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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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mercredi 14 avril 2021

Bare Knees - Erle C. Kenton - 1928

 


Dans un patelin nommé Hanford City, les gens sont bien comme il faut, les femmes portent des jupes qui cachent leurs genoux et se montrent bien sages et sans surprise.

Chez les Lougwoorth, John est très peu expressif et sa femme Jane attend davantage de son ami Paul que de son propre mari.

Une lettre leur parvient annonçant l'arrivée de la soeur de Jane, Billie, et le jour de l'anniversaire de Jane toute la petite communauté locale se retrouve pour un thé dansant.

La fête a commencé, une dame joue du piano accompagnée par un monsieur au saxophone et quelques couples dansent gentiment lorsque la porte s'ouvre, et Billie, attendue le lendemain uniquement, fait son apparition devant la foule médusée : Cheveux courts, jupe courte laissant voir ses genoux, petits escarpins et sourire éblouissant ! La jeune femme détonne si fortement que tout le monde reste bouche bée !

Billie attire l'attention de Larry Cook qui lui offre l'insigne de son collège. Jane et John sont très gênés mais Billie très à l'aise se met en devoir d'aider les jeunes femmes du team de baseball qui doit livrer un match contre les hommes le lendemain. Comme leur coach est absente, Billie se charge d'établir une stratégie.

Le jour J, alors que les hommes s'entrainent sérieusement, les demoiselles se font attendre puis arrivent vêtues de petits shorts très affriolants. Évidemment les hommes perdent largement le match car ils n'arrivent plus à se concentrer sur la balle.

Billie sort avec Larry tandis que Jane s'ennuie et lui fait la morale à son retour. Un soir Larry offre d'épouser Billie mais celle-ci refuse. De son côté Jane en a assez et décide de quitter John pour s'en aller avec Paul qu'elle retrouve au Ship Ahoi, l'endroit branché qui se trouve sur le port.

Billie comprend immédiatement que sa soeur est partie avec Paul et, après avoir lu la lettre laissée à John, elle se précipite pour empêcher Jane de commettre une grosse bêtise ...



Comédie qui joue sur les apparences et la bienséance, en effet il ne suffit pas d'avoir l'air compassé pour être sage, ni de montrer ses genoux pour être dévergondée car malgré les apparences, Billie est bien plus sage que Jane !

Il y a quelques scènes très amusantes, l'arrivée de Billie et la tête des personnes qui la dévisagent la bouche ouverte, le contraste des vêtements de la Flapper et des femmes de la petite ville, le match de baseball avec ces demoiselles assez dévêtues qui troublent ces messieurs, et la fin avec l'incendie du roller coaster. Billie se montrera bien plus courageuse et prouvera l'amour qu'elle porte à sa soeur de fort héroïque manière ! La morale, l'amour, le jeu des apparences, tout cela se trouve dans ce film sympathique dans lequel Virginia Lee Corbin se montre pétillante !

Mention spéciale pour Maude Fulton, la petite bonne qui décide de s'habiller comme une flapper malgré ses jambes arquées et la douleur infligée à ses pieds par les chaussures à talons !

61 minutes


Virginia Lee Corbin ... Billie Durey

Donald Keith ... Larry Cook

Jane Winton ... Jane Longworth

Johnnie Walker ... Paul Gladden

Forrest Stanley ... John Longworth

Maude Fulton ... Bessie


mercredi 5 septembre 2018

We're in the Navy Now - A. Edward Sutherland - 1926


Whiffer Hanson monte sur le ring où son manager Shrimp Smith le prépare pour affronter Homicide Harrigan. Hanson, qui a tout du beau parleur peu efficace est jeté hors du ring en un coup de Harrigan. Lorsqu''il revient à lui il s'aperçoit que son manager a disparu avec son argent.
Plus tard, Hanson découvre le fuyard Smith admirant la grande parade et les nouvelles recrues qui s'en vont sous les drapeaux. Pour échapper au boxeur, Smith saute sur un camion, aussitôt suivi par Hanson prêt à tout pour récupérer son dû.
Les deux hommes sont enrôlés de force et se retrouvent bientôt sur un destroyer en partance pour la France. Rien ne va, les deux benêts n'en font qu'à leur tête et se mettent dans les situations les plus ridicules...


Typique comédie burlesque de l'après-"grande"-guerre. Les deux nigauds sont d'une bêtise crasse mais finiront par s'en sortir et même devenir des héros, bien malgré eux !

Dans le même genre de comédie sous la direction de A. Edward Sutherland, Wallace Beery et Raymond Hatton tournent la même année Behind the Front puis en 1927 Now We're in the Air réalisé par Frank R. Strayer avec la belle Louise Brooks et Russell Simpson.

On se prend à sourire devant la bêtise des deux lascars !



57 minutes



Wallace Beery ... 'Knockout' Hansen
Raymond Hatton ... 'Stinky' Smith
Chester Conklin ... Navy Capt. Smithers
Tom Kennedy ... Sailor Percival Scruggs
Donald Keith ... Ship's Radio Officer
Lorraine Eason ... Madelyn Phillips
Joseph W. Girard ... U.S. Admiral
Max Asher ... Adm. Puckerlip


mercredi 2 mai 2018

My Lady of Whims - Dallas M. Fitzgerald - 1925

 
Deux amis aventuriers dans l'âme, Bartley Greer et Dick Flynn, s'ennuient lorsqu'ils découvrent dans le journal une petite annonce adressée à un "homme n'ayant pas froid aux yeux".
Bartley se rend alors chez M. Severn où on lui apprend qu'il s'agit en fait de s'occuper de la fille de la maison, Prudence Severn, qu'il faudrait ramener au bercail. Bartley refuse tout d'abord fermement le job car il n'a pas l'intention de servir de chaperon à un "jupon" mais revient sur sa décision lorsqu'il découvre un portrait de Prue.

Celle-ci s'est installée à Greenwich où elle vit une vie de bohème tout en essayant de se faire passer pour une romancière. Le père Severn remet alors une liasse de billet de 50 dollars à Bartley pour ses frais en espérant qu'il fera mieux que les deux prédécesseurs chargés de ramener sa fille aux mêmes conditions.

Bartley s'installe dans la même pension que Prue. Pour se faire remarquer, il envoie son copain Dick jeter sa valise dans le studio habité par Wayne Leigh et sa copine Prue. Une fois la valise envoyée discrètement, Bartley n'a plus qu'à se présenter à la porte en déclarant être nouveau dans le quartier. Wayne et Prue se montrent charmées et Bartley obtient un rendez-vous avec la belle mais se trahit avec sa liasse de billets de 50 dollars. Prue décide alors de faire tourner en bourrique le jeune homme.
Désireuse de se rendre à un bal costumé avec son vieil ami Rolf, Prue file à l'anglaise alors que Bartley l'attend pour vérifier que son costume est bien comme il faut.
Bien sûr son costume est très moulant et n'a rien de décent, de plus Rolf et Prue s'amusent comme des fous jusqu'à ce que Bartley finisse par comprendre qu'il s'est fait avoir et arrive au bal où il soudoie le portier pour obtenir un costume ...



Gentille comédie qui ne casse rien. Les amateurs de Clara seront heureux de la voir pleine de vie et très séduisante, avec un gros plan sur "ses yeux auxquels nul ne résiste". Pour le reste on a de la peine à comprendre comment Donald Keith peut l'emporter sur un Francis McDonald, voire sur Lee Moran et son visage à la Buster Keaton.

Carmelita Geraghty est très en beauté aussi dans ce film sans autre prétention que de mettre les protagonistes en scène.



59 minutes

Clara Bow ...
Prudence Severn
Donald Keith ...
Bartley Greer
Carmelita Geraghty ...
Wayne Leigh
Francis McDonald ...
Rolf
Lee Moran ...
Dick Flynn


mercredi 20 décembre 2017

Parisian Love - Louis J. Gasnier - 1925


 
La nuit dans les bas-fonds de Paris au Café de la mort, un couple danse de manière très passionnée devant un parterre de touristes subjugués. Lorsque son partenaire embrasse fougueusement Marie d'un peu trop près, Armand sort un revolver et tire sur son rival qui s'effondre.
Les touristes fuient ce lieu de perdition et nos trois amis s'amusent de leur effroi provoqué par leur mise en scène bien rodée.
Durant la danse Armand a trouvé une carte de visite. Il s'agit de celle de Pierre Marcel, un homme connu dans le beau monde parisien.
Les amis décident de le cambrioler. Pendant que Marie déguisée en homme surveille les alentours, Armand et son complice escaladent le mur et pénètrent dans la chambre de Pierre Marcel qui les a entendu venir.
Par un curieux coup du sort, le complice est évincé après qu'Armand l'ait empêché de poignarder Pierre. Celui-ci lui retourne le compliment en le faisant passer pour un ami auprès de la police qui descend alors le complice et poursuit Marie dans la rue sans pourvoir la rattraper.
Blessé, Armand est soigné par Pierre qui se prend d'amitié pour le jeune homme. De son côté Marie quant à elle se fait passer pour une soubrette pour revoir Armand. Après avoir embrassé le jeune homme endormi, cachée dans un placard elle surprend une jeune femme amenée par Pierre qui embrasse l'homme qu'elle aime.

Rétabli, Armand demande une heure pour retrouver celle qu'il aime mais finit par croire qu'elle est morte après que Frouchard lui ait appris que Marie est partie pour toujours après une altercation.

Celle-ci a décidé de se venger de Pierre. Pour ce faire elle monte un stratagème en se faisant passer pour une amie d'un ami maintenant décédé de Pierre qui tombe amoureux de la jeune femme ...




Une histoire bien décevante, non par le jeu des acteurs mais par un scénario qui dérape complétement et fini par devenir absurde.

Très en beauté, Clara a ici le rôle d'une Apache qui se montre passionnée et sans scrupule. Le scénario tend à démontrer que l'amour peut tout excuser ce qui est parfaitement injuste pour Pierre qui démontre de la grandeur d'esprit et qui n'a absolument rien à se reprocher ... au lieu de ça Marie qui se comporte comme un chat sauvage et Armand qui est bien mou auront tous les bénéfices à la fin, ce que je trouve très déprimant.

On se demande ce que les femmes de l'époque trouvaient à Donald Keith ? Lou Tellegen semble pourtant bien plus intéressant !


A noter la prestation de Lillian Leighton, parfaite dans le rôle de cette pocharde qui essaie de se montrer digne du beau monde dans lequel elle doit évoluer. D'ailleurs on ne comprend pas très bien ce revirement de Marie à revenir auprès de ses anciens complices après avoir juré de ne jamais les revoir ...

62 minutes


Clara Bow ...
Marie
Donald Keith ...
Armand
Lillian Leighton ...
Frouchard
J. Gordon Russell ...
D'Avril (as James Gordon Russell)
Hazel Keener ...
Margot
Lou Tellegen ...
Pierre Marcel
Jean De Briac ...
Knifer
Otto Matieson ...
Apache Leader
Alyce Mills ...
Jean D'Arcy



vendredi 19 avril 2013

Dancing Mothers - Herbert Brenon - 1926


 

Alice Joyce ...
Ethel Westcourt
Norman Trevor ...
Hugh Westcourt
Clara Bow ...
Kittens Westcourt
Conway Tearle ...
Jerry Naughton
Eleanor Lawson ...
Irma
Dorothy Cumming ...
Mrs. Mazzarene
Donald Keith ...
Kenneth Cobb
Leila Hyams ...
Birdie Courtney
Spencer Charters ...
Butter and Egg Man


66 minutes
d'après une pièce d'Edmund Goulding
La soif de vivre


Un père et sa fille reviennent d'un voyage en Europe. Sur le paquebot qui les emmène ils font la connaissance de Jerry Naughton accompagné d'une amie. Kittens et Hugh retrouvent leur femme et mère, Ethel, une ancienne actrice française ayant sacrifié sa carrière pour sa famille. 
Dès leur retour le père et la fille sortent sans modération, le père avec Birdie sa maitresse et la fille avec un vieil ami, Kenneth, puis avec Jerry qu'elle retrouve au cours d'une soirée et duquel elle s'éprend. Pendant ce temps Ethel reste seule à la maison et passe son temps à attendre jusqu'au jour où une vieille amie, Madame Mazzarene, lui conseille de vivre. Ethel décide alors enfin de passer une soirée au Roof Club. Justement ce soir là son mari tente de faire entendre raison à Kittens pour qu'elle rentre à la maison et cesse de voir Jerry. Après que le père et la fille soient partis, Birdie est importunée par un ivrogne et part à son tour.
 Entre temps Ethel se retrouve seule à une table, ses amis étant en train de danser. Jerry en tombe alors amoureux alors qu'Ethel se fait passer pour une française. Celle-ci connaissant la réputation de playboy du jeune homme pense d'abord flirter pour qu'il cesse de voir sa fille mais se laisse charmer à son tour.
Surpris de ne pas trouver sa femme à la maison Hugh apprend qu'elle se trouve au club et revient la chercher. Mais Ethel ne souhaite pas rentrer et après qu'Hugh se soit fâché décide de passer quelques jours chez son amie où Jerry la retrouve.
Un jour qu'elle lui téléphone pour annoncer à Jerry qu'elle ne viendra pas prendre le thé chez lui, elle a la surprise d'entendre sa fille ivre à l'autre bout du téléphone. Elle se rend chez le jeune homme qui croit avoir réussi à se débarrasser de Kittens qui s'incruste malgré lui et lui avoue son amour. Arrive alors Kittens qui découvre sa mère dans les bras de l'homme qu'elle aime ...

Alice Joyce et Dorothy Cumming

Un film très bien construit. Le père et la fille sortent, s’enivrent, flirtent sans vergogne et attendent de leur mère et femme qu'elle les attende à la maison. Après de longs jours de solitude Ethel sort enfin de sa tanière et rencontre un homme qui lui ouvre les yeux sur le comportement de sa fille et de son mari.
A la fin on craint pourtant le pire, que va faire Ethel, va-t-elle retrouver son mari ? En effet en partant chercher ses bagages avant d'embarquer sur le paquebot qui l'emportera sur le vieux continent, le mari l'appelle et lui annonce qu'il lui pardonne. J'ai bien cru que la pauvre Ethel allait tomber dans le panneau, mais non, Ethel s'en va, non sans comprendre que sa fille est aussi égoïste que son mari. Le film sauve les apparences car Ethel s'en va seule, laissant derrière elle les Etats-Unis, sa famille et l'homme qu'elle aime. Chapeau bas, c'est faire preuve d'une grande force de caractère et d'une grande modernité. Évidemment si l'on aime les happy-endings on est un peu frustré par cette fin qui ménage la bienséance car il est bien clair qu'il doit être difficile de laisser le séduisant Conway Tearle derrière soi ! Alice Joyce est magnifique dans ce rôle qui lui va comme un gant. Clara Bow est tout à fait à l'aise dans ce rôle de jeune fille gâtée et égoïste. Dorothy Cumming est l'amie fidèle et Donald Keith est le vieux copain de Kittens.






mardi 14 août 2012

Plastic Age (The) - Wesley Ruggles - 1925


Donald Keith... Hugh Carver
Mary Alden... Mrs. Carver
Henry B. Walthall... Henry Carver

Gilbert Roland... Carl Peters

Clara Bow... Cynthia Day
David Butler... Coach Henley

ainsi que de nombreux extras qui deviendront célèbres, parmi lesquels Clarke Gable, Bill Eliott, Janet Gaynor, Carole Lombard

73 minutes


Les parents d'Hugh (Keith) sont des gens respectables. La mère (Alden) lui prépare son sac avec amour et son père (Walthall) vient lui apporter quelques derniers conseils masculins avant son départ pour le College de Prescott où il va entamer sa première année. Hugh est un grand sportif, son père tient à ce qu'il brille à Prescott.
A Prescott, Hugh partage la chambre de Carl Peters (Gilbert), un jeune homme qui semble avoir de nombreuses conquêtes féminines à son actif qui a accroché la photo de chaque fille qu'il a embrassé au moins deux fois. La plus populaire semble être Cynthia Day (Bow) une jolie jeune fille aimant faire la fête.
Lors d'une soirée de bizutage, Hugh est propulsé en chemise de nuit dans le campus des filles. Il fait la connaissance de Cynthia qui lui plait aussitôt. Cynthia de son côté ne semble pas indifférente au jeune homme avec lequel elle commence à sortir. Après le premier semestre les notes d'Hugh sont en nette baisse et il ne fait guère de prouesses en sport, au grand désespoir du coach (Butler) qui misait gros sur ses capacités...



Un film gentil et nunuche qui se passe sur un campus. Les choses ne changent probablement guère, les premiers émois amoureux, la rivalité entre jeunes gens, les premiers pas loin de la maison, les parents qui souhaitent que leurs enfants réussissent. La mère protège son fils et le père se montre sévère. Le monde professoral n'est pas décrit et tout le monde est heureux à la fin grâce à la victoire de l'équipe de Prescott, comme si cela suffisait pour atteindre le bonheur. Mais il est vrai qu'entre temps chacun aura trouvé sa voie et sa place dans la société !
On retrouve tous les clichés qui nous seront rabâchés des décennies plus tard,  avec le jeune homme un peu bêbête incarné par Donald Keith, le jeune expérimenté (enfin, un peu plus que le précédent) joué par Gilbert Roland et la jeune fille pas très sage mais qui a le coeur sur la main sous les traits de Clara Bow, toujours aussi attachante et mignonne. Pour elle le film vaut le détour, ou pour Henry B. Walthall ou David Butler (deux acteurs que j'apprécie beaucoup mais qu'on ne voit que quelques minutes), pour le reste on peut passer sans peine.





mardi 4 octobre 2011

Free to Love - Frank O'Connor - 1925




Clara Bow ...
Marie Anthony
Donald Keith ...
Rev. James Crawford
Raymond McKee ...
Tony
Hallam Cooley ...
Jack Garner
Winter Hall ...
Judge Orr
Charles Hill Mailes ...
Kenton Crawford

60 minutes

Marie Anthony (Bow), une jeune orpheline est envoyée dans une maison de correction alors qu'elle est innocente. Deux ans plus tard elle revient dans la ferme intention de se venger du juge qui l'a condamnée et se rend à son domicile avec un revolver. Le juge Orr (Hall) fait amende honorable et se montre sincèrement désolé car il a depuis pris connaissance de nouveaux faits innocentant Marie. Elle n'arrive finalement pas à tirer mais un bandit, Garner (Cooley), venu lui aussi dans de mauvaises intentions,  surprend la conversation et croit que Marie va le débarrasser du juge à sa place. Comme finalement elle n'arrive pas à passer à l'acte, le juge propose à Marie de parfaire son éducation et de rester avec lui, ce que Marie accepte. Elle fait ensuite la connaissance du Révérend James Crawford, le voisin dont le père est ami avec le juge Orr. Les deux jeunes gens se plaisent et James propose à Marie de l'aider à créer un foyer pour déshérités, ce que Marie accepte. Elle distribue à chacun beaucoup de tendresse mais bientôt il s'avère que Garner est un voleur qui vent ses larcins au père de James ...



Je suis étonnée de voir la note donnée sur IMDB à ce film, j'aurais donné davantage car ce film est un vrai écrin qui met en valeur Clara Bow, qui s'y montre touchante dans sa détermination à sauver celui qu'elle aime du scandale. L'action se laisse suivre sans temps mort. Il y a aussi Tony le bossu, joué par Raymond McKee qui donne une excellente prestation. Edité chez Grapevine, l'image saute quelquefois, mais le tout est bien restauré.



Titres français (incomplet)

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