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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 6 novembre 2019

The Sheriff's Streak of Yellow - William S. Hart - 1915


Le shérif Hale est un homme très apprécié au sein d'une communauté qu'il se charge de protéger, tout comme il protège les intérêts de la banque.

Dans les environs Bill Todd, un bandit notoire, rôde et se tient prêt à profiter de la moindre faille de la surveillance de Hale pour faire un sale coup mais il se trouve qu'il revient chez lui pour s'occuper de sa maman qui se meurt.

Dans une petite cabane vétuste, Bill retrouve sa mère alitée et lui donne à boire. Malgré tout la pauvre femme rend son dernier souffle peu de temps plus tard, heureuse d'avoir revu son fils.

Bill enterre sa maman et se retrouve seul dans la petite cabane. Survient alors Hale, venu l'arrêter mais celui-ci reconnait le fils d'une femme qui l'a jadis secouru alors qu'il était en train de mourir de soif dans le désert. En guise de paiement de dette, Hale laisse partir Bill en lui conseillant de jamais revenir car alors il serait obligé de l'abattre.

 Alors qu'il le regarde s'éloigner, une partie des hommes de la ville arrive au galop pour lui prêter main forte pour arrêter le bandit.

Comprenant que Hale a laissé filer Bill, les habitants sont extrêmement déçus par leur shérif qu'ils prennent pour un lâche et dont ils exigent la démission. Hale leur rend son insigne sans autre explication.

Quelque temps plus tard, Bill qui est à la tête d'une bande de voleurs, revient en ville et décide de s'en prendre à la banque mais l'agitation extérieure attire l'attention de Hale ...



Ce film laisse un goût étrange et dans le fond j'avoue être un peu déçue car le début laissait présager une fin complétement différente. Pendant un moment je me suis même dit que Hart avait l'art inné de la transformation. Avec lui, tout n'est jamais noir ou blanc, on peut avoir toutes les raisons d'être du mauvais côté de la barrière puis par la force des chose, ou par la grâce d'un déclencheur innocent et inattendu, virer de bord ou au moins esquisser un changement de vie.
Ici le film n'atteint pas un tel niveau de sagesse, tout au plus un certain niveau de noblesse. Hale paie sa dette et Bill reprend sa vie de bandit. Point, c'est tout et c'est dommage.

Pourtant il y avait matière à développer quelque chose de plus subtil en ne se contentant pas de se plier ou de revenir sous la dictature de la communauté, de ses exigences et de sa mauvaise fois, selon la loi du plus grand nombre dans le fond.
Habituée à un héros solitaire capable de faire face à la population en se fiant à son seul jugement, je trouve donc la fin de ce film décevante, d'autant plus que Bill le bandit ne m'a pas paru spécialement méchant ou mauvais d'après la scène tournée avec sa mère.

Note : On a davantage l'occasion de découvrir le travail de réalisateur de Jack Nelson de nos jours. C'est donc un plaisir de le voir devant l'écran en tant qu'acteur !

23 minutes

William S. Hart ... Sheriff Hale
Jack Nelson ... Bill Todd
Gertrude Claire ... Mom Todd
Bob Russell ... Jennings


mercredi 11 septembre 2019

The Coward - Reginald Barker, Thomas H. Ince - 1915


A Cotton Creek, le sensible Frank Winslow roucoule auprès de sa petite amie Amy tandis que son père, le Colonel Winslow lit avec délice une lettre du Général Beauregard (j'ai lu Beaugard ?), un vieil ami toujours actif dans l'armée qui lui annonce avec diplomatie qu'il fera appel à ses services si nécessaire.
La guerre débute et les hommes de la région vont s'enrôler avec fierté. Seul Frank est horrifié à cette idée. Sous la pression il se présente mais ne tarde pas à filer à l'anglaise.

De retour à la maison, Frank doit affronter son père qui sort alors un revolver afin de convaincre son fils de la nécessité de faire face en homme et de perpétuer le nom de la famille avec les honneurs.


Le pauvre Frank se retrouve à nouveau au bureau où il prétend avoir eu besoin du consentement de son père pour s'engager.

L'appel de la troupe retentit, Frank dans son costume de confédéré quitte les deux femmes de sa vie en larmes et prend sa place au sein de la troupe.
Le soir même il est de piquet mais les bruits de la nuit le font sursauter et il finit par complétement paniquer avant de prendre la fuite.

A l'appel le lendemain matin, sa disparition est constatée et il est officiellement reconnu comme déserteur. Frank retourne chez lui et se réfugie dans la cuisine où les deux serviteurs sont désemparés. Sa mère vient réconforter son fils mais le père fait  une apparition menaçante.
Devant la lâcheté de son fils il décide de prendre sa place pour sauver l'honneur des Winslow.

Une semaine passe et les troupes de l'Union s'arrêtent à la propriété. Le poste de commandement s'installe dans la maison et Frank, affolé, se réfugie dans le galetas où il surprend les plans des hommes assis dans le salon. Son sang ne fait alors qu'un tour et il se lance alors dans une mission quasi impossible : dérober les plans et prévenir les troupes confédérées ...



L'action est extrêmement lente mais le jeu des acteurs vaut le détour. Peu d'intertitres mais les expressions suffisent à elles-mêmes et les images sont belles et nettes. 
Du coup on prend plaisir à se plonger dans cette époque en compatissant un peu pour le pauvre Frank qui est vraiment une loque lorsqu'il s'agit de s'engager.
Le père projette une image rigide et dure, la compréhension et la tendresse ne sont pas de mise. On comprend qu'à cette époque on ne plaisantait pas forcément avec un père de cet acabit ... La mère par contre est comme toutes les mères, l'instinct maternel prend le dessus.

Mises à part quelques grosses longueurs, le film vaut quand même le détour même si ce n'est que pour se plonger dans le passé.
La fin est assez prévisible, on se doute bien qu'il faudra un revirement pour que Frank puisse reprendre contact avec son père !

Titre français : Un lâche

76 minutes


Frank Keenan ... Col. Jefferson Beverly Winslow
Charles Ray ... Frank Winslow
Gertrude Claire ... Mrs. Elizabeth Winslow
Patricia Palmer ... Amy (as Margaret Gibson)
Nick Cogley ... A Negro Servant
Charles K. French ... A Confederate Commander
Minnie Devereaux ... Mammy (as Minnie Provost)




jeudi 14 février 2013

Hail the Woman - John Griffith Wray - 1921

http://www.nitrateville.com/viewtopic.php?f=1&t=9291


Florence Vidor ...
Judith Beresford
Lloyd Hughes ...
David Beresford
Theodore Roberts ...
Oliver Beresford
Gertrude Claire ...
Mrs.Beresford
Madge Bellamy ...
Nan Higgins
Tully Marshall ...
'Odd Jobs Man'
Vernon Dent ...
Joe Hurd
Edward Martindel ...
Wyndham Gray
Charles Meredith ...
Richard Stuart
Mathilde Brundage ...
Mrs.Stuart
Eugene Hoffman ...
The Baby
Muriel Frances Dana ...
David Junior

80 minutes

Au XVIIe siècle, les femmes avaient interdiction de sourire aux hommes ou de se manifester les dimanches sous peine de subir le châtiment de l'immersion dans l'eau, ligottée à une chaise en guise de punition. Trois siècles plus tard certains hommes n'ont pas beaucoup évolué tel Olivier Beresford (Roberts) un père de famille rigide et tyrannique dont la morale date d'un autre âge. Sa fille Judith (Vidor) est confinée aux tâches ménagère avec sa mère (Claire) et ses perspectives d'avenir sont le mariage et les enfants. Ses parents voient d'un bon oeil un éventuel mariage avec Joe, un voisin obtus bien que sa mère trouve Judith encore trop jeune. Toutefois, bien sûr son mari a forcément toujours raison.
David (Hughes) le fils porteur de tous les espoirs du patriarche tyrannique rentre au bercail après le semestre d'études en théologie qu'il effectue pour faire plaisir à son père. Une jeune fille, Nan Higgins (Bellamy), tente de lui parler à sa descente du train mais David l'évite. Nan retrouve son beau-père (Marshall) un homme cruel qui découvre qu'elle est enceinte de David. Le père Beresford achète le départ de Nan d'un chèque de $1'000 et la jeune femme finit par s'enfuir en ville en train, David n'ayant pas le courage d'affronter son père pour lui dire que Nan est en réalité sa femme.
Au cours d'une balade Judith rencontre un écrivain qui lui parle de l'émancipation des femmes. Sa réputation est salie par Joe qui croit la voir fumer chez l'écrivain la nuit tombée et qui sous-entend des choses pas nettes du tout. Le père ne veut plus jamais entendre parler de sa fille qui part à son tour pour la ville. Noël arrive ....
Un film tourné il n'y a même pas 100 ans qui m'a beaucoup émue. Le destin de ces femmes soumises à cet homme égocentrique et manipulateur est terrible. Le fils prodigue est faible et n'ose faire face à ce père aveuglé par les certitudes de vivre selon les bons préceptes. Le pauvre garçon passera ainsi à côté de sa vie, de sa femme et ne devra son salut qu'au courage de sa soeur. 
Livrées à elles-mêmes deux jeunes femmes humiliées luttent contre le destin et une vie sans perspectives. L'une d'elle trouvera la mort, l'autre une reconnaissance. Florence Vidor donne une jolie dimension faite de douceur et de détermination à Judith, Madge Bellamy est crédible dans le rôle de Nan, la pauvre victime à laquelle les hommes n'auront jamais rien donné dans le fond si ce n'est des coups, des insultes ... même si on suppose que David l'a aimée sincèrement.
Lloyd Hughes a le rôle du frère faible qui préfère se mentir à lui-même et aux autres, Theodore Roberts et Tully Marshall représentent deux aspects masculins terribles : l'un violent, vénal et sans scrupules, l'autre froid, pétri de moralité rigide et bourré de certitudes dépassées sans remise en question. Gertrude Claire en impose dans le rôle de la femme soumise qui ne contrera jamais son mari. Edward Martindel est charmant dans le rôle de l'homme cultivé qui ouvre des portes à la condition féminine, Vernon Dent incarne avec talent le voisin qui cherche une femme économe et sachant s'occuper d'une maison.
Le coeur aura raison de la rigidité du père mais il faudra beaucoup de souffrance et de temps, tant son intransigeance est coriace. 
Bref, ce film touchant vaut largement le détour, on le trouvait en VHS chez Grapevine Video, il semble que les copies qu'il est possible de trouver en DVD soient mauvaises. Ma version est franchement moche, mais l'action l'a emporté sur la qualité, même si j'ai dû m'accrocher pour lire certains intertitres quasi illisibles.

http://content.lib.washington.edu


vendredi 27 juillet 2012

Her Sister from Paris - Sidney Franklin - 1925


Constance Talmadge ...
Helen Weyringer / La Perry
Ronald Colman ...
Joseph Weyringer
George K. Arthur ...
Robert Well
Gertrude Claire ...
Anna - the Housekeeper

74 minutes

A Vienne. Un romancier Joseph Wyringer (Colman) se chamaille avec sa femme Helen (Talmadge). Dans la colère il jette une assiette de beignets par la fenêtre et casse une assiette et un vase. Furieuse sa femme décide de le quitter et fait sa valise. L'ami de la famille Bob (Arthur) incite Joseph à sortir avec lui le soir même pendant qu'Helen se rend à la gare pour prendre un train qui l’emmènera chez sa mère. Alors qu'elle s'apprête à prendre le train elle aperçoit sa sœur jumelle, La Perry (Talmadge encore), une danseuse venue à Vienne se produire au théâtre et qui rencontre un immense succès. La Perry emmène bien sûr sa soeur avec elle pour la consoler et lui conseille de changer de look. Aussitôt dit aussitôt fait, Helen est maintenant la copie conforme de sa soeur avec le détail qui fait toute la diffèrence : le point de beauté au coin de la bouche. La Perry se produit devant un parterre d'admirateurs dont Joseph et Bob, tous deux subjugués par la jeune femme. Bien sûr tous deux veulent faire la connaissance de La Perry et lui font parvenir leur carte de visite. La Perry répond par l'affirmative à tous deux et conseille à sa soeur de retrouver son mari. Deux voitures se trouvent devant la sortie des artistes et Helen emmène donc les deux hommes avec elle dans un endroit huppé. Là encore c'est le triomphe mais Helen à bien de la peine à se mettre dans la peau d'une star et sa timidité séduit son pseudo beau-frère qui flirte sans retenue. Il lui ment en précisant que sa soeur Helen est partie visiter leur mère. Le soir il ramène sa "belle soeur" à la maison au grand déplaisir de la gouvernante qui finit par comprendre que l'honneur est sauf. La concurrence est rude, Bob et Joseph étant très épris de La Perry/Helen ...



C'est le juste retour des choses, après la complicité masculine développée dans Her Night of Romance, cette fois-ci c'est la femme qui manipule son monde, avec l'aide de sa soeur et de la gouvernante. On assiste donc ici à une vraie complicité féminine très sympathique. L'air contrit et penaud de Joseph fait presque peine à voir tant la situation devient gênante et douloureuse à la fin.
Constance Talmadge est absolument adorable, un peu innocente et coquette, ses grands yeux brillent et font craquer ces messieurs. En l’occurrence Ronald Colman est toujours très séduisant se débrouille pour être lui aussi parfaitement convaincant dans ce rôle difficile d'homme qui souhaite tromper sa femme mais qui réalise qu'il ne peut tout simplement pas le faire.  
George K. Arthur a le rôle du casse pied qui s'impose et qui ne lâche pas prise. Il faut avouer que ce rôle lui va à merveille, il reste en toute circonstance gentil et souriant tout en gardant l'espoir de pouvoir épouser La Perry.
Les scènes de danse sont charmantes, en particulier la scène dans laquelle La Perry incarne une danseuse russe entourée de danseuses aux jupes bariolées du plus bel effet.
Au final on ne peut que souhaiter à toutes les femmes d'avoir une sœur jumelle telle La Perry !

Le film se trouve avec Her Night of Romance sur le DVD édité par Kino. Très joli accompagnement musical.


Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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