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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mardi 25 février 2014

Syncopation - Bert Glennon - 1929



Fleurette et Benny forment un couple de danseurs qui ne remportent pas un très grand succès mais cela importe peu à Benny qui aime Fleurette. Fleurette de son côté est beaucoup plus ambitieuse. Elle commence à se demander si elle ne ferait pas une meilleure carrière sans son mari et décide de le quitter. A peine l'a-t-elle fait que se présente à la porte Winston, le propriétaire d'un night club à succès qui propose à Benny une somme rondelette pour que le couple se produise dans sa boite. Benny, maintenant seul refuse mais Fleurette revient et le convainc d'accepter. Le couple obtient beaucoup de succès et Winston commence sa cour auprès de Fleurette qui ne reste pas insensible à son charme.
Benney continue à voir ses vieux amis Lew et Peggy, ainsi que ses copains qui raffolent de jazz mais ce n'est pas au goût de Fleurette. Winston la presse de quitter son mari et lui promet l'ouverture de son propre club, le Club Fleurette. Alors Fleurette annonce à son mari qu'elle le quitte et commence les répétitions avec un nouveau partenaire. Bien vite elle déchante car l'homme n'est pas à la hauteur de Benny. Le soir de la première devant un parterre de personnalités c'est le flop, le danseur la laisse sur le carreau, au propre comme au figuré ...

Bien sûr l'histoire n'est pas transcendante. Soeur de Constance et de Joan Bennett, Barbara Bennett épousera entre autres Addison Randall, alias Jack Randall, un acteur bien connu des amateurs de westerns B. Elle tournera au total dans 5 films.
Bobby Watson aura plus de chance mais aussi le triste privilège d'incarner 9 fois Adolph Hitler au cours de sa carrière cinématographique.
Morton Downey est plus connu pour ses talents de chanteur ou de compositeur. Il chantera entre autres avec l'orchestre de Paul Whiteman. A son retour d'Europe il ouvrira son propre nightclub à New York, le Delmonico. Il sera marié à Barbara Bennett de 1929 à 1941. En tout il ne tournera que dans une dizaine de films.
Frank Waring et ses Pennsylvanians sont les vedettes de ce film. On les voit dans de nombreuses scènes. Fred Waring obtiendra une certaine consécration en obtenant son propre programme de radio et TV sur NBC, The Fred Waring Show.

Dorothy Lee fait ses débuts dans ce film surtout connu pour être le tout premier film tourné par la RKO sous le nom de "Radio Picture", le premier film officiel de la RKO étant "Street Girl", aussi tourné en 1929.






Barbara Bennett ...
Fleurette
Bobby Watson ...
Benny
Ian Hunter ...
Winston
Morton Downey ...
Lew
Osgood Perkins ...
Hummel
Mackenzie Ward ...
Henry
Verree Teasdale ...
Rita
Dorothy Lee ...
Peggy
Leon Barte ...
Artino
Fred Waring ...
Himself

dimanche 1 décembre 2013

Strange Cargo - Frank Borzage - 1940


Au bagne en Guyane, Verne accumule les évasions. A chaque fois repris il purge sa peine mais s'échappe à la moindre occasion. Chargé de décharger des marchandises au port, il repère une jeune femme, Julie. Celle-ci ne souhaite pas être vue parlant à un condamné et Verne lui promet de la retrouver le soir même au bar où elle travaille. Au retour sous les verrous il est sans le savoir remplacé par un mystérieux inconnu, Cambreau, qui prend sa place tandis qu'il rejoint la jeune femme. Surpris par la police, Verne est ramené au pénitencier où il apprend que Moll monte une évasion avec Hessler et Telez, respectivement un condamné pour avoir empoisonné ses femmes et un homme persuadé qu'il rejoindra le paradis grâce à la bible qu'il lit. Cambreau paie les passages de Verne et de lui-même, mais Moll assomme Verne pour l'empêcher de les suivre. Lui seul détient une carte qui pourra leur permettre de rejoindre la mer où un bateau chargé de vivre les attendra. Une deuxième carte est dans les mains de son second qui mènera un deuxième groupe. A son réveil Verne trouve par hasard une carte griffonnée par Cambreau l'incitant à les rejoindre et Verne s'évade aussitôt ...


Voilà un film qui sort des sentiers battus. Pourtant le thème est connu, il s'agit de l'histoire de quelques hommes qui finissent par voir la lumière malgré un passé trouble et terrible.
Borzage s'y prend différemment pour conter son histoire : Il met en présence des hommes et une femme perdus à qui un homme révèlera à chacun sa part céleste. Son identité reste cachée, on peut y voir ce que notre religion, notre éducation ou nos convictions nous font voir : un passeur, un éclairé, un ange, le destin ou même le Christ comme semble le penser le pêcheur interprété par Victor Varconi.

La plupart des réalisateurs auraient pris la peine de faire comprendre aux spectateurs l'identité réelle
de Cambreau. Pas Borzage, ce qui donne une dimension particulière à ce film qui mêle allégrement paraboles, miracles, clairvoyance et sensualité. Il nous fait passer du pénitencier à la mer en passant par la jungle et le désert. Les "pélerins" devront éviter le village des indigènes, la mine, braver les dangers (serpent, flèches, eau salée, sables mouvants), souffrir de faim et de soif avant d'atteindre la mer où leurs soucis seront loin d'être terminés car ils leur faudra encore effectuer la traversée.
Leurs pires ennemis ne sont qu'eux-mêmes, car tous se méfient et tentent de se débarrasser les uns les autres ou bien de se voler leurs maigres possessions.
Le scénario met en scène des personnages tout droit sortis de la Bible, la fille facile, le voleur, le meurtrier, le pêcheur, le croyant, et même le mal en la personne de Pig incarné par le très inquiétant Peter Lorre qui reste très ambigu et dont les intentions ne sont pas nettes du tout. 

Le film est truffé de belles images et de nombreux symboles sont parlants. On peut ne pas aimer cette façon sans équivoque de nous rappeler cette part d'humanité ou de Dieu qui nous habite tous. On peut ne pas apprécier cette manière de nous balancer des bouts de textes bibliques lus de manière presque moqueuse par Verne mais qui tirent des larmes à Julie. Pourtant l'histoire est bien simple, ou vous y croyez ou bien vous n'y croyez pas dans le fond ! Il faut avouer que ce genre de film détonne fortement dans le monde actuel.

Il y a certainement plusieurs niveaux à ce film, si l'on s'en tient aux images et non au message on a sous les yeux une aventure assez quelconque. Si on s'intéresse au message on a sous les yeux un film fort comme devait l'être Borzage. Peut-être d'ailleurs n'est-ce pas un hasard si Cambreau alias Ian Hunter lui ressemble physiquement un peu ? Borzage devait être un homme aux convictions et à la foi très fortes, cela est perceptible tout au long du film.

Les hommes qui se sont fourvoyés se trompent eux-mêmes. Leurs craintes sont les barrières qu'ils ont dressées et ils vivent dans une sorte de monde parallèle alors que la confiance apporte la clairvoyance. La fin est prévisible, on sait que Verne va croire que Julie l'a trahi une fois de plus avec Pig, comment pourrait-il en être autrement pour un homme qui ne vit que pour lui même et qui s'est construit selon ses propres critères et qui prend simplement ce qu'il veut sans se soucier des autres ?
On imagine qu'il va se perdre alors que sous ses yeux, accroché tel un Christ sur sa croix Cambreau se noie dans une mer démontée. Le moment où Verne comprend enfin ce que Cambreau lui révèle est osé mais, magie du cinéma, en une fraction de seconde le visage de Clark Gable redevient lisse et humain alors que jusque là il était dur. Avec Borzage on sait que l'histoire se terminera bien, tant mieux, c'est rassurant ! Et si l'on ne sort pas tout à fait indemnes de ce film qui parle de rédemption, d'amour et de confiance, son but est atteint !

Un film qui joue avec la lumière dans un beau noir et blanc, avec des plans originaux comme celui qui voit Joan Crawford sur le dos, son visage démaquillé regardant le ciel tel un paysage à l'horizon alors que Cambreau, serein, veille à la barre.

Une fois de plus le titre français est loin du sens premier du titre anglais et on trouve ce film dans le coffret intitulé Joan Crawford Collection 2

Deux citations qui illustrent bien le propos :

"La bonté est la meilleure source de clairvoyance spirituelle."
Miguel de Unamuno
"La clairvoyance est le seul vice qui rende libre, libre dans un désert."
Emil Michel Cioran


D'après le roman de Richard Sale "Not Too Narrow... Not Too Deep", scénario écrit par Lawrence Hazard et adapté par Anita Loos.

Titre français : Le cargo maudit

Joan Crawford ...
Julie
Clark Gable ...
Verne
Ian Hunter ...
Cambreau
Peter Lorre ...
M'sieu Pig
Paul Lukas ...
Hessler
Albert Dekker ...
Moll
J. Edward Bromberg ...
Flaubert
Eduardo Ciannelli ...
Telez
John Arledge ...
Dufond
Frederick Worlock ...
Grideau (as Frederic Worlock)
Bernard Nedell ...
Marfeu
Victor Varconi ...
Fisherman



Tiens, en passant, ce film illustre bien ce premier dimanche de l'Avent 2013 !

dimanche 10 mars 2013

Easy Virtue - Alfred Hitchcock - 1928





Isabel Jeans ...
Larita Filton
Franklin Dyall ...
Her Husband
Eric Bransby Williams ...
The Co-respondent
Ian Hunter ...
The Plaintiff's Counsel
Robin Irvine ...
John Whittaker
Violet Farebrother ...
His Mother
Frank Elliott ...
His Father
Dacia Deane ...
His Elder Sister
Dorothy Boyd ...
His Younger Sister
Enid Stamp-Taylor ...
Sarah (as Enid Stamp Taylor)

80 minutes

Le passé ne meurt pas
d'après une pièce de Noel Coward


Larita Filton pose pour un jeune peintre talentueux. Jaloux son mari veille en buvant plus que de raison. Il moleste sa femme ce qui pousse Claude, le peintre, à déclarer sa flamme à Larita. Lorsque le mari furieux découvre que les deux jeunes gens se rapprochent il menace le peintre qui sort un revolver et tire, blessant gravement le mari. Durant le procès Larita est accusé d'avoir poussé les deux hommes à s'affronter et le divorce est prononcé.
Pour oublier et se faire oublier Larita se rend dans le sud de la France où elle fait la connaissance d'un jeune homme, John Whittaker, qui tombe amoureux d'elle. Elle tente bien de lui expliquer son passé mais John ne veut rien entendre et demande sa main. Larita accepte et le couple s'en retourne en Grande Bretagne pour rencontrer la famille. La mère se montre suspicieuse face à cette femme qu'elle considère comme une aventurière et regrette que son fils n'ait pas épousé la jeune fille qu'elle lui destinait, Sarah.
Le temps passe et Larita se sent délaissée par John qui commence à douter de son choix. Un jour aux courses elle revoit l'avocat de son mari qui se trouve être un ami de la famille. Plus tard la mère trouve un journal qui relate le scandale de l'époque et le divorce. Dès lors elle ne cache plus sa haine et recommande à Larita de ne pas participer à la soirée mondaine donnée à la maison le soir même mais Larita ne l'entend pas de cette oreille ...



Le début est plutôt long à se mettre en place et forcément on a de la peine à se laisser prendre par l'action. La trame est plutôt mince et finalement le plus intéressant du film se passe dans la deuxième moitié du temps. Une chose ne m'a pas parue claire, il semble que le peintre se tue mais ce n'est pas très explicite.
Isabel Jeans se montre plutôt sophistiquée, au départ on la sent distante et elle n'attire pas spécialement la sympathique. Petit à petit on comprend que l'opinion est injuste même si il est bien clair qu'elle aurait du parler à son mari de son passé. John Whittaker aussitôt de retour chez lui subit l'influence de la mère qui se montre assez mesquine et hypocrite. Seuls le père et Sarah gardent la tête froide et témoignent de l'amitié à Larita.
La scène du bal est particulièrement bien faite, Larita décide d'assumer jusqu'au bout et on a plaisir à revoir Ian Hunter qui apparait peu dans le film. Pendant un moment on imagine même qu'il éprouve une certaine tendresse pour la jeune femme.

A la fin aux journalistes qui l'attendent devant le tribunal elle aura ces paroles terribles : "Shoot there is nothing left to kill ..."
C'est la deuxième brève apparition d'Alfred Hitchcock que l'on voit passe sur le court de tennis vers la 20e minutes. (La première était dans the Lodger 1927)
On peut voir ce film sur le net facilement, par contre je pense que la version visionnée est partiellement tronquée.


lundi 31 janvier 2011

Downhill - Alfred Hitchcock - 1927



autre titre anglais : When Boys Leave Home
Autre titre français ? : La pente

Ivor Novello ...
Roddy Berwick
Robin Irvine ...
Tim Wakely
Isabel Jeans ...
Julia
Ian Hunter ...
Archie
Norman McKinnel ...
Sir Thomas Berwick
Annette Benson ...
Mabel
Sybil Rhoda ...
Sybil Wakely
Lilian Braithwaite ...
Lady Berwick
Violet Farebrother ...
The Poet
Ben Webster ...
Dr. Dawson
Hannah Jones ...
The Dressmaker
Jerrold Robertshaw ...
Rev. Henry Wakely
Barbara Gott ...
Madame Michet
Alf Goddard ...
The Swede
J. Nelson ...
Hibbert


80 minutes

Roddy, un jeune étudiant d'une famille aisée connaît le succès dans son école. Nommé capitaine de son équipe, il fait la fierté de son père. Un jour il accompagne son ami Tim chez la serveuse d'un petit magasin. Les deux garçons dansent avec elle, Tim se retrouve dans l'arrière salle pendant que Roddy sert un jeune client et appuie malencontreusement sur la caisse enregistreuse qui indique une livre à payer. Peu de temps après, Roddy et Tim sont appelés devant le principal. La jeune serveuse a porté plainte contre l'un des deux garçons : elle ne tarde pas à  injustement désigner Roddy comme coupable. Celui-ci est renvoyé de l'école. Roddy promet à Tim (paniqué à l'idée que son père apprenne l'histoire) de ne jamais révéler la vérité. De retour à la maison, son père refuse de l'écouter et le traite de menteur. Roddy quitte alors la maison ....




Un film à l'atmosphère étrange qui débute dans l'allégresse. Ensuite c'est la longue descente de Roddy toujours plus bas. Grâce à des plans le montrant tout seul, on descend les escalators du métro, puis on descend encore des escaliers ... Roddy se retrouve travaillant dans le music-hall, il tombe amoureux de l'actrice principale qui l'épouse pour l'argent qu'il vient d'hériter de sa marraine. Victime des apparences, il comprend que sa femme ne l'aime pas lorsqu'il se retrouve endetté et avec un autre homme sous son toit. Ensuite il fuit vers la France et devient danseur pour 50 francs auprès de femmes esseulées. La patronne pousse à la consommation, et on voit le pauvre Roddy les yeux éteints, dansant sans répit pour gagner sa vie. Il se retrouve un soir en face d'une femme qui a tout d'un homme et ouvre les yeux dans un décors de fin de nuit aux relents glauques. A la lumière du jour naissant, il voit les épaves qui l'entourent et quitte ce travail malsain pour se retrouver à Marseille, délirant. Une mulâtre le confie à deux marins qui se chargent de le ramener à Londres dans l'espoir de toucher une récompense. Roddy, toujours délirant et faible s'enfuit du bateau et erre dans les rues de Londres. Heureusement, son "blind instinct" le ramène à la maison ...




Les plans sont très évocateurs, la descente est physiquement perceptible et Ivor incarne parfaitement ce Roddy tout d'abord enfantin qui demande lorsqu'il est renvoyé de l'école si alors il ne pourra plus jouer dans l'équipe de foot ?
Beaucoup de scènes qui n'aboutissent à rien, mais qui créent l'ambiance. La scène où Roddy danse et réalise tout à coup dans quel milieu il erre, les scènes de superposition de visages dans son délire, ou la scène ou l'on est Roddy et que les rues de Londres sont floues et que tout bouge, comme si on se sentait mal. 
La fin est toutefois un peu abrupte : en effet, Roddy retourne chez lui, son père lui demande de lui pardonner car il a appris la vérité (on ne sait pas comment), et Roddy se retrouve jouant au sein de l'équipe de foot comme si le temps s'était arrêté, alors qu'on a l'impression que ses aventures ont pris plusieurs années ...

J'aurais apprécier une confrontation entre Tim et Roddy, et une fin plus "logique" ...
Dans tous les cas, ce film est excellent, à recommander.













vendredi 31 décembre 2010

Ring (The) - Alfred Hitchcock - 1927


Carl Brisson ...
'One-Round' Jack Sander
Lillian Hall-Davis ...
The Girl (as Lilian Hall Davis)
Ian Hunter ...
Bob Corby
Forrester Harvey ...
The Promoter
Harry Terry ...
The Showman
Gordon Harker ...
Jack's Trainer

82 minutes

"One-round" Jack Sander (Carl Brisson) est un boxeur de foire. Ses adversaires sont des badauds pas trop enthousiasmés à l'idée de se faire boxer sans façon. Un jour, un passant fait la cour à Nellie (Hall-Davis), sa fiancée qui tient la caisse d'entrée. Celui-ci accepte le combat un peu pour les beaux yeux de Nellie et met KO Jack, à la grande surprise de ses amis mais au grand profit de la caisse centrale. Il s'avère que son adversaire, Bob Corby (Ian Hunter) est un boxeur professionnel qui cherche un partenaire. Avec le gain obtenu à la foire, il offre un bracelet à Nellie qui lui fait les yeux doux. Peu après, Jack est engagé et à sa première victoire, il épouse Nellie. Mais celle-ci ne cesse pas de voir Bob, le champion invaincu ...



Ce film a été réalisé par Alfred Hitchcock juste après The Lodger : a Story of the London Fog avec Ivor Novello et a été un succès. On y trouve des scènes très originales, avec des plans et des angles de prise de vue parfaitement maîtrisés et cadrés. Le combat de boxe contre la caméra, la perte et la reprise de conscience vues en direct comme si on y était ! Carl Brisson, danois, était  précédemment lui-même boxeur professionnel. Il incarne avec beaucoup de conviction un Jack un peu naïf mais très amoureux de Nellie. On le voit observer douloureusement et à de nombreuses reprises les deux amants qui s'affichent sans complexe. Pour reconquérir Nellie, il lui faudra affronter de nombreux autres adversaires. La scène où il voit Nellie du côté de Bob est particulièrement terrible car il perd tous ses moyens ... bref on ne peut s'empêcher de souhaiter sa victoire, même si Ian Hunter incarne un adversaire invaincu avec un certain panache . ..Lillian Hall-Davis incarne à merveille cette jeune fille attirée par le champion en titre. Très peu d'intertitres, qui auraient été superflus, et une musique d'accompagnement parfaite complètent ce film à voir !

Tiré du coffret The Early Hitchcock Collection qui comprend certaines des premières oeuvres d'Hitchcock, 9 films. La qualité de l'image et le son sont parfaits.








Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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