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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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Affichage des articles dont le libellé est Rowland V. Lee. Afficher tous les articles
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mercredi 3 avril 2019

Dangerous Days - Reginald Barker - 1920

Pauline Starke
Les usines Spencer tournent à plein pot, la production d'obus a le vent en poupe, la guerre fait rage en Europe.
Cela ne dérange pas Madame Spencer qui donne un bal masqué sous prétexte de récolter des fonds pour les victimes du conflit.

Son mari, Clayton est sincèrement désolé par la tournure des événements et offre une belle somme d'argent au curé pour ses orphelins belges tandis que leur fils, Graham, coule une vie sans souci et flirte allégrement sous le regard de Delight Haverford qui est bien désolée de voir celui qu'elle considère comme son fiancé regarder d'autres filles.


A l'usine, Graham a une secrétaire nommée Anna. Celle-ci est la fille de leur contremaitre, Herman Klein, un nouveau citoyen américain d'origine allemande.

Lawson Butt, Pauline Stark, Rowland V. Lee
Quand les Etats-Unis commencent à envisager d'entrer dans le conflit, Herman est déboussolé car son cousin Rudolph l'adjure de commettre un acte patriotique en faveur de ceux restés sur le vieux continent. D'abord peu convaincu Herman finit par se trouver confronté à lui-même et donne sa démission à l'usine.
Seule Anna continue à travailler pour Graham qu'elle aime secrètement. Lorsque le jeune homme lui offre une montre en témoignage d'amitié et de sa reconnaissance pour son travail, Anna est très émue.
Mais Rudolph qui voit tout dénonce la jeune femme à son cousin pour le pousser à rejoindre les troupes de saboteurs allemands et faire sauter l'usine. Pour bien s'assurer une réaction immédiate, il annonce à Herman qu'Anna s'est compromise avec Graham. Le père donne les tours comme de bien entendu et lorsque les Etats-Unis entrent en guerre, il demande à se faire réengager au sein de l'entreprise. Clayton accepte.
De son côté Graham veut s'engager dans les troupes et sa mère est terrorisée à cette idée tandis que son père voit là un beau geste patriotique ...



Sabotage sur fond de passion et de patriotisme. Malheureusement le film est trop incomplet pour se faire une idée objective. De ce qu'on peut voir, l'histoire n'est pas très plausible et même un peu barbante. Dommage car Reginald Barker nous a habitué à beaucoup mieux !

Ann Forrest
Anna Klein est folle du jeune Graham qui ne s'intéresse pas vraiment à elle jusqu'au moment où elle le cherche ouvertement. Le père Clayton n'aime plus sa femme (lui seul semble avoir une attitude décente dans le film) mais est sous le charme de Antonia Valentine. Celle-ci perd son mari à la guerre (c'est bien pratique pour le scénario), Madame Spencer quant à elle s'accroche à son fils qui tente de devenir adulte enfin..
Le père Klein pourtant contremaître est influençable et à la limite simplet (on se demande comment il pouvait être apprécié et contremaitre dans les usines Spencer), l'oncle Rudolph Klein est horrible (on voit bien qu'il n'est pas sain dans sa tête et dans ses actes), bref, difficile de se laisser prendre par l'action.



77 minutes (forme visible actuellement)

Titre belge : Heures d'épouvante

Lawson Butt ... Clayton Spencer
Clarissa Selwynne ... Natalie Spencer
Rowland V. Lee ... Graham Spencer (as Rowland Lee)
Ann Forrest ... Anna Klein
Stanton Heck ... Herman Klein
Milton Ross ... Dunbar (as H. Milton Ross)
Pauline Starke ... Delight Haverford
Bertram Grassby ... Rodney Page
Frank Leigh ... Rudolph Klein
Edward McWade ... Dr. Haverford (as Eddie McWade)
Barbara Castleton ... Audrey Valentine (ou Antonia Valentine)
Florence Deshon ... Marion Haydon
Barbara Castleton

mercredi 19 septembre 2018

The Woman in the Suitcase - Fred Niblo - 1920




Mary Moreland vient tout juste d'achever ses études dans un pensionnat huppé. De retour à la maison, elle retrouve ses parents chéris. Son père, James Moreland revient alors d'un voyage d'affaires à Philadelphie. Mary, heureuse de le revoir se rend  à son bureau où son père lui promet un cadeau. Alors qu'il est attiré hors de la pièce par une affaire, Mary,, impatiente de découvrir le cadeau promis, ouvre la valise dans laquelle elle découvre le portrait d'une femme.
Son père la rejoint et Mary l'aperçoit cacher la photo alors qu'elle attend son cadeau. 
Le soir Mary donne une fête pour célébrer son diplôme. Tout le monde est gai mais Mary tombe de haut lorsqu'elle surprend une conversation entre son père et Dolly, la femme du portrait dans la valise.
Comme elle surprend le rendez-vous des deux amants, Mary décide de passer une petite annonce pour obtenir la garde d'un chaperon.
Le fils du magnat qui possède le journal, Billy Fiske, décide de répondre à l'annonce et appelle Mary qui l'engage. 
Après s'être rencontrés dans le hall de l'hotel Carlton comme convenu, le pauvre garçon ne comprend pas très bien quel est le but de ses sorties avec Mary qui se montre bien mystérieuse ...



Pas de femme découpée en morceaux mais un film bien démodé par le thème ! Plutôt agréable à regarder après les 20 premières minutes qui introduisent la suite, car jusque là le film tire un peu en longueur. Ensuite, à l'arrivée de Billy l'action prend peu à peu forme. Le spectateur se demande si la romance entre le père et Dolly est sérieuse, je craignais que ce ne soit pas le cas et que le réalisateur s'en sorte avec une pirouette du genre "Dolly était la soeur d'un ami décédé" ou un truc de ce genre. Heureusement il n'en est rien.
Toutefois, il est difficile de penser que Mary est une jeune fille bien élevée vu les actes : fouille de la valise de son père, écoute du téléphone, fausse identité, etc !
De même on se demande bien pourquoi le père s'encanaille avec une femme telle Dolly et ses fréquentations peu recommandées ! 

Le bon côté du film c'est qu'on a plaisir à voir Enid Benett et surtout Rowland V. Lee qui se trouve plus souvent derrière la caméra que devant et à qui on doit plusieurs films qui mettent en scène Pola Negri ou Gary Cooper. Ici il se montre charmant !



65 minutes



Enid Bennett ... Mary Moreland
William Conklin ... James B. Moreland
Dorcas Matthews ... Dolly Wright
Rowland V. Lee ... W.H. 'Billy' Fiske (as Roland Lee)
Claire McDowell ... Mrs. James B. Moreland
Donald MacDonald ... 'Doc' Harrison (as Donald McDonald)
Gladys George ... Ethel


mercredi 21 décembre 2016

The Sea Lion - Rowland V. Lee - 1921



A bord du baleinier The Lair, la vie n'est pas facile. Le capitaine John Nelson est un homme dur depuis qu'il a, quelques années auparavant, retrouvé à son retour à terre un mot de sa femme qu'il croyait enceinte de leur enfant, lui demandant de lui pardonner car elle a trouvé l'homme qu'elle aime.

Après avoir empli les cales de blanc de baleine le bateau fait cap sur San Francisco où au même moment un jeune homme de la bonne société, Tom Walton, est renié par son père car il avait l'intention d'épouser une jeune fille qui ne s'intéressait qu'à son argent.
Au port, le bateau est prêt à appareiller car son capitaine ne supporte pas de rester à quai. Il demande à son second d'engager deux marins supplémentaires et l'homme finit par dégotter le pauvre Tom trop heureux de trouver du travail.

Bessie Love
Le travail à bord est dur et lorsque l'eau potable est perdue les hommes commencent à se révolter, et quand Nelson s'empare d'un tonnelet d'eau pour son usage personnel la mutinerie est prête à éclater. Tom marque des points auprès de Nelson qu'il aide juste avant qu'une île soit aperçue au loin. 
Sur l'île perdue deux naufragés attendent de l'aide depuis 16 ans, un vieil homme et une jeune fille innocente d'une quinzaine d'années. Tous deux embarquent en acceptant de travailler pour payer leur billet et la jeune fille nommée Blossom est prise sous l'aile de Tom. Lorsque Blossom découvre que John porte le même nom que sa mère, Nelson, le capitaine est persuadé d'avoir devant ses yeux la fille de sa femme et de l'homme qui lui l'a enlevée....



Une belle histoire dont la fin est assez facile à deviner. Hobart Bosworth est plus vrai que nature dans ce rôle d'homme aigri et ce film donne l'occasion de voir Emory Johnson que l'on connait plus souvent derrière la camera que devant.

On se demande quand même comment Nelson, qui croyait sa femme enceinte puisqu'il ramenait un berceau construit de ses propres mains, conclut tout à coup qu'il  n'est pas le père de l'enfant ?


Titre français : Les Chasseurs de baleines

 On trouve le film dans plusieurs éditions.

61 minutes



Hobart Bosworth ...
John Nelson
Emory Johnson ...
Tom Walton
Bessie Love ...
Blossom Nelson
Carol Holloway ...
Dolly May
Florence Carpenter ...
Florence
Charles Clary ...
Green
Jack Curtis ...
Bentley
Richard Morris ...
Billy
J. Gordon Russell ...
Simmons

Emory Johnson

jeudi 28 juillet 2011

A Dangerous Woman - Rowland V. Lee - 1929



Olga Baclanova ...
Tania Gregory (as Baclanova)
Clive Brook ...
Frank Gregory
Neil Hamilton ...
Bobby Gregory
Clyde Cook ...
Tubbs
Leslie Fenton ...
Peter Allerton
Snitz Edwards ...
Chief Macheria

72 minutes
Son : mono (MovieTone)

En Afrique dans une colonie britannique. Frank Gregory (Brook) gouverne la province dont il est responsable pendant que sa femme Tania (Baclanova) s'ennuie ferme et s'amuse à séduire le peu d'hommes dans les parages, dont Peter Allerton (Fenton). Celui-ci se suicide lorsque Tania se lasse de lui. Frank connait le goût de sa femme pour les hommes et déguise le suicide en accident. Peu à peu il s'éloigne de sa femme, qu'il semble toutefois encore aimer. Les choses se corsent lorsque le petit frère de Frank, Bobby (Hamilton) arrive dans la petite communauté comme nouveau bras droit de Frank qui demande à sa femme de faire un effort pour se montrer irréprochable et pour faire croire que leur couple est idéal, car Bobby est encore très jeune et inexpérimenté. Tania ne peut résister à le séduire bien sûr ...



Qu'est-ce qui m'a pris de regarder ce film démodé et terriblement sexiste ? Je me le demande. Une vraie caricature du colonialisme. (De mon point de vue d'ailleurs, le titre est peut-être mal choisi, car dans le fond il me semble que les hommes sont bien plus dangereux dans cette histoire ;-)). En outre, j'ai de la peine à voir ce que les hommes trouvent à Olga Baclanova, surtout lorsque, excitée par les tam-tams qui lui font battre le cœur plus vite, elle se trémousse, je dirais, heu, langoureusement (?, et c'est bien pour être gentille ...) pour affoler le pauvre Neil Hamilton ? Le soir, elle chante des chansons russes à la manière de la Castafiore (ou du moins de la manière dont j'imagine que La Castafiore chante) en s'accompagnant au piano. Pour couronner le tout, j'ai eu de la peine à comprendre ce qu'elle disait avec son accent russe ...
Au second degré on peut certainement trouver ce film dont la morale est "si femme pas bonne = couic" amusant. Clive Brook se tient toujours parfaitement droit. Rien que de le voir, mon dos se redresse (ce qui est toujours positif et pour ma colonne et pour ma circulation, entre autres). La scène où il croit avoir tué sa femme est très bonne.
Toujours est-il que dans ce film il est bien seul, son frère ayant somme toute peu de scrupules à laisser tomber sa fiancée anglaise qui lui a promis sur un vieux disque qu'il passe sur un vieux gramophone de l'attendre toujours et toujours ou de tromper son frère. Neil Hamilton la joue un peu naïf (voire niais, genre beau garçon pas très dégourdi mais bon).  Clyde Cook est excellent dans le rôle de l'aide de camp qui a l'oeil sur tout et une solution à tous les problèmes.
Les indigènes, plus sages, ne s'embêtent pas avec des considérations ou des conventions d'ordre social et ont bien sûr une solution pour faire disparaitre les "maux" dont souffrent ces pauvres hommes : le mamba vert !

 Amusantes ces photos, lorsqu'on sait que les deux époux font tout pour s'éviter ...































































lundi 25 juillet 2011

Barbed Wire - Rowland V. Lee - 1927



Pola Negri ...
Mona Moreau
Clive Brook ...
Oskar Muller
Claude Gillingwater ...
Jean Moreau, Mona's Father
Einar Hanson ...
André Joseph Moreau, Mona's Brother
Clyde Cook ...
Hans
Gustav von Seyffertitz ...
Pierre Corlet
Charles Lane ...
Col. Duval
Ben Hendricks Jr. ...
Sgt. Caron


70 minutes


En 1914, dans la campagne française, non loin de Rouen. Une famille composée du père (Gilingwater),  de son fils Jean (Hanson) et de sa fille Mona (Negri) gère la ferme familiale avec bonheur. La guerre est déclarée : Jean est mobilisé et quitte la ferme au grand désespoir de sa soeur. Très vite, Jean est déclaré mort et la haine de Mona ne cesse de grandir contre les allemands. Plus tard, alors que les moissons battent leur plein, les autorités décident d’affecter la ferme comme camp de prisonniers et les premiers arrivants arrivent. Les vestes sont marquées de PG et Hans (Cook), un acrobate berlinois, est désigné pour travailler à la ferme, très vite suivi par son ami Oskar (Brook) qui remplace un jeune homme malade qui vient de décéder. Mona se montre fermée et dure envers tous, malgré les pitreries d'Hans qui tente de la dérider. Petit à petit Mona sent fondre son ressentiment envers Oskar qui se montre doux et calme. Un jour, alors qu'un militaire tente d'abuser d'elle, Oskar vient à la rescousse et se bat contre l'agresseur. Il est arrêté et, comme il refuse de donner des explications pour son comportement, il est jugé coupable et condamné à mort. Alertée par Hans, Mona vient à la rescousse et raconte l'agression qu'elle a subie par l'officier français, à la grande désapprobation d'Oskar, qui voit la haine dans les yeux des villageois qui assistent au procès, outrés de voir un français arrêté par la faute d'un allemand et qui, menés par Pierre Corlet (von Seyffertitz) vont dès lors tout faire pour pousser Mona à faire des choix ...



Un film très magnanime qui démontre bien la vindicte populaire face aux personnes qui se montrent indépendantes et qui étaient soupçonnées de relations avec l'ennemi. Les images sont vraiment belles et presque d'inspiration religieuse, Pola Negri éclairée partiellement incarne souvent une madre dolorosa, son visage est expressif et les expressions douloureuses. Clive Brook se montre plein de retenue et de sensibilité. Une scène particulièrement poignante lorsque le soir de Noël il apprend la mort de sa sœur durant un bombardement et qu'il retrouve Mona. Touchant et très beau !





jeudi 5 mai 2011

Doomsday - Rowland V. Lee - 1928




Florence Vidor ...
Mary Viner
Gary Cooper ...
Arnold Furze
Lawrence Grant ...
Percival Fream
Charles A. Stevenson ...
Capt. Hesketh Viner

60 minutes

Mary Viner (Vidor) trime durement pour entretenir la maison où elle et son père, maintenant âgé, vivent. Tous les jours elle s'use en se consacrant aux tâches ménagères qui ne manquent pas (on la voit  surtout faire des lessives ?) sous les yeux de Percival Fream, un homme immensément riche mais âgé qui possède un manoir non loin de là et qui, amoureux platonique, l'observe souvent à l'aide d'une paire de jumelles. 
Un jour, son employé étant malade, Arnold Furze (Cooper) vient livrer un sac de pommes de terre. Secrètement amoureux, Arnold fait sa cour en lui disant que le travail est essentiel dans la vie, tant pour les femmes que pour les hommes. Plus tard, alors qu'elle se balade rêveusement (elle a quand même le temps !), elle aperçoit Arnold en train de labourer son champs près de la magnifique très vieille ferme qu'il possède, où le travail ne manque pas et dont les équipements ménagers sont très vétustes. Il lui déclare sa flamme dans une botte de paille (dangereux, ça !) puis montre ce que sera sa vie à Mary, qui réalise tout à coup la somme de travail qui l'attend si elle l'épouse. Arnold déclare qu'il va abattre des arbres qu'il a toujours aimés pour permettre d'apporter du confort à la maison. Mais Percival fait miroiter une vie luxueuse à Mary, et Mary épouse le vieil homme, alors qu'Arnold commence à couper les arbres qu'il aime tant ...



Quand même pas mal d'invraisemblances dans ce film : comment croire par exemple que juste à côté du fabuleux manoir de Percival, vivent si près, à portée de vue, Mary et son père ? et que dire de ces tâches ménagères si dures alors que Mary vit seule avec son père, dans un petit cottage somme toute très "cosy" ?
Ce film très macho est par contre très sensuel : lors de la rencontre de Mary et Arnold, leurs sentiments sont très clairement exposés par les gros plans sur leurs yeux, leurs bouches, leurs mains; même leurs visages sont cadrés de très très près. Gary Cooper est physiquement séduisant dans ce film,  mais moins dans ce rôle d'homme pour qui le travail est essentiel et qui passe son temps à parler travail (il dit à Mary lors que la visite de sa ferme, que les vitres laisseront passer beaucoup de lumière lorsqu'elle les aura lavées ... puis, montrant une pauvre femme qui se tient le dos toute courbée, lui dit que cette femme est très heureuse d'avoir passé toute sa vie dans ce domaine ... il y a quand même mieux pour faire sa cour, non ?)
 Percival est sensé être impotent, soit. Il se comporte quand même en gentleman avec Mary, l'emmène voyager à l'étranger, lui offre des montagnes de robes, de chaussures. Bien sûr Mary ne peut oublier la bouche d'Arnold, les yeux d'Arnold, etc. Elle fera bien sûr une crise ....

Gary Cooper est tout jeune dans l'un de ses premiers rôles en tête d'affiche. Il est intéressant de le voir à la fin du film, avec des sentiments de colère retenue et aigri, mais on voit bien qu'il manque encore de "bouteille" en tant qu'acteur.

Florence Vidor porte encore le nom de son précédent mari, le réalisateur King Vidor dont elle divorce en 1926. Bien que très célèbre dans les années 20 et connue pour sa beauté, elle ne réussit pas à passer le cap du "parlant". Sa carrière prend fin une année plus tard, en 1929.

Lawrence Grant, né en Grande Bretagne, est fasciné tout jeune par les tribus d'Indiens d'Amérique. Il eut la chance de pouvoir partager leurs vies au Wyoming et au Montana. Il filma ses expérience en utilisant un procédé de film couleur appelé Kinemacolor.






Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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