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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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lundi 22 octobre 2012

What Price Glory - Raoul Walsh - 1926



Edmund Lowe ...
1st Sgt. Harry Quirt
Victor McLaglen ...
Capt. Flagg
Dolores del Rio ...
Charmaine de la Cognac
William V. Mong ...
Cognac Pete
Phyllis Haver ...
Shanghai Mabel
Elena Jurado ...
Carmen
Leslie Fenton ...
Lt. Moore
Barry Norton ...
Pvt. Kenneth 'Mother's Boy' Lewisohn
Sammy Cohen ...
Pvt. Lipinsky
Ted McNamara ...
Pvt. Kiper
August Tollaire ...
French Mayor
Mathilde Comont ...
Camille
Patrick Rooney ...
Mulcahy (as Pat Rooney)



116 minutes

Deux marines combattent ensemble en Chine puis aux Philippines. A chaque fois le malin Quirt (Lowe) finasse pour chiper les conquêtes de Flagg (McLaglen). A Shanghai les deux hommes en viennent aux mains pour la belle Shanghai Mabel (Haver) et sont emmenés par les MP. 
On retrouve Flagg maintenant Capitaine dans un petit village français où il prend ses quartiers durant la première guerre mondiale. Il aperçoit Charmaine (del Rio) la fille du tenancier Cognac Pete (Mong) un homme très près de ses sous. Flagg apprécie Charmaine qui lui apporte une trêve très appréciable au sein du remue ménage de tous les jours. Il est assisté des soldats Kiper (McNamara) et Lipinsky (Cohen), deux hommes particulièrement portés sur la bouteille. Dans la troupe se trouve aussi Mother's Boy Lewisohn (Norton) un tout jeune homme qui semble bien malheureux sans sa mère.
Un message parvient à Flagg qui fait alors marche avec sa troupe sur un village duquel lui et un bon nombre de ses hommes reviendront vivants. Flagg reçoit donc une permission et attend un sergent chargé de le relever. L'homme en question fait son apparition et Flagg a la surprise de découvrir son vieux rival de toujours, Quirt. 
Flagg part pour Bar-le-Duc pendant que Quirt flirte avec l'aguicheuse Charmaine ...



Pas d’héroïsme particulier dans ce film mais plutôt des hommes avec des préoccupations d'hommes. Pour certains il ne s'agit que d'alcool et de femmes, d'autres ont l'esprit resté chez eux à des milliers de kilomètres. Chacun est heureux de recevoir le courrier, ce lien tenu avec un monde qu'il leur échappe mais si certains reçoivent des lettres d'amour d'autres n'ont que les yeux pour pleurer leurs femmes qui ne pensent qu'à leurs pensions.
Le fil conducteur est une espèce de rivalité teintée d'une certaine estime entre les deux protagonistes principaux. Du coup la guerre passe presque en second plan et sert de toile de fond, même si le réalisateur prend la peine de nous peindre l'horreur en quelques scènes plutôt impressionnantes. Par exemple l''image nocturne vue de haut de centaines d'hommes marchant en direction du front et éclairés seulement par intermittence par les explosions, ou des scènes montrant les hommes dans les tranchées.
Comme la rivalité prend la plus grande partie du film on a peine à se plonger dans l'action tragique. Du coup on oscille entre drame et comédie. Et on finit par comprendre qu'il s'agit d'une comédie dramatique, d'ailleurs la tragédie et la comédie vont forcément de paire dans la vie.
Ceci dit, c'est donc un film plutôt honnête. On n'essaie pas de nous convaincre du prix de la gloire ou de l'horreur de la guerre par des images de blessés sanguinolents ou se trainant mourants et grimaçants. On nous montre juste des scènes réalistes avant, pendant et après la bataille.
Alors évidemment il faut convaincre le spectateur et celui qui attend un film de guerre traditionnel sera forcément déçu. Notez que rares doivent être ceux qui attendent une comédie de ce film !
Le reproche c'est que dans le fond on n'entame pas un vrai questionnement ce qui fait que le film bien qu'irréprochable en ce qui concerne la manière de filmer ou la description des hommes ou de la guerre ne vous prend pas aux tripes comme certains films qui utilisent la légèreté d'une part puis basculent par la suite dans l'horreur comme ce qu'on peut voir dans "La grande Parade" par exemple. Les personnages sont sympas, sans plus, on est loin de l'attachement qu'on peut ressentir face aux acteurs dans La grande parade, c'est certain.
Les deux heures passent quand même plutôt vite même si on devine facilement la fin de ce film.

La version VHS de Critics Choice Masterpiece Collection est accompagnée au piano par William Perry. L'image n'est pas très bonne mais acceptable.
http://forums.tcm.com/message.jspa?messageID=8046432










dimanche 3 juin 2012

Evangeline - Edwin Carewe - 1929



Dolores del Rio ...
Evangeline

Roland Drew ...
Gabriel

Alec B. Francis ...
Father Felician

Donald Reed ...
Baptiste

Paul McAllister ...
Benedict Bellefontaine

James A. Marcus ...
Basil

George F. Marion ...
René La Blanc (as George Marion Sr.)

Bobby Mack ...
Michael

Louis Payne ...
Governor-General

Lee Shumway ...
Col. Winslow


87 minutes
D'après le poème de Henry Wadsworth Longfellow "Evangeline"

En Acadie, Evangeline est la fille d'un riche fermier. Baptiste le fils du notaire lui déclare son amour mais Evangeline lui annonce être amoureuse de Gabriel, le fils du forgeron qui s'en revient par la mer. Les villageois ne tardent pas à fêter les fiançailles des deux tourtereaux mais les anglais et les français entrent en guerre. Les acadiens ayant envoyé une délégation auprès du gouverneur général pour demander à ne pas devoir entrer en conflit contre les français, le gouverneur envoie ses troupes se saisir des biens et de déporter les habitants du petit village de Grand-Pré. Manu militari leurs maisons sont brûlées et les familles embarquées. Parmi elles de nombreuses personnes sont séparées de ceux qu'ils aiment et c'est le drame, Evangeline est séparée de son bien aimé Gabriel. Les années passent et Evangeline ne renonce pas à le retrouver ...



J'avoue être un peu déçue. Non pas que les images ne soient pas belles, ni que les acteurs soient mauvais, mais le scénario traine trop en longueur et le tout parait artificiel. Au début on a droit à Evangeline qui chante interminablement ce qui n'apporte rien (on est dans un film muet, je le rappelle). Ses expressions sont certes assez angéliques (je dirais plutôt vides, pour ma part) et surtout trop appuyées (on s'attarde longuement sur ses expressions), on n'en finit pas de voir des gros plans sur le beau visage de Dolores Del Rio dans l'attente du retour de Gabriel, heureuse, optimiste, puis désespérée, déchirée, errant, etc... le tragique dans toute sa splendeur, c'est juste trop ! En fait ce film est assez statique et composé de divers gros plans, il manque de la vie et des êtres de chair et de sang. La dimension humaine est abordée superficiellement car d'un côté on comprend que l'amour d'Evangeline est grand et noble (on nous le rabâche assez par divers plans qui ne laissent aucun doute à ce sujet), mais cet amour est plat car il ne suffit pas d'attendre ou de faire semblant pour le faire vivre (les yeux de cocker ça va un moment).
Le film débute de façon prometteuse pourtant mais le déploiement de l'action est mou et peu enthousiasmant. Un peu comme un pétard qui promet de faire beaucoup de bruit et qui finit dans un chuintement presque inaudible. Bref, on arrive à la fin du film, on se dit qu'il va bien se passer quelque chose, mais non Gabriel est atteint par l'épidémie, Evangeline est là, une femme âgée qui a des mains jeunes et manucurées avec un visage intemporel, face à un Gabriel chevelu et très vieilli ... Le symbole est clair, leur amour éternel leur ouvre les portes du Paradis et de l'éternité ... pas convaincant du tout même si quelques scènes sont touchantes. Ah non, rectification, Donald Reed (un autre acteur mexicain comme son nom ne l'indique pas) est très convaincant et semble tout à fait vivant quant à lui.
Ceci dit c'est un bonheur de voir un film de cette époque aussi bien rénové, l'accompagnement musical est entrecoupé de morceaux de l'époque et tout à fait dans le ton. Partiellement teinté très joliment. La version Milestone / Paradoxe comporte des sous-titres français.

Les pauses sont très appuyées comme on peut le voir ci-dessous (je n'ai pas trouvé de photo de Roland Drew, pas étonnant il a un rôle potiche, d'ailleurs le titre du film c'est "Evangeline" et non pas "Evangeline et Gabriel" !)  :



avec Donald Reed
avec Donald Reed
Avec Alec B Francis et Paul McAllister (mourant)

...voici quand même Mister Roland Drew (qui a l'air sur le point de s'endormir...)

mardi 8 novembre 2011

Red Dance (The) - Raoul Walsch - 1928



Dolores del Rio ...
Tasia
Charles Farrell ...
Grand Duke Eugen
Ivan Linow ...
Ivan Petroff
Boris Charsky ...
An agitator
Dorothy Revier ...
Princess Varvara
Andrés de Segurola ...
General Tanaroff
Demetrius Alexis ...
Rasputin

Autre titre : The Red Dancer of Moscow
Titre français : Danse rouge
103 minutes

Sur fond de guerre civile en Russie, l'histoire est une fiction assez  improbable. Le Grand Duc Eugene (Farrell) est fidèle au tsar. Lorsque celui-ci, sur les conseils d'un mystérieux "moine noir" (Raspoutine), lui impose d'épouser la princesse Varvara le Grand Duc ne pense qu'à son devoir et obtempère. Il va devoir se rendre au sein de la population tenter de comprendre ce qui pousse le peuple à se soulever. Dans un village, Tasia (del Rio), la fille d'une institutrice assassinée et d'un lettré emprisonné, manque se faire violer par Ivan Petroff un homme immense plutôt porté sur la boisson. Sa famille d'accueil est tout à fait disposée à lui donner Tasia en mariage contre un cheval et la bat volontiers pour lui donner du coeur à l'ouvrage. Un jour le Grand Duc fait son apparition et Tasia lui montre le chemin de sa cabane. Le soir de ses noces avec Ivan, Tasia s'enfuit et se retrouve dans un arbre en essayant de fuir les chiens du Grand Duc. Celui-ci vient à sa rescousse et la pluie tombant aidant (ainsi que la nuit !) Tasia est invitée à entrer dans la petite maison. Pour se sécher elle se dévêt (hum) et ... je vous laisse deviner la suite. Bref, toujours est-il que le lendemain matin, Ivan se réveille sobre après une bonne nuit dans la meule de foin et se sent tout à fait d'attaque pour se montrer sous son vrai jour, c'est-à-dire un homme charmant très enclin à se montrer sympathique. Lui est Tasia deviennent de bons amis mais les conspirateurs ont l'intention d'utiliser Tasia pour la cause et l'envoient abattre le Grand Duc le jour de son mariage  ...



En me relisant, il apparait que l'histoire semble quand même tirée par les cheveux. Pourtant j'ai passé un bon moment sans vraiment voir le temps passer, mais peut-être est-ce dû au fait que je n'avais pas vraiment envie de voir ce film qui me paraissait de loin peu passionnant et qui trainait depuis de nombreux mois sur ma table ?
 Une plutôt bonne surprise, finalement : Charles Farrell est toujours aussi joli à regarder, Dolores del Rio ne dépare pas non plus dans le paysage, ni d'ailleurs Dorothy Revier dans le petit rôle de la princesse Varvara. Ivan Linoff, ce grand bonhomme de plus de 2 mètres m'a finalement paru sympathique et même touchant. Et pourtant j'ai peine à imaginer qu'un jour il puisse se montrer sous les traits d'une brute capable du pire et l'autre sous les traits d'un gentleman (mais je suppose qu'on peut imaginer qu'il souffre des méfaits de l'alcool ?).
Certaines scènes sont très théâtrales, avec de grandes envolées et de grands gestes qui tentent de nous faire croire à la sincérité des protagonistes face à leur cause et au destin, mais ce n'est pas désagréable non plus. Les moyens mis en oeuvre sont assez considérables, de nombreux figurants, les paysages enneigés, les traineaux, bref, c'est esthétiquement joli à regarde, surtout pour les fans de Dolores del Rio et de Charles Farrell bien sûr !



Tout lui va, à Charles Farrell !



Et pour une fois on trouve pléthore d'affiches en toutes langues !






mercredi 20 avril 2011

Trail of '98 (The) - Clarence Brown - 1928



Dolores del Rio ...
Berna
Ralph Forbes ...
Larry
Karl Dane ...
Lars Petersen
Harry Carey ...
Jack Locasto
Tully Marshall ...
Salvation Jim
George Cooper ...
Samuel Foote (The Worm)
Russell Simpson ...
Old Swede
Emily Fitzroy ...
Mrs. Bulkey
Tenen Holtz ...
Mr. Bulkey
Cesare Gravina ...
Henry Kelland (Berna's Grandfather)
Doris Lloyd ...
Locasto's procurer
E. Alyn Warren ...
Engineer
Johnny Downs ...
Mother's boy (as John Down)
Ray Hallor ...
Brother Jim
Ray Gallagher ...
Brother Joe

87 minutes

GOLD - KLONDIKE - GOLD !
Dans tous les Etats Unis, la nouvelle se propage ! Les hommes quittent tout et promettent de rapporter des millions à leurs proches qu'ils laissent derrière eux, quelquefois avec soulagement, comme Lars (Dane), à qui sa femme lance un fer à repasser alors qu'il s'enfuit à bord d'un train ! 
De Caroline du Sud comme les deux jumeaux Jim et Joe qui se promettent de tout partager à parts égales, ou du Michigan comme le couple Bulkey (Fitzroy et Holtz) qui compte bien ouvrir un restaurant à Dawson et qui emmène sa nièce Berna (del Rio) et son grand-père aveugle, tout le monde afflue à San Francisco pour embarquer à bord du Topeka Star ... Sur le quai, un homme fait le malin : Jack Locasto (Carey), un homme devenu riche grâce à ses concessions. Tout de suite, il repère Berna et pour s'en rapprocher, propose d'aider le couple Bulkey à ouvrir le plus bel établissement à Dawson - mais alors que Berna couche son grand-père dans leur cabine, un jeune homme embarqué clandestinement qui s'y est caché se présente, Larry (Forbes), et c'est le coup de foudre immédiat.

A peine débarqué, tout ce petit monde s'équipe pour la longue traversée : le vent qui souffle en blizzard en permanence, les rivières glacées à traverser sont déjà éprouvantes, mais que dire de Chilkoot Pass qu'il faut gravir un nombre incroyable de fois pour passer les marchandises de l'autre côté et de la rivière White Horse dont les rapides sont de véritables tueurs ? En attendant la fonte des glaces pour pouvoir atteindre Dawson, il faut construire son embarcation ... Les survivants atteignent enfin Dawson, où ils s'entendent dire que pour chaque travail, il y a mille hommes qui postulent car de l'or, personne n'en a trouvé depuis belle lurette !
"You think you've been through hell, wait until you spend 6 months in Klondike !"
Les prix flambent, c'est l'inflation. Malgré tout Larry s'obstine, et malgré les injonctions de Berna qui se sent menacée par Jack et qui souhaite retourner dans le sud en prenant la nouvelle liaison par bateau qui suit la rivière Yukon, retourne à la recherche de la concession qui les rendra riches. Restée seule Berna ne peut faire face pour subvenir à ses besoins et, traîtreusement emmenée par la fille de saloon complice de Jack qui fait mine de vouloir l'aider, finit par être abusée par Jack.
L'or rend fou : l'un des jumeaux à déjà abattu son frère, et le partenaire de Larry l'abandonne en plein blizzard ...sans compter que la route est jalonnée de nombreux morts ...



Au début ce film ressemble presque à un documentaire qui relate la grande ruée vers l'or de 1898. Petit à petit on se prend d'affection pour les nombreux personnages qui nous sont présentés et qui se sont associés : les jumeaux et Lars, bien sûr, mais aussi les Buckley, Berna et Larry, le pasteur Jim (Marshall), le contrôleur de train associé au petit gars aventurier, et même le gars qui n'en fait pas une, et qui se fait traîner voire carrément parasite le pauvre Lars qui se sent toujours épuisé et qui n'en comprend pas la raison !
Dolores del Rio est tout bonnement magnifique, son visage aux traits parfaits est magnifié par le noir et blanc et le jeu d'ombres et de lumières. Ralph Forbes campe le séduisant Larry, un peu enfantin au départ mais qui finit par se montrer débrouillard et volontaire. De retour à Dawson après moult aventures, il ne comprend tout d'abord pas ce que Berna fait au Saloon, il tente de la reconquérir et ce faisant, finit par devoir affronter l'affreux Jack. C'est le feu purificateur qui finira par réunir les deux amoureux, Berna trainant hors du saloon en flammes le pauvre Larry assommé par Jack qui lui-même se traine, agonisant, au milieu des consommateurs pour terminer mort brûlé vif !
Harry Carey, porteur de moustaches, la joue très dur, moqueur et sûr de lui. Emily Fitroy, et bien, c'est toujours un plaisir de la voir, et ce pour une fois dans un rôle de femme sympathique ! Tully Marshall a tout à fait le profil d'un prédicateur dans ce film qui oscille entre les situations comiques, le drame et le patho : mais c'est un vrai plaisir que de le suivre !







Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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