pavillon loin du manoir. Cédric pourra la voir lorsqu'il le souhaitera.

Par ses charmantes manières, très vite Cédric séduit toute la maisonnée et son grand-père qui lui offre un poney. Cédric s'acclimate très vite à la nouvelle situation et le Comte, très fier de son petit fils le présente à la société locale.

Bientôt les choses se compliquent car une femme prétend être la femme du fils du Comte et exige que son fils soit l'héritier légitime. Le Comte est dévasté à l'idée de perdre Cédric ...

 


Très jolie histoire qui avait ravi ma jeunesse. Mary Pickford interprète fort joliment la mère et le fils. Grâce à une habile photographie, Cédric parait beaucoup plus petit que sa mère.Ainsi les deux personnages sont bien distincts. Dans le rôle de Chérie, Mary Pickford se montre plus d'une fois très touchante.

C'est une histoire charmante très bien menée qui suit de près le roman écrit par Frances Hodgson Burnett.

110 minutes

 

Mary Pickford ... Cedric Errol / Widow Errol

Claude Gillingwater ... Earl of Dorincourt

Joseph J. Dowling ... William Havisham (as Joseph Dowling)

James A. Marcus ... Hobbs (as James Marcus)

Kate Price ... Mrs. McGinty

Fred Malatesta ... Dick

Rose Dione ... Minna


mercredi 28 février 2018

The Man Who Had Everything - Alfred E. Green - 1920




Mark Bullway a créé un empire à force d'acharnement au travail avec l'aide de son assistante, une jeune fille sérieuse nommée Prue Winn. Par contre son fils Harry surfe sur la fortune de son père et ne se prive pas de brûler la chandelle par les deux bouts, boisson, filles, il ne rêve que d'une vie de luxe sans produire aucun effort. Son père ne sait plus comment faire devant les frasques incessantes de son fils.

Un jour la voiture des Bullway heurte malencontreusement un aveugle au coin de la rue. Le père se montre désolé mais le fils n'éprouve aucune pitié envers l'aveugle, Matt Sills, qui émet alors le souhait que "le jeune homme obtienne toujours ce qu'il souhaite dans sa vie".
Mark Bullway va alors trouver le vieil homme pour comprendre le sens de son souhait. L'aveugle lui explique alors que si Harry était son fils il lui fournirait tout ce qu'il souhaite afin de le faire sortir de ses mauvais penchants en réalisant que la vie n'est pas que du plaisir.

Suivant les conseils du vieux sage, Bullway demande à Joel, le majordome la liste de tout ce que souhaite Harry. Parmi la liste, se trouvent pêle-mêle des chevaux de polos, une voiture de sport, un bulldog, et surtout le nom de Leonore Pennell, une jeune femme aguichante et très intéressée par la fortune de Bullway. Harry en est fou, au grand désespoir de Prue qui aime secrètement le jeune homme.

Bullway va trouver Leonore à laquelle il propose 1cents qui se double chaque jour ce qui fait passé un million de dollars après 28 jours si la jeune femme obtient le mariage avec son fils. Leonore est ravie et, alors qu'elle tenait le jeune oisif à distance jusque là, met les bouchées doubles pour séduire Harry.

Harry est ravi, il a tout ce qu'il désire et continue à mener sa vie dissolue. Petit à petit pourtant ses excès commencent à lui faire comprendre qu'il passe peut-être à côté de sa vie. Le déclic vient au cours d'une soirée où Leonore part danser avec son protecteur. Ne voyant pas la jeune fille revenir, Harry suit le couple et comprend qu'il a été dupé. Il met alors fin à la relation au grand dam de la jeune fille dépitée ....



Un film gentil et plein de bonnes intentions qui finit bien. Maintenant à savoir si la solution du père serait vraiment efficace dans la vie actuelle ? J'ai des doutes. Personnellement je pense que je serais ravie d'obtenir tout ce que je souhaite sans effort ! De plus, à cette époque, bon nombre de films ont été tournés sur les enfants de riches trop gâtés et peu sympathiques, avec parfois le même résultat qu'ici, parfois une longue descente aux enfers donc cette solution présente des risques assez importants je pense. A noter qu'il faut une somme considérable pour l'appliquer !

Jack Pickford a 25 ans dans ce film et parait bien jeune. Franchement il n'a pas trop le physique du jeune premier que s'arrachent les femmes ! J'aurais donc plutôt appelé ce film "The BOY Who Had Everything" !
Lionel Bellmore est solide et Priscilla Bonner bien comme il faut, comme il se doit. Shannon Day la joue la vamp avec bonheur et Alec B. Francis a tout du vieux sage.


65 minutes

Jack Pickford ...
Harry Bullway
Lionel Belmore ...
Mark Bullway
Priscilla Bonner ...
Prue Winn
Shannon Day ...
Leonore Pennell
Alec B. Francis ...
Matt Sills
Will Machin ...
Joel - Bullway's Butler (as William Machin)


mercredi 28 juin 2017

Through the Back Door - Alfred E. Green, Jack Pickford - 1921

 

En Belgique en 1903. Madame Louise Bodamere est jeune, jolie et ... veuve. Elle est courtisée par un riche américain Elton Reeves. Seule ombre au tableau pour cet homme, la vue de la petite fille de Louise, ,Jeanne, qui est confiée la plus grande partie du temps à une gouvernante dévouée et aimante, Marie Gaston.
Elton est jaloux du peu d'attention que Jeanne obtient de sa maman et la convainc de la laisser en Belgique alors que tous deux s'en vont seuls en Amérique. A sa grande surprise Louise est déchirée de devoir quitter la petite fille qui part vivre avec Marie et son mari dans une ferme à la campagne.
Les années passent, un jour Marie reçoit une lettre lui annonçant l'arrivée de son ancienne patronne venue rechercher sa fille.
Lorsqu'elle se présente, Marie lui annonce que la petite est morte noyée dans la rivière et que son corps n'a jamais été retrouvé.
Madame Reeves est effondrée de ne pas avoir revu sa fille et retourne aux Etats-Unis, très éprouvée par cette nouvelle.
En 1914 la guerre est déclarée et Marie décide d'envoyer Jeanne qu'elle chérit plus que tout au monde, retrouver sa mère pour lui éviter la guerre. Un curé l'a aidé à se confesser et à écrire une lettre pour avouer son mensonge. Porteuse de la précieuse missive, Jeanne s'en va pour prendre le paquebot mais en route elle découvre deux enfants dont la mère est morte en chemin. Jeanne emmène les deux petits garçons avec elle.
Après avoir transité par Ellis Island, Jeanne et les petits arrivent devant la propriété des Reeves et pénètrent dans le jardin. Un jardinier refuse de l'écouter et Jeanne et les petits finissent dans les cuisines où un immigré Belge les prend sous son aile. Jeanne est maintenant soubrette chez les Reeves ...



Le début est un peu long. La caméra s'attarde sur les bêtises de Jeanne qui n'en finissent pas. L'attention reprend dès le départ de Jeanne pour les Etats-Unis. Les images sensibles et délicates nous présentent de nombreuses personnes fuyant la guerre. On s'attache à de nombreux visages jusqu'au moment où Jeanne découvre les deux petits enfants tout seuls.
La fin est très émouvante, j'avoue avoir versé une larme devant la gentille et convaincante Mary Pickford.

 On trouve ce film chez Milestone, musique composée et dirigée par Robert Israel

90 minutes



Mary Pickford ...
Jeanne
Gertrude Astor ...
Louise Reeves
Wilfred Lucas ...
Elton Reeves
Helen Raymond ...
Marie
C. Norman Hammond ...
Jacques Lanvain
Elinor Fair ...
Margaret Brewster
Adolphe Menjou ...
James Brewster
Peaches Jackson ...
Conrad
Doreen Turner ...
Constant
John Harron ...
Billy Boy
George Dromgold ...
Chauffeur


jeudi 9 mai 2013

Little Lord Fauntleroy - Alfred E. Green, Jack Pickford - 1921





Mary Pickford... Cedric Errol / Widow Errol
Claude Gillingwater... Earl of Dorincourt
Joseph J. Dowling... William Havisham (as Joseph Dowling)
James A. Marcus... Hobbs (as James Marcus)
Kate Price... Mrs. McGinty
Fred Malatesta... Dick
Rose Dione... Minna
Arthur Thalasso... The Stranger
Colin Kenny... Bevis

112 minutes
Un roman publié à l'origine sous la forme d'un feuilleton écrit par Frances Hodgson Burnett

Cedric vit avec sa maman à New York. Il a beaucoup d'amis dans la rue mais n'hésite pas à utiliser ses poings le cas échéant. Sa maman qu'il surnomme Dearest (si je me souviens bien Chérie dans le livre en Français) est veuve, digne et aimante. 
En Angleterre le Compte de Dorincourt vient de perdre son fils et unique héritier. Il a éliminé de sa vie son autre fils parce qu'il a choisi une roturière. Du coup, sachant qu'il a un petit fils aux Etats Unis il mande son agent Havisham d'aller chercher le jeune garçon pour en faire son héritier. Sa mère pourra le suivre mais il est hors de question qu'elle vive sous le même toit.
Après avoir dit au revoir à ses amis Hobbs, l'épicier, Madame McGinty la vendeuse de pommes et à Dick le cireur de chaussures, Cedric se retrouve donc devant l'imposante bâtisse où il va poursuivre sa vie. Dearest vit désormais dans le bâtiment à l'entrée de l'immense propriété. Il fait la connaissance de son grand-père un homme aigri mais agréablement surpris par le petit garçon. Petit à petit Cédric va apprivoiser ce vieil homme acariâtre qui va se métamorphoser sous son influence. A tel point que Dearest finit par le rencontrer elle aussi. Mais des nuages pointent à l'horizon. Une femme prétend être la mère d'un héritier qu'elle aurait eu du fils ainé du Comte. Le grand-père n'a pas d'autre choix que de faire venir cette femme avec son fils mais les vieux amis de la rue de Cédric ayant eu vent de la chose veillent ...



Je me souvenais assez bien de cette histoire lue dans ma jeunesse. Le Cédric dépeint était vif et charmant et je craignais beaucoup de voir une femme jouer ce rôle. J'avoue que je suis agréablement surprise car Mary Pickford est tout à fait étonnante dans ce rôle de petit garçon doublé du rôle de la maman. Les rôles sont bien différenciés, il parait difficile de croire qu'il s'agit de la même personne. Dearest est plus grande, très féminine, gracieuse, douce et digne. Cédric agit comme un petit garçon habillé de façon masculine. Si ses traits sont bien sûr féminins, les actes suffisent à nous convaincre. Bien que l'histoire soit assez démodée on passe un bon moment à la suivre, même s'il y a quelques longueurs.

On trouve ce film très bien restauré chez Milestone, musique de Nigel Holton.




dimanche 13 mai 2012

Silk Husbands and Calico Wives - Alfred E. Green - 1920



House Peters ...
Deane Kendall

Mary Alden ...
Edith Beecher Kendall

Mildred Reardon ...
Marcia Lawson

Edward Kimball ...
Jerome Appleby

Sam Sothern ...
Alec Beecher

Eva Novak ...
Georgia Wilson

Vincent Serrano ...
Charles Madison

Rosita Marstini ...
Mrs. Westervelt (as Madame Marstini)

52 minutes

Dans une petite ville fictive nommée Harmony réputée pour les traditions démodées de ses habitants, un avocat, Deane Kendall (House Peters) peine à trouver des clients et se demande s'il ne devra pas bientôt retourner aux champs pour gagner sa croute. La sténographe d'un juge, Edith (Mary Alden) lui fait apporter quelques livres. Un jugement va être prononcé sur un crime commis par un mari qui a surpris un homme suggérant le divorce à sa femme. Un avocat de l'Est réputé, Appleby, va venir le défendre et Deane assiste au procès. Il ne tarde pas à trouver que la défense est mal organisée et Edith le présente à l'avocat qui lui cède la plaidoirie. Deane joue sur le plan que la femme doit obéissance à son mari "Amour, honneur et obéissance" en l’occurrence. Le jury composé d'hommes le déclare donc non coupable et l'accusé est donc acquitté. Appleby propose alors à Deane un travail dans son cabinet de l'est. Celui-ci accepte mais souhaite qu'Edith l'accompagne en tant qu'épouse mais elle hésite car elle souhaiterait devenir une partenaire de son mari, et non une femme soumise. Deane se montre persuasif et l'amour l'emporte. Edith se retrouve donc femme au foyer dans un petit trois pièces pendant que son mari a de plus en plus de succès au barreau.  Le soir de leur premier anniversaire de mariage, Edith a passé la journée à cuisiner et Deane rentre en lui annonçant qu'il avait oublié l'anniversaire et qu'ils sont invités chez les Appleby. Edith détonne parmi les femmes présentes et Deane souhaiterait que sa femme lui fasse honneur en portant de belles toilettes mais Edith reste simple et met volontiers la main à la pâte. Devenu riche, Deane engage un architecte pour créer leur nouvelle maison. Il téléphone à sa femme pour lui annoncer qu'il amène un invité. Le personnel ayant son jour de congé Edith fait tout le repas toute seule et se montre en tablier à l'arrivée des deux hommes. Deane se montre contrarié mais l'architecte nommé Madison (Serrano) se montre charmé par Edith et sa cuisine qui lui rappelle sa propre mère. Deane est de plus en plus occupé et ne laisse pas Georgia Wilson (Eva Novak) indifférente. Madison complote pour intéresser l'innocente Edith ....



Une surprise que ce film au titre un peu étrange. La plaidoirie m'a laissée pantoise, oui en ce temps là on jurait aussi honneur obéissance et fidélité et visiblement pour certains cela avait une signification. Le jury est conquis, les femmes du public applaudissent et on se demande où le film va nous mener tout en craignant pour la suite. Ensuite on comprend que cela va se compliquer et que notre avocat va devoir évoluer, d'une manière ou d'une autre. Pendant que sa femme reste fidèle à elle-même sans jamais obtenir de reconnaissance, Deane passe des soirées entre amis et le succès lui tend les bras. Lorsque l'architecte se montre intéressé par Edith, celle-ci est heureuse de trouver quelqu'un qui semble l'apprécier. Évidemment cela ne passe pas sans que Deane ne le remarque. Il faudra du temps avant qu'il ne comprenne que "avec de l'amour et du respect, nul besoin d’obéissance".

Quelques scènes sont tout bonnement innovantes pour l'époque. Lorsque Dean aperçoit Madison auprès de sa femme, l'écran se rétrécit brutalement et se focalise uniquement sur l'homme qui flirte avec Edith. De même lorsqu'Edith accroche une rose au revers du veston de Deane, on comprend en un clin d'oeil que celui-ci a vu que Madison porte lui aussi une rose à la boutonnière : gros plan sur la boutonnière et un oeil qui prend tout l'écran ... Très bien fait de manière très explicite. Intéressant aussi de voir ces femmes émancipées de l'époque qui demandent le divorce parce qu'"après un certain temps, franchement, le mariage devient ennuyeux".

On n'a peu l'occasion de voir House Peters à l'écran et c'est fort dommage : c'est un très bel homme séduisant et élancé (1m87) dont la prestance ne fait aucun doute. Mary Alden lui donne la répartie de fort jolie manière avec une allure simple et noble. Ils ont respectivement 40 ans et 37 ans en 1920.
Les intertitres sont très soignés. Malheureusement ma version était sans son mais honnêtement je l'ai à peine remarqué tant l'intrigue était captivante à suivre.

Ne pas confondre House Peters Sr avec House Peters Jr, son fils acteur lui aussi. House Peters Sr a mené une vie très active et aventureuse dans sa jeunesse. Edward Kimball est le père de Clara Kimball Young.






mardi 4 janvier 2011

Irene - Alfred E. Green - 1926



Colleen Moore ...
Irene O'Dare
Lloyd Hughes ...
Donald Marshall
George K. Arthur ...
Madame Lucy
Charles Murray ...
Pa O'Dare
Kate Price ...
Ma O'Dare
Ida Darling ...
Mrs. Warren Marshall
Eva Novak ...
Eleanor Hadley
Edward Earle ...
Larry Hadley
Larry Wheat ...
Bob Harrison (as Laurence Wheat)
Marion Aye ...
Helen Cheston (as Maryon Aye)
Bess Flowers ...
Jane Gilmour
Lydia Yeamans Titus ...
Mrs. Cheston
Cora Macey ...
Mrs. Gilmour


90 minutes
Tiré d'un comédie musicale présentée à Broadway et qui avait obtenu pas mal de succès.

Irene O'Dare est l'aînée de la famille O'Dare, un famille pauvre dont la mère travaille dure et le père semble plutôt abonné à la bouteille. Le travail d'Irene consiste à livrer les vêtements fraichement lavés par sa maman à ses clients. Malheureusement Irene n'est pas très attentive et sa maman l'envoie trouver un autre travail : Irene travaille donc dans une vitrine où elle vente les qualités des lits présentés ... Mais Irene s'amuse au grand plaisir des badauds rassemblés sur le trottoir et son patron la vire. Sa mère lui déclare ne plus vouloir la voir tant qu'elle n'aura pas trouvé un nouveau travail et Irene fait la connaissance fortuitement, de l'Héritier Marshall qui est en train de s'associer au célèbre couturier, Madame Lucy ...


Un excellent véhicule qui permet à Colleen Moore d'exposer ses talents de comique. L'histoire est un genre de conte à la Cendrillon, Lloyd Hughes apporte la touche de séduction nécessaire, George K. Arthur est excellent en Madame Lucy (du nom de sa tante qui a créé la célèbre marque !) et tous les protagonistes ont l'air de bien s'amuser. Vous aurez droit en prime à un défilé de mode ahurissant axé sur les quatre saisons. Une scène amusante lorsque Irene s'enfuit d'une soirée où un homme se montre trop entreprenant, elle rencontre une autre femme dans le même cas qui sort une paire de patins à roulettes : les deux femmes en chaussent chacun un et, se tenant par la taille, se déplacent à deux comme des patineurs sur la glace ... trop chou !
Partiellement tourné en Technicolor 2 bandes

samedi 14 août 2010

Ella Cinders - Alfred E. Green - 1926







Colleen Moore... Ella Cinders

Lloyd Hughes... Waite Lifter

Vera Lewis... Ma Cinders

Doris Baker... Lotta Pill

Emily Gerdes... Prissy Pill

Mike Donlin... Film Studio Gateman

Jed Prouty... Mayor

Jack Duffy... Fire Chief

Harry Allen... Photographer

Alfred E. Green... Director

D'Arcy Corrigan... Editor

60 minutes

La pauvre Ella Cinders est bonne dans sa propre famille. Sa mère, et ses deux belles-soeurs l'utilisent dans toutes les tâches ménagères mais lui refusent tout loisir... Le seul rayon de soleil dans la vie d'Ella est le livreur de blocs de glace, Waite Lifter, qui fait tout ce qu'il peut pour la sortir de cette triste vie. Lorsqu'Ella gagne un concours de beauté, tout s'enchaîne rapidement ...




Trop mignon ce film, sur fond de comédie. On ne peut s'empêcher de rire dans des scènes hilarantes : celle d'Ella chez le photographe et importunée par une mouche, Ella prenant le train pour Hollywood est retrouvant à son réveil la voiture dans laquelle elle s'est assoupie remplie d'indiens emplumés magnifiques et fumant le cigare, la scène où Ella interrompt le tournage d'Harry Langdon ... bref, que du bonheur !


Colleen Moore est charmante et possède un réel talent comique.
Lloyd Hughes est un support très crédible (tout en étant très séduisant, ce qui ne gate rien !)
Les habitants de Roseville, le pompier etc ont des figures originales, qui se fondent dans le décors parfaitement.
La famille d'Ella, sa mère et ses belles-soeurs, sont elles aussi bien choisies.

Le conte de cendrillon (Cinderella = Ella Cinders) sauce humoristique, sans citrouille, un carrosse remplacé par un attelage de livraison de glace, une chaussure (qui n'est pas en vair ! et de taille normale), et un prince ...
Les ingrédients essentiels y sont tous !





Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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