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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 22 septembre 2021

A Society Sensation - Paul Powell - 1918

 



Proche de San Diego, dans un petit village de pêcheurs appelé St Margaret, le capitaine Fairfax est certain d'être le digne Marquis de Deerford d'ascendance anglaise, titre qu'il transmet à sa fille Margaret, surnommée la petite duchesse. Un pêcheur, Jim Cox, aimerait bien avoir la permission de la courtiser, mais Fairfax refuse de la marier à un roturier indigne du sang bleu qui coule dans les veines de sa fille. Il est ravi d'annoncer que sa fille est invitée par la riche Madame Jones de Belle Harbor, qui va introduire sa fille dans le beau monde. Jim est invité par Margaret à se rendre auprès de Mary, une jeune fille du village qui lorgne sur le pêcheur.

L'arriviste nouvelle riche Madame Jones fait donc des préparatifs pour contrer la reine de la société locale, une certaine madame Bradley. Après quelques semaines, Madame Jones emmène donc sa protégée au très select Golden Gate Country club où trône Madame Bradley.

Sur la plage des jeunes gens s'amusent. Un jeune homme qui n'est autre que le fils Bradley, Richard, sort de l'eau sous les acclamations de ses amis. L'un d'eux le challenge pour un nouveau défi et les deux jeunes gens plongent dans l'eau. Au retour, Dick est pris de crampes tandis que son adversaire sort de l'eau et se retrouve entouré de leurs amis. Seule Margaret voit que Dick est en détresse et se précipite à l'eau pour sauver le jeune homme.

Zasu !

Bien sûr tout le monde est en ébullition, Madame Jones présente sa protégée, la Duchesse de Deerford qui obtient le succès qu'elle mérite après son acte héroïque.

Richard vient la remercier et tombe sous le charme de la charmante jeune fille. Toutefois il n'ose déclarer sa flamme à une duchesse ...

 



Charmante bluette qui permet de voir le beau Valentino, crédité sous le nom de Rudolpho de Valentina, dans son premier rôle en tête d'affiche à côté de Carmel Myers.

Celle qui  retient toujours mon regard, est, je l'avoue, Zasu Pitts (créditée Zazu sur un intertitre) qui a une présence très intense, quoi qu'elle fasse.

Les 24 minutes passent vite, on aimerait un petit miracle qui permettrait de voir le film en entier.

Paul Powell a bien réalisé ce film, toutefois lorsque Universal Pictures a réédité ce film en 1924, elle a remplacé le nom du réalisateur Paul Powell au générique par celui d'Edmund Mortimer, bien que Mortimer n'ait rien à voir avec la réalisation du film. Powell était mis sur la liste noire par les studios en raison de ses efforts pour organiser un syndicat de réalisateurs.


Jusqu'à la fin de 1929, Universal, qui avait la particularité de ne pas posséder son propre réseau de cinémas, utilisait un système de marque à trois niveaux pour vendre son produit : Red Feather (programmeurs à petit budget), Bluebird (sorties grand public) et Jewel (photos de prestige conçues pour augmenter les prix des billets).

Autre titre ; The Borrowed Duchess

Titre français : Dolly Duchesse 


24 minutes dans la forme visible)

 


Carmel Myers ... Sydney Parmelee aka Margaret Fairfax

Rudolph Valentino ... Dick Bradley (as Rudolpho De Valentina)

Lydia Yeamans Titus ... Mrs. Jones

Alfred Allen ... Capt. Parmelee aka Harry Hannibal Fairfax

Fred Kelsey ... Jim Cox

Zasu Pitts ... Mary

Harold Goodwin ... Timmy

 



mercredi 3 mars 2021

Monsieur Beaucaire - Sidney Olcott - 1924

 

 

A la cour du Roi de France, Madame de Pompadour est la favorite et la reine est en retard. Pour es divertir un spectacle est donné en l'honneur de la Princesse Henriette qui est désormais en âge de sortir de son couvent. Comme le spectacle est navrant, on demande au Duc de Chartres, Philippe de se produire à la place de la troupe qui quitte la scène de fort piteuse manière.

Le Duc est très séduisant son regard croise celui d'Henriette qui lui  est promise. Mais celle-ci n'apprécie guère l’allégeance de Philippe à Madame Pompadour même si elle se rend compte que Philippe n'est pas mauvais garçon et fait preuve de gentillesse envers un petit page. Toutefois, Philippe lui fait la cour mais tout cela tourne court lorsque le Roi lui ordonne d'épouser Henriette. Philippe se rebelle et s'enfuit pour se rendre en Angleterre, où, se sachant rechercher pour avoir refusé un ordre du Roi, il se fait passer pour le barbier de Mirepoix, l'ambassadeur de France qui reçoit un message de sa Majesté le priant d'aider sa police de Londres à arrêter Philippe qui s'y cache.

A Bath où il s'est réfugié, Philippe découvre que le Duc de Winterset est un tricheur aux cartes avec la
complicité de son homme de main Badger. Plus tard il fait connaissance de la belle de Bath, Lady Mary à laquelle il se fait présenter avant de faire chanter Winterset et s'introduire dans un bal huppé en se déguisant en femme...


 



Deux ans après le Young Rajah, c'est le retour de Valentino devant les caméras. Malheureusement ce film est  loin d'être un succès, malgré beaucoup de beaux noms et de grands acteurs de l'époque sur l'affiche. 
Un résultat très médiocre et navrant qui tire en longueur avec beaucoup trop de personnages secondaires. Comme tout le monde porte perruque on finit par s'y perdre. Les décors et les costumes sont somptueux mais le tout  manque complétement de rythme. Même les duels ne sont pas passionnants, ce qui est un comble !

Heureusement que je n'ai pas vécu à cette période, j'ai de la peine à supporter toute l'hypocrisie de ces mondanités, ces sourires et ces courbettes.

D'après le roman Monsieur Beaucaire de Booth Tarkington, une histoire qui a aussi inspiré une opérette et différents films.

105 minutes


Rudolph Valentino ... Duke de Chartres / Beaucaire

Bebe Daniels ... Princess Henriette

Lois Wilson ... Queen Marie of France

Doris Kenyon ... Lady Mary

Lowell Sherman ... King Louis XV of France

Paulette Duval ... Madame Pompadour

John Davidson ... Richelieu

Oswald Yorke ... Miropoix

Flora Finch ... Duchesse de Montmorency

Louis Waller ... François

Ian Maclaren ... Duke of Winterset

Frank Shannon ... Badger

Templar Powell ... Molyneux


mercredi 13 septembre 2017

The Young Rajah - Phil Rosen - 1922


A Daleford au Connecticut, Joshua Judd et sa femme Sarah recueillent un enfant envoyé par le frère de monsieur, établi en Inde, suite à un coup d'état qui a renversé et tué le Maharadja, père du petit garçon qu'ils nomment Amos en ignorant son identité réelle.
Amos a un mystérieux pouvoir hérité de ses ancêtres et donné par Krishna lui-même ce qui lui permet de prédire l'avenir avec une extrême précision.
15 ans plus tard, Joshua reçoit une lettre de son frère lui révélant l'identité d'Amos ainsi qu'une énorme fortune en rubis.
Amos est envoyé à Harvard. Il brille par ses capacités sportives en aviron et attire le regarde de Molly Cabot, courtisée par Horace Bennett qui attend une réponse de la jeune fille à sa demande de mariage.
Au cours d'une soirée fêtant la victoire de Harvard en aviron, Horace et deux de ses amis s'en prennent à Amos. L'un d'eux, Slade, se jette sur lui et menace de le frapper à l'aide d'une chaise qui aurait dû lui fracasser la tête si un pressentiment n'avait pas fait reculer d'un pas Amos ce qui précipite Slade par la fenêtre, provocant ainsi sa mort.
Amos et Molly sont immédiatement attirés l'un vers l'autre mais Horace tient lui aussi à la jeune fille. Il se trouve que celle-ci s'installe à Daleford tout près de la propriété des Judd...

Le début de ce film est reconstitué à l'aide de photos et de stills qui donnent un aperçu de l'histoire.
Ensuite on récupère une bonne partie du film qui a été restauré par Flicker Alley, the Library of Moving Images Collection et Turner Classic Movies en 2006. Les images et les intertitres sont nets, malheureusement l'histoire a plutôt mal vieilli.
Par contre on est heureux de voir que ce film est dans le font très moderne sur le plan humain. Lorsque Molly découvre que Amos lit la Bible, le Talmud et la Bhagavad-Gita, Amos lui répond que tous les chemins mènent à Dieu. 

De même lorsque Molly décide qu'elle ne peut décidément épouser un homme qui n'a pas la même couleur de peau, elle tombe sur un texte indiquant qu'on ne juge pas un homme à la couleur de sa peau.
L'histoire est assez chouette à suivre dans son état, sans plus.



Tiré de la pièce "Amos Judd" écrite par Althea Luce, elle-même tirée du roman écrit par J.A. Mitchell et adaptée à l'écran par June Mathis.

William Boyd est aperçu quelques minutes.


La deuxième femme de Valentino, Natacha Rambova (née Winifred Hudnut), a créé les costumes de ce film. 
Titre français : Le jeune Rajah


53 minutes


Rudolph Valentino ...
Amos Judd (as Rodolph Valentino)

Wanda Hawley ...
Molly Cabot

Pat Moore ...
Amos as a Child

Charles Ogle ...
Joshua Judd

Fanny Midgley ...
Sarah Judd

Robert Ober ...
Horace Bennett

Jack Giddings ...
Austin Slade Jr.

Edward Jobson ...
John Cabot

Josef Swickard ...
Narada - the Mystic

Bertram Grassby ...
Maharajah Ali Kahn

J. Farrell MacDonald ...
Amhad Beg - Prime Minister (as J. Farrell Macdonald)

George Periolat ...
General Devi Das Gadi

George Field ...
Prince Rajanya Paikparra Munsingh

Maude Wayne ...
Miss Elsie Van Kovert

William Boyd ...
Stephen Van Kovert


mercredi 6 juillet 2016

Blood and Sand - Fred Niblo, Dorothy Arzner - 1922




Juan donne bien du souci à sa mère, une pauvre veuve de Séville qui partage en outre un petit appartement avec son beau fils et sa fille. En effet pour assouvir sa passion de la tauromachie, Juan disparait quelques jours avec ses deux amis. Dans les arènes de campagne les jeunes gens affrontent un taureau et Juan obtient son premier succès alors que l'un de ses amis reste étendu à tout jamais.

De retour à Séville, les prouesses de Juan sont reconnues et l’arène enfin prête à l'accueillir. Son beau-frère est persuadé que le garçon va faire un flop mais contre toute attente c'est le succès qui l'attend au contour. Juan devient un matador célèbre. A son retour chez lui il aperçoit Carmen, une jeune fille qu'il a connue alors encore gamin. C'est le coup de foudre immédiat.

Les deux jeunes gens se marient et Juan poursuit sur sa lancée, le succès l'emmène dans les arènes de Madrid où il fait la connaissance de Dona Sol, la fille du meilleur éleveur de taureaux d'Espagne. La sulfureuse jeune femme jette son dévolu sur Juan qui ne sait comment résister à ses avances ...


Pauvre Matador, pauvre bête ... mais la vraie bête est composée de milliers de têtes ! 

 Comme il a raison ce brave philosophe qui au début du film nous affirme que la vie ne peut durer lorsqu'elle est bâtie sur la cruauté. Il me semble que c'est donc une histoire étonnamment moderne, contre cette cruelle coutume qu'est la tauromachie, ce qui est plutôt une bonne surprise.
Je ne voulais pas voir ce film, j'ose à peine regarder le taureau tant j'ai honte pour nous les humains. Je déteste la souffrance inutile et lorsque la pauvre Carmen dit qu'elle n'a pas pu regarder les scènes où Juan risquait sa vie, de mon côté c'est plutôt pour la vie du taureau que je craignais (le toréador n'ayant que la monnaie de sa pièce, qu'il soit Valentino ou pas).
On comprend surtout que la fierté et le courage que la foule admire tant, sont plutôt représentatifs d'une envie de sang (de l'inculture ou un manque d'évolution, quoi d'autre ?).
 Il est d'ailleurs intéressant de noter que Juan est montré comme un garçon naïf et non éduqué.

N'est-ce pas pathétique d'avoir l'air (ou plutôt de vouloir avoir l'air, il faut bien se justifier n'est-ce pas ?) de pratiquer un "noble art" lorsqu'on ne sait pas apprécier la femme qui vous aime et vous attend à la maison et qu'on ne peut résister à une autre femme ?
Alors on on comprend bien qu'il y a rien de noble ou de grand dans ce héros, rien qu'un misérable petit humain voué à mourir comme tout le monde, mais ici d'une bien cruelle manière sous les yeux de la bête constituée de milliers de têtes.
L'humain est d'une telle cruauté. C'est incroyable le nombre d'excuses invoquées pour perpétuer ce genre de barbarie, ne me parlez pas d'art ou de sport dans la mise à mort d'un taureau dans une arène !

Ce n'est pas le meilleur film de Valentino. Ici il se montre désemparé et plutôt mou face à une Nita Naldi très en beauté et sûre de son emprise sur le pauvre garçon (Si je faisais de la psychologie à bon marché je dirais que le petit matador surcompense sa mollesse et sa petitesse en massacrant un bel et noble animal réputé pour son courage et sa force) ...

Il y a quelques réparties intéressantes. De nombreuses images de corridas réelles sont insérées dans le film ce qui est pour moi encore plus écœurant.


D'après un roman de Vicente Blasco Ibáñez

Titre français : Arènes sanglantes

108 minutes



Rosa Rosanova ...
Angustias (as Rose Rosanova)
Rudolph Valentino ...
Juan Gallardo (as Rodolph Valentino)
Nita Naldi ...
Doña Sol
Leo White ...
Antonio
Lila Lee ...
Carmen
Rosita Marstini ...
Encarnacion
Charles Belcher ...
Don Joselito
Fred Becker ...
Don José
George Field ...
El Nacional
Jack Winn ...
Potaje
Harry Lamont ...
Puntillero
Gilbert Clayton ...
Garabato
Walter Long ...
Plumitas
George Periolat ...
Marquis of Guevera
Sidney De Gray ...
Dr. Ruiz



lundi 17 novembre 2014

The Son of the Sheik - George Fitzmaurice - 1926


En Afrique du Nord, Yasmin la fille d'un français nommé André danse pour gagner les quelques piécettes que les hommes de son père s'empresseront de jouer aux cartes.
Un jour dans une petite ville la jolie jeune femme fait la connaissance d'un beau jeune homme qui lui propose quelques sous pour l'aider. Comme elle refuse et il lui offre l'une de ses bagues en gage d'amitié. Yasmin lui propose de le revoir dans les ruines d'un vieux palais et les deux jeunes gens tombent amoureux l'un de l'autre.
Cela n'est pas au goût de Ghabah qui considère Yasmin comme sienne depuis qu'André lui a promis sa fille. Il fait enlever le garçon et le fait fouetter pour qu'il révèle son nom afin de demander une rançon à sa famille. Pour attiser sa jalousie il prétend que Yasmin l'a piégé pour la bande et Ahmed, le fils du Sheik le croit. Lorsque ses deux valets le délivrent, Ahmed retourne dans son campement et jure de se venger. Pour ce faire il kidnappe la jeune femme qu'il malmène de manière brutale.
avec le réalisateur
De son côté le Sheik, son père, sent la moutarde lui monter au nez car son fils lui a désobéi et n'est pas rentré à la maison. Sa femme Diana lui rappelle que lui-même était tout aussi ardent dans sa jeunesse mais le Sheik décide d'aller chercher son fils qui tente de cacher Yasmin. Lorsqu'il comprend qu'il s'agit d'une vengeance son père lui conseille de relâcher la captive.

C'est après que Yasmin soit partie que Ahmed comprend à quel point il l'aime ...

Rudolph interprète le père et le fils dans cette histoire qui parait-il avait subjugué les spectatrices de l'époque. L'histoire est amusante et ce film a le grand avantage de se trouver dans des versions aux images bien nettes. Le rythme est constant, il y a de fort belles images de cavaliers dans le désert et une très belle scène de bagarre finale. Bref, il y a de la romance, de l'action et de l'humour dans cet ordre.

C'est le premier film a avoir une suite et le dernier de Valentino qui malheureusement mourra deux semaines avant sa sortie.

Titres français  : Le fils du Cheik ou L'amant éternel

68 minutes

Rudolph Valentino ...
Ahmed / The Sheik
Vilma Bánky ...
Yasmin (as Vilma Banky)
George Fawcett ...
André
Montagu Love ...
Ghabah (as Montague Love)
Karl Dane ...
Ramadan
Bull Montana ...
Mountebank
Bynunsky Hyman ...
Mountebank (as Binunsky Hyman)
Agnes Ayres ...
Diana - Wife of the Sheik


Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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