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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 23 octobre 2019

You never know Women - William A. Wellman - 1926


Dans une rue sombre, des travaux de construction vont bon train mais une poutre métallique est sur le point de tomber dans la rue. Malgré les cris des ouvriers une jeune femme s'avance sur le trottoir mais heureusement l'un des ouvriers bondit et s'empare de la jeune femme qu'il emmène hors d'atteinte de l'énorme projectile qui s'abat violemment au sol.

La jeune femme est inconsciente et un homme qui passe dans une Rolls Royce s'arrête et enlève la jeune femme des bras de son sauveur en susurrant qu'il "fera cela mieux que lui".
Lorsque Vera ouvre les yeux, Eugene Foster lui sourit et pose en héros tout en lui demandant son adresse pour la raccompagner chez elle.

Vera est ramenée au Music hall où elle se produit en compagnie d'une troupe venue de Russie. Tout le monde attend son retour pour commencer le spectacle. Son partenaire Norodin est bien soulagé de la savoir indemne car il l'aime de tout son coeur.

Le spectacle commence et Foster s'installe parmi les spectateurs et se montre très critique devant les performances, y compris celle où Vera reste stoïque lorsque Norodin envoie ses couteaux tout autour de sa personne. Norodin effectue ensuite son tour le plus dangereux, enfermé et menotté dans une malle elle-même fermée par des chaines, il est immergé dans l'eau. Après trois minutes et alors que quelqu'un est sur le point de casser le grand aquarium pour vider l'eau, Norodin réapparait victorieusement.

Les clowns et les acrobates se succèdent, Foster paie grassement le portier pour pénétrer dans les coulisses et faire sa cour à Vera qui ne se montre pas insensible à ses avances.

Pour mieux asseoir son pouvoir, Foster paie le directeur de la troupe 10'000 dollars pour qu'elle se produise à son domicile devant un parterre d'invités triés sur le volet.
L'un de ses invités flirte avec la petite amie de l'hercule et celui-ci, alors qu'il soutient Vera dans son numéro voit rouge et fait dégringoler la pauvre fille qui tombe inévitablement et s'assomme par terre.
Foster l'emmène sur la terrasse et Vera voit son visage pour la 2e fois en ouvrant les yeux. 
Norodin souffre en silence mais son amour l'empêche de s'interposer. Vera est alors persuadée d'être amoureuse de Foster et considère Norodin comme un frère.

Comme l'amour de Vera pour Foster semble réel, Norodin dit au revoir à ses amis les plus chers. Toberchik le clown a le coeur qui saigne car il comprend la douleur que ressent le pauvre homme qui embrasse Vera en la priant de ne pas venir assister à son défi le plus grand car cela le stresse de la voir si nerveuse à chaque fois : être immergé menotté dans une caisse jetée à la mer à l'aide d'une grue.
Seul Toberchik comprend le drame qui va se jouer, et, lorsque Vera réalise enfin ce qui se trame, elle se précipite sur les quais où une foule de badauds assiste au tour de Norodin qui vient d'être jeté à la mer .....



Ce film a permis à William Wellman de poursuivre sa carrière de metteur en scène, en 1926 il réalisera the Cat's Pajama puis le fameux Wings en 1927 avant de poursuivre avec la filmographie que l'on connait. Quelle chance, je suis bien contente car c'est un réalisateur que j'aime beaucoup et ce film peu connu mérite amplement le détour ! On ne s'ennuie pas une seconde, il y a du suspens avec l'apothéose, la poursuite dans le théâtre ! La lumière, les cadrages, les gros plans sur des visages magnifiques tout est maitrisé avec précision, de même que le scénario ne laisse aucune place à l'ennui ou aux longueurs.

C'est avant tout une histoire emplies de coeurs, coeur noble pour Norodin, coeur pur pour Toberchik, coeur innocent pour Vera, sans coeur pour Foster.

Ce film est porté par des protagonistes tout simplement magnifiques : Florence Vidor est la jeune fille innocente qui ne comprend pas très bien ce qu'elle ressent, face à elle Lowell Sherman est très ambigu. Il est bien clair que c'est un opportuniste mais son amour semble sincère plus d'une fois. On pourrait imaginer que son amour lui permette de trouver le chemin de la sérénité mais tout n'est qu'apparence. D'ailleurs le film joue sur les apparences et les disparitions tout au long des 81 minutes qu'il dure.

Clive Brooks est émouvant de sobriété. Quelqu'un a écrit qu'il est "rigide" un lieu commun qu'on lit souvent à son sujet mais je suis d'un autre avis, son rôle est tout en retenue et les expressions de ses yeux et son visage sont parfaitement explicites, de même que les gros plans sur ses mains. Du grand art à mes yeux.

Je n'aime pas les clowns mais El Brendel m'a émue aux larmes plus d'une fois et son oie est craquante à souhait ! Je souligne la magnifique performance de sa part d'un bout à l'autre du film, et aussi celle de Roy Stewart que je n'avais encore jamais vu en costume de ville mais seulement en cowboy. Ici il a un rôle essentiel tout en restant en marge du film. Il est l'ami sur lequel on peut compter.
Joe Bonomo a le rôle de l'hercule bien évidemment, c'est un plaisir de le découvrir avec une image nette et des sentiments ! .... et Eugene Pallette est l'invité qui voudrait que Foster lui dégotte une petite brunette qui parle anglais ce qui provoque l'ire de l'hercule.
Je n'oublie pas les autres talentueux protagonistes qui jouent les membres de la troupe, leurs visages sont mis en valeur lorsque le rideau se lève ... d'ailleurs le rideau avec les jambes et une excellente trouvaille, de même que les scènes où les spectateurs lèvent les yeux devant le papillon ou craignent que le clown leur tombe dessus.Le tout respire la bienveillance et c'est un vrai bonheur de suivre cette histoire.

"You never know women" ... maybe, but you never know men either! D'ailleurs avant de connaitre l'autre, ne vaudrait-il pas mieux se connaitre soit même d'abord ? Il est si facile de se tromper et de s'égarer sur le chemin de la vie ...

Ce film a été retrouvé en 2001 à la Librairie des Congrès. On le trouve dans une magnifique version chez Kino Lorber avec un excellent accompagnement musical de Donald Sosin.


81 minutes

Florence Vidor ... Vera
Lowell Sherman ... Eugene Foster
Clive Brook ... Norodin
El Brendel ... Toberchik
Roy Stewart ... Dimitri
Joe Bonomo ... The Strong Man
Irma Kornelia ... Olga
Sidney Bracey ... Manager
Eric Mayne ... Wharf Spectator (uncredited)
Eugene Pallette ... Party Guest (uncredited)
Ellinor Vanderveer ... Theatre Audience Spectator


jeudi 17 février 2011

A Star is Born - William A. Wellman - 1937





Je n'ai pas vu les deux autres versions, celle de 1954 de Cukor avec Judy Garland et James Mason et l'autre de 1976 de F. Pierson avec K. Kristoferson et B. Streisand, je ne peux donc pas comparer.

Janet Gaynor ... Esther Victoria Blodgett, aka Vicki Lester
Fredric March ... Norman Maine
Adolphe Menjou ... Oliver Niles
May Robson ... Grandmother Lettie
Andy Devine ... Danny McGuire
Lionel Stander ... Matt Libby
Owen Moore ... Casey Burke - Director
Peggy Wood ... Miss Phillips - Central Casting Clerk
Elizabeth Jenns ... Anita Regis
Edgar Kennedy ... Pop Randall - Landlord
J.C. Nugent ... Mr. Blodgett
Guinn 'Big Boy' Williams ... Posture Coach (as Guinn Williams)


111 minutes

Une jeune fille Esther (Gaynor) rêve de percer à Hollywood. Sa grand-mère l'encourage à suivre sa voie malgré l'incompréhension de son entourage. Arrivée à Hollywood, Esther arpente the Walk of Fame et trouve une pension bon marché, puis écume les agences afin de dénicher un job en tant qu'extra, sans succès. Les demandes sont nombreuses et Esther voit son petit pécule, donné par sa grand-mère, diminuer fortement. Danny, Un nouveau locataire, s'installe dans la pension (Andy Devine) et ne tarde pas à décocher un poste d'assistant directeur. Les deux deviennent amis et Danny propose un job à Esther : il s'agit de travailler comme extra au service durant une soirée sensée être composée de personnalités en vue. En effet, Niles (A. Menjou) un grand producteur et Norman Maine (Fredric March) un célébrissime acteur porté sur la bouteille sont présents. Norman flashe sur la soubrette Esther et convainc Niles de lui donner sa chance. Les essais sont concluants et c'est le début d'un succès fulgurant. Norman Matt Libby (Lionel Stander) l'attaché publicitaire crée Vicki Lester, la nouvelle star. Norman et Esther se marient secrètement, et très vite il s'avère que Norman est un acteur fini ...




Un film tourné avec sensibilité : Janet Gaynor est magnifique et irradie de lumière, de douceur et de sincérité. Fredric March oscille douloureusement entre un passé victorieux et un devenir standard et son sort ne peut laisser indifférent. Adolph Menjou joue le producteur un peu paternel qui tente de mener sa barque tout en restant humain. Andy Devine, tout jeune avec sa voix éraillée, campe l'ami fidèle, et Lionel Stander l'attaché de presse cynique et dur que rien n'arrête ...






mardi 30 novembre 2010

Heroes for Sale - William A. Wellman - 1933


Richard Barthelmess ...
Thomas 'Tom' Holmes
Aline MacMahon ...
Mary Dennis
Loretta Young ...
Ruth Loring Holmes
Gordon Westcott ...
Roger Winston
Robert Barrat ...
Max Brinker (as Robert Barratt)
Berton Churchill ...
Mr. Winston
Grant Mitchell ...
George W. Gibson
Charley Grapewin ...
Pa Dennis (as Charles Grapewin)
Robert McWade ...
Dr. Briggs
G. Pat Collins ...
Leader of Agitators (as George Pat Collins)
James Murray ...
Blind soldier
Edwin Maxwell ...
Laundry Company President



76 minutes

Durant la première guerre mondiale, Roger (Wescott) et Tom  (Barthelmess) sont envoyés dans une mission dont ils savent qu'ils ont peu de chance de revenir. Durant le combat Roger perd les pédales et se terre dans un trou alors que Tom continue tout seul. A son retour et après qu'il ait capturé un soldat ennemi, il est grièvement blessé et demande à Roger de l'aider à retourner dans la tranchée. Celui-ci est incapable de faire le moindre geste et Tom est laissé pour mort. Alors que Roger est décoré pour haute bravoure, Tom est soigné par les allemands qui le remettent sur pied mais ne peuvent enlever tous les morceaux de métal figés dans sa colonne vertébrale. En proie à une grande souffrance permanente, il prend de la morphine. A l'armistice, Tom et Roger se retrouvent sur le bateau qui les ramène au bercail. Roger explique qu'il n'a pas pu faire autrement que de recevoir tous ces honneurs, et Tom l'assure qu'il n'a pas l'intention de révéler quoi que ce soit. Roger est reçu comme un héros dans leur ville natale et Tom retrouve sa mère et un travail au sein de la banque du père de Roger. Très vite il fait de nombreuses erreurs et ne peut plus se passer de morphine. Déclaré comme drogué, il est viré de la banque et part pour Chicago. Dans une gargote bon marché, il loue une chambre misérable lorsqu'il pose les yeux sur Ruth (Loretta Young), une autre locataire de la pension ...



Je m'arrête là dans le descriptif de ce film excellent. Robert Barthelmess crée un nouveau personnage à chaque fois. Il est un Tom très humain plus vrai que nature dans ce film poignant. Plein d'idées, il rebondit, crée, aime, et à chaque fois il retombe, traité injustement. Loretta Young est égale à elle même chaleureuse et souriante, mais c'est Aline McMahon qui m'a le plus touchée.  Robert Barrat est excellent dans le rôle du "rouge" exalté et inventif qui s'adapte au capitalisme car -
citation :
Thomas 'Tom' Holmes: You used to hate the capitalists.
Max Brinker: Naturally. That was before I had money.

C'est le genre de film à voir lorsqu'on se sent des velléités philanthropiques et le tout est l'illustration parfaite de ce poème de Kipling

Si : Tu seras un homme, mon fils - traduction d'André Maurois (1918)

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot ;

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n'être qu'un penseur ;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tous jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un homme, mon fils.


... il y a encore du chemin à parcourir, et c'est justement sur l'image de Tom en marche que le film se termine ! ... et ce n'est pas un hasard si je termine par cette image de Tom au guichet de la banque ...

vendredi 2 juillet 2010

Wings - William A. Wellman - 1927



Clara Bow... Mary Preston
Charles 'Buddy' Rogers... Jack Powell (as Charles Rogers)

Richard Arlen... David Armstrong
Jobyna Ralston... Sylvia Lewis
El Brendel... Herman Schwimpf
Richard Tucker... Air Commander

Gary Cooper... Cadet White
Gunboat Smith... The Sergeant
Henry B. Walthall... David's Father
Roscoe Karns... Lieutenant Cameron
Julia Swayne Gordon... David's Mother
Arlette Marchal... Celeste


Deux jeunes gens aimant la même jeune fille sont appelés sous les drapeaux en tant que futurs pilotes. La haine qu'ils se vouent au départ se transforme petit à petit en profonde amitié.


Une histoire dont le scénario n'est guère passionnant. C'est un film de guerre surtout intéressant pour les combats aériens et les scènes de combats. Clara Bow campe une jeune femme sympathique amoureuse depuis toujours de son voisin qui ne lui prête aucune attention.  A recommander surtout aux amateurs de films de guerre ou d'avions de l'époque.


A noter : l'une des premières apparitions de Gary Cooper, déjà magnifiquement lumineux dans un rôle de quelques minutes ...

Une scène étonnante : lorsque Jack est ivre, il voit des bulles partout et secoue les gens pour leur voir des bulles  ... !

Grâce à Carlotta films 
AU CINÉMA EN VERSION RESTAURÉE INÉDITE LE 5 NOVEMBRE 2014 !


mercredi 9 juin 2010

Beggars of Life - Wlliam A. Wellman - 1928



Wallace Beery... Oklahoma Red

Louise Brooks... The Girl (Nancy)

Richard Arlen... The Boy (Jim)
Blue Washington... Black Mose (as Edgar Washington Blue)
Kewpie Morgan... Skinny (as H.A. Morgan)
Andy Clark... Skelly
Mike Donlin... Bill
Roscoe Karns... Lame Hoppy
Bob Perry... The Arkansaw Snake (as Robert Perry)
Johnnie Morris... Rubin
George Kotsonaros... Baldy
Jack Chapin... Ukie (as Jacques Chapin)
Robert Brower... Blind Sims
Frank Brownlee... Farmer



Un vagabond (Richard Arlen) frappe à la porte d'une maison en quête d'un petit déjeuner. Devant une table se tient un homme, mort assassiné. Une jeune fille (Louise Brooks) apparaît et avoue le crime, son beau père la maltraitait et a tenté d'abuser d'elle. Le vagabond l'emmène en lui expliquant qu'elle n'aura qu'à sauter dans un train en direction de l'est. Malheureusement elle rate son saut et Jim l'emmène dans un train en direction de l'ouest. Très vite ils sont chassés du train par un employé zélé qui les évacue manu militari.

Peu de temps après commencent à fleurir les avis recherchant la jeune fille pour meurtre et les deux jeunes gens ont fort à faire pour survivre, en particulier face à une bande de clochards menés par Oklahoma Red (Wallace Beery)...



Citation : Ain't it funny when you think of the millions o' people in warm houses and feather beds, an' us just driftin' 'round like the clouds? But I guess it's about even when you boil it down. Even them people in feather beds ain't satisfied - we're all beggars of life.



Cette citation résume bien l'ambiance de ce film étrange et beau : on suit avec intérêt les aventures des deux protagonistes qui restent soudés coûte que coûte envers et contre tout. Des scènes mémorables : la nuit dans la meule de foin, la scène des meules sous la lune, Louise Brooks et Richard Arlen forment un magnifique couple. Wallace Beery est inquiétant à souhait jusqu'à l'ultime revirement.

Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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