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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 19 janvier 2022

Spangles - Frank O'Connor - 1926

 


La police recherche un homme en fuite aux abord de la gare où un cirque est en train de charger. Le fuyard, Dick, réussit à leur fausser compagnie en passant de l'autre côté d'un train grâce à la pipe d'approvisionnement d'eau. Il se cache alors dans un compartiment couchette où Spangles vient se coucher. Emue par Dick, Spangles lui remet sa bague de fiancailles remise par le directeur du cirque, Big Bill Bowman. Big Bill n'a maintenant plus de cesse d'épouser la belle, au grand dam de Mademoiselle Dazie, la dompteuse de lions et de son neveu Jack Milford, lui aussi amoureux de Spangles.

Tandis que la police montre un portrait de Dock au directeur du cirque, Dick s'en va mais ne peux se résoudre à laisser Spangles. Il continue à trainer près du cirque et finit par être engagé, créant aussi beaucoup de jalousie. En effet, Spangles fait croire que Dick lui  a ramener sa bague de fiancailles perdue.


Un jour Big Bill est retrouvé mort. Aussitôt tous les soupçons se portent sur Dick mais celui-ci a fini par se rendre à la police où on le relâche, le vrai coupable ayant avoué.

De retour au cirque, Dick est sur le point d'être lynché par les employés du cirque furieux ....

 


Un drôle de film. L'action comporte pas mal de longueurs et de scènes de cirque n'apportant pas grand chose à l'action. 

 La scène dans les couchettes du train rappelle Certain l'aiment chaud, Il  a une femme à barbe, un géant, des nains, et même une course de chars rappelant Ben Hur.

Marian Nixon est bien mignonne, mais voilà, le scenario n'accroche pas. La seule qui tire son épingle du jeu est Gladys Brockwell, étonnant dans le rôle de la dompteuse de lions !

Les films de cirque de cette époque me dépriment, les animaux apparaissent pathétiques et ça me démoralise ...

70 minutes


Marian Nixon ... 'Spangles' Delancy

Pat O'Malley ... Dick Hale aka Dick Radley

Hobart Bosworth ... Robert 'Big Bill' Bowman

Gladys Brockwell ... Mademoiselle Dazie

Jay Emmett ... Jack Milford

James Conly ... Biff - the Halfwit

Grace Gordon ... Davidina - Bearded Lady

Paul Howard ... Armless Man


samedi 11 mai 2013

Silks and Saddles - Robert F. Hill - 1929


Richard Walling ...
Johnny Spencer
Marian Nixon ...
Lucy Calhoun (as Marion Nixon)
Sam De Grasse ...
William Morrissey
Montagu Love ...
Walter Sinclair
Mary Nolan ...
Sybil Morrissey
Otis Harlan ...
Jimmy McKee
David Torrence ...
Judge Clifford
Claire McDowell ...
Mrs. Calhoun
Johnny Fox ...
Ellis (as John Fox Jr.)
Hayden Stevenson ...
Trainer


Moins de 60 minutes


En Virginie Madame Calhoun et sa fille sont éleveuses des chevaux de course.  Leur jockey vedette, Johnny Spencer, est considéré comme un fils par la mère, aimé par Lucy et entrainé par Jimmy McKee un ancien jockey lui-même.
Un jour Morrissey un margoulin du nord vient proposer à Madame Calhoun de donner une chance à Johnny en faisant miroiter le succès sur les champs de courses prestigieux de New York. Lucy est navrée de voir Johnny partir et celui-ci se montre triste de quitter Lady Courageous, la jument qu'il fait courir ainsi que la jeune fille.
A New York Johnny remporte quelques courses et sa côte de popularité est en hausse. Sachant que le jeune homme est intègre Morrissey fait appel à Sybil pour le séduire. Très vite Johnny succombe aux charmes de cette jeune femme à tel point qu'il lui propose le mariage mais un jour il est surpris par Lucy venue avec sa mère pour inscrire Lady à la grande course annuelle qui aura lieu bientôt. La déception de la mère et la fille est immense.
Mais bientôt Sybil, manipulée par l'affreux Morrissey, lui explique qu'il faut absolument qu'il perde la prochaine course sinon sa famille perdra toute sa fortune et qu'elle ne pourra pas l'épouser dans ces conditions. Le pauvre et naïf Johnny accède à sa demande mais sa manière de retenir son cheval est tellement maladroite qu'il est disqualifié et que sa licence de jockey lui est retirée. Pire encore, Sybil a disparu en indiquant avoir changé d'avis. Banni par ses pairs Johnny erre telle une âme en peine et pour supporter sa douleur il se tourne vers l'alcool.
La grande course ayant lieu prochainement, Jimmy et Ellis le jockey remplaçant, se mettent à la recherche de Johnny qu'ils convainquent d'aller voir Lady car ses résultats n'atteignent pas ceux escomptés. Johnny surpris en train de dormir dans le boxe de Lady est sur le point d'être jeté dehors quand Lucy décide de lui donner une deuxième chance. Très vite la jument fait de gros progrès ...


Une histoire pour tous les amateurs de chevaux et du monde des courses. L'histoire d'un jeune homme naïf qui se laisse prendre dans les filets d'une jeune fille malhonnête qui le pousse à tricher. 
Richard Walling et Marian Nixon se montrent tous les deux touchants, Claire McDowell plutôt dure,  Mary Nolan séductrice, le film se laisse suivre avec plaisir, en particulier il est intéressant de voir la manière de monter des jockeys de l'époque.






jeudi 28 mars 2013

Devil's Island - Frank O'Connor - 1926



Pauline Frederick ...
Jeannette Picto
Marian Nixon ...
Rose Marie
George J. Lewis ...
Léon Valyon (as George Lewis)
Richard Tucker ...
Jean Valyon
William R. Dunn ...
Guillet (as William Dunn)
Leo White ...
Chico
John Miljan ...
André Le Févier
Harry Northrup ...
The Commandant

70 minutes

Un célèbre chirurgien parisien, Jean Valyon, est condamné à finir le reste de ses jours sur l'Ile du Diable en Guyane Française. Sa fiancée qui est une jeune femme de noble souche lui promet de lui rester fidèle. Après 7 ans les prisonniers du bagne ont la possibilité de se marier à Cayenne. Jeannette, la fiancée de Jean réussit à convaincre André Le Févier, un ami fidèle amoureux d'elle, de lui délivrer un passeport pour se rendre à Cayenne où elle peut enfin épouser l'homme de sa vie. Malheureusement en échange elle devra elle aussi passer le reste de sa vie en Guyane. 
Le couple s'installe sur un petit lopin de terre et un garçon nait de l'union. Léon grandit et ne tarde pas à suivre les traces de son père en devenant à son tour un chirurgien talentueux bien après la mort de son père. La mère fait tout ce qui est en son pouvoir pour que Léon retourne en France et les deux construisent secrètement un bateau qui devra lui permettre de s'échapper par la mer. 
Or Léon fait la connaissance d'une jeune femme Rose Marie qui lui dit habiter au couvent. Or elle est danseuse dans un bar. Léon tombe amoureux et se montre très déconfit lorsqu'il découvre la supercherie de Rose Marie. Celle-ci comprend que Léon va quitter l'île et menace de le dénoncer au Commandant. Des soldats viennent chercher Léon et sa mère et le Commandant leur annonce que la Commission des pardons les autorise à retourner en France suite au succès d'une opération pratiquée par Léon sur Guillet, un prisonnier ami de feu son père ...



Un film à l'ambiance et à l'action très particulières. On ignore pourquoi le chirurgien est condamné au bagne ni pour quel type de peine (voir lien ci-dessous), on se demande comment il se fait que le fils deviennent aussi talentueux que son père à Cayenne, d'autant plus que le père meurt alors que le garçon semble avoir une dizaine d'années. Pourtant Léon pratique avec succès la chirurgie !
Étonnamment, ceci dit, l'histoire reste assez fascinante peut-être parce qu'elle sort totalement de l'ordinaire et qu'elle met en exergue l'amour inconditionnel des deux femmes, Jeannette et Rose-Marie ainsi que des hommes, Jean, Léon et André, qui se montrent épris au point d'attendre de nombreuses années l'occasion propice à retrouver leur amour. 
L'univers carcéral est montré de façon presque idyllique. A part le fait que les prisonniers sont condamnés à rester sur l'île ils semblent finalement mener une vie presque normale. Le Commandant lui-même ne se montre pas cruel, les codétenus ont l'air sympathiques, bref une vision parfaitement utopique et romancée sans rapport avec la réalité ...

George J. Lewis, le futur très connu Don Alejandro de La Vega et papa de notre Zorro favori se montre déjà très séduisant et fait honneur à la belle Marian Nixon qui danse avec légèreté dans le film. Les parents ne sont pas en reste avec Pauline Frederick qui se montre aimante et courageuse pour le stoïque Richard Tucker tandis que John Miljan attend son heure patiemment.

Un film que l'on trouvait chez Sunrise Silents en son temps, plutôt étonnant et pas du tout plausible dans le fond mais qu'il est intéressant de voir ...

http://www.lexpress.fr/region/c-eacute-tait-le-bagne_489768.html



dimanche 24 mars 2013

Say It With Songs - Lloyd Bacon - 1929




Al Jolson ...
Joe Lane
Davey Lee ...
Little Pal
Marian Nixon ...
Katherine Lane
Holmes Herbert ...
Dr. Robert Merrill
Kenneth Thomson ...
Arthur Phillips
Fred Kohler ...
Fred, Joe's Cellmate
Frank Campeau ...
Officer
John Bowers ...
Dr. Burnes, surgeon
Ernest Hilliard ...
Radio Station Employee
Arthur Hoyt ...
Mr. Jones
Claude Payton ...
Judge


95 minutes
Titre français : Chante-nous ça

Joe Lane est un artiste de variété qui présente des émissions de radio très populaires dans lesquelles il chante. Marié à Katherine il a un fils qu'il appelle affectueusement Little Pal. Heureux et plein de joie de vivre il a la faiblesse d'avoir un gros penchant pour la boisson et pour le jeu. Ainsi donc il passe des soirées sans rentrer à la maison où sa femme, une ancienne infirmière, l'attend.
Katherine repousse les avances de Arthur Phillips, le patron de la station radio et ami de Joe qui souhaite l'utiliser pour booster la carrière de Joe.
Katherine annonce à Joe que ça ne peut plus durer ainsi et Joe propose de s'en aller les yeux emplis de larmes. En l'entendant parler à Pal elle finit par changer d'avis et lui avoue plus tard que Arthur n'est pas l'ami que Joe croit avoir. Furieux Joe rejoint Art et ne peut s'empêcher de réagir lorsqu'il voit son pseudo ami se réjouir de l'invitation qu'il transmet à venir manger en soirée, sachant que cela signifiait l'accord de sa femme aux propositions malhonnêtes de son patron.
Les deux hommes en viennent aux mains et dans la bagarre Art heurte de la tête un socle qui le laisse assommé. Joe s'en retourne à la station radio mais Art meurt sur le trottoir. Joe est arrêté et mis en prison ...


Le vrai mélodrame dans tous les sens du terme et un film trop excessif dans de nombreux domaines : de nature très exubérante Al Jolson en fait beaucoup (j'allais ajouter "trop" je me retiens pour cet artiste très chaleureux et très vibrant ...) qui se montre d'ailleurs plus d'une fois touchant. Les critères de cette époque ne sont évidemment plus les mêmes et le scénario se compose de trop de "trop" dans tous les domaines, à savoir les chansons, les clichés, etc
Après ses succès dans le Jazz Singer (première voix enregistrée dans un film en 1927) et de Singing Fool en 1928, ce film, le 1er intégralement parlant pour Al fut un flop dès sa sortie.
En face de cet homme exubérant qui exhale la vie par tous les pores de sa peau et de sa voix, les acteurs lui donnant la réplique ont l'air calmes et posés. Le petit Davey Lee est tout mignon et ne vieillit pas au cours de l'histoire, Marian Nixon est charmante dans le rôle de cette femme aimante et fidèle, Holmes Herbert qui n'apparait qu'en fin de film est l'homme fiable et stable avec classe, Fred Kohler, le compagnon de cellule de Joe se montre plein de compassion et de gentillesse et ça fait plaisir de le voir dans ce genre de rôle pour une fois. Pour terminer on a la chance de voir pendant quelques secondes John Bowers, un acteur qui avait un grand succès quelques années auparavant, dans le rôle du médecin qui annonce à Joe que son fils devra être opéré par un spécialiste. C'est la première fois que je l'entendais parler !
Bizarrement le film qui nous montrait Al et Katherine séparés finit sans transition par une chanson "I'am in Seventh Heaven" qui nous apprend que le couple s'est recomposé. Dans ce film Al chante 7 chansons, certaines plusieurs fois ! La plupart ne sont pas très bonnes, ce qui n'aide pas.

A voir par curiosité certes, mais aussi surtout pour l'incommensurable énergie de cet acteur attachant dont le nom sera encore cité longtemps dans l'histoire du cinéma.


mardi 12 février 2013

Hands Up! - Clarence G. Badger - 1926

George A. Billings... Abraham Lincoln
Virginia Lee Corbin... Alice Woodstock
Charles K. French... Brigham Young
Raymond Griffith... Jack, a Confederate Spy
Noble Johnson... Sitting Bull
Montagu Love... Capt. Edward Logan

Marian Nixon... Mae, the Girl He Loves
Mack Swain... Silas Woodstock

60 minutes

Pendant la guerre civile aux Etats-Unis. Les Unionistes apprennent qu'un filon d'or est découvert et exploité par Silas Woodstock. Lincoln envoie son meilleur homme, le Capitaine Edward Logan avec pour mission de ramener au plus vite un chargement d'or, tandis que les Confédérés qui ont eu vent de la chose envoie leur agent, Jack.
Mais Jack est fait prisonnier par les unionistes qui le passent devant un peloton d’exécution. Après quelques déversions réussies, il finit par prendre la poudre d'escampette et se retrouve dans la diligence qui l'amène près de la mine avec Logan et Woodstock qui dévoilent leur plan. En chemin les deux filles de Woodstock montent à bord et sont immédiatement sous le charme de Jack. Plus tard une attaque d'indiens interrompt le voyage ...


Un film sans queue ni tête qui finit par une union bigame à la sauce Brigham. Quelques scènes sont toutefois drôles, l'attaque des indiens entre autres, et le tout s’apparente à du divertissement pur dans le genre absurde, sans plus.






 

dimanche 8 mai 2011

After Tomorrow - Frank Borzage - 1932




Charles Farrell ...
Peter Piper
Marian Nixon ...
Sidney Taylor
Minna Gombell ...
Else Taylor
William Collier Sr. ...
Willie Taylor
Josephine Hull ...
Mrs. Piper
William Pawley ...
Malcolm Jarvis
Greta Granstedt ...
Betty
Ferdinand Munier ...
Mr. Beardsley
Nora Lane ...
Florence Blandy



79 minutes

Deux jeunes gens attendent d'avoir un petit pécule afin de se marier. Malgré les quolibets de leurs collègues, Pete (Farrell) et Sidney (Nixon) se fréquentent maintenant depuis 3 ans et affichent une patience sans faille. Tous deux épargnent soigneusement, sont travailleurs et entretiennent leurs familles en sus. Malheureusement, les deux sont pourvus de mères particulièrement égocentriques. La situation pourrait se décanter si la mère de Pete (Hull) voulait bien accepter de partager un logement avec les jeunes gens mais celle-ci refuse catégoriquement de vivre avec le couple. Le jour tant attendu semble enfin approcher lorsque Pete obtient une augmentation. Enfin les préparatifs peuvent concrètement commencer, la robe est prête, l'autel construit, la décoration en place, mais tout s'effondre lorsque la mère de Sidney s'enfuit avec le locataire, et que Willie Taylor, le mari délaissé, fait une crise cardiaque...




Ah, mon Dieu, même ma famille est mieux ! Non sans rire, les pauvres ! Frank Borzage frappe durement les femmes, ou plutôt mères pour être exacte, toutes plus ... tiens, mais comment les décrire ? Une est du genre mère qui traite son fils comme son bébé, elle va le border, lui fait boire des verres de lait, etc, bref, ne tient pas à le laisser échapper tout en étant une insupportable casse-pieds; L'autre n'aime pas son mari, ni même sa fille d'ailleurs, enfin, elle feint les maux de tête, est toujours de mauvaise humeur, puis finalement finit par s'enfuir avec un sombre type, poursuivi par la justice de surcroit ! Une vraie caricature que ce film ...
Charles Farrell est toujours séduisant : là il incarne Pete, le genre de type gentil qui tente de faire plaisir à tout le monde avec bon cœur. De même Sidney, qui aimerait tant se marier et qui, craignant que Pete lui échappe, lui fait même des propositions "malhonnêtes" ou plutôt "indécentes" pour l'époque.
Il y a quelques scènes très sensuelles, en particulier la scène où les deux se chatouillent pour se retrouver à moitié sous les couvertures au sol, décoiffés. Évidemment Mme Piper est terriblement choquée. A chaque fois que les deux amoureux s'étreignent, un intrus fait son apparition ...
Josephine Hull excelle dans ce genre de rôle de femme un peu excentrique insupportable, une vraie tête à claques dans ce film ! William Collier Sr est tout à fait crédible dans le rôle de Willie, le père de Sidney, en montrant une figure paternelle aimante mais pas très énergique.
Minna Gombell en femme ne supportant plus sa famille a des mots terribles, il m'a été difficile de savoir à quel point ils étaient sincères. Elle semble exprimer des regrets, mais ses motifs me semblent confus.

Leur chanson favorite est "All the World Will Smile Again After Tomorrow"... Après tous leurs efforts et sacrifices, vont-il enfin trouver le bonheur ?






Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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