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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 2 novembre 2016

Going Straight - Chester M. Franklin, Sidney Franklin - 1916



John Higgins et sa femme Grace sont à la tête d'un gang en compagnie de leur bras droit Briggs. Grace est femme de chambre dans une riche famille et le gang prévoit de cambrioler la maison avec son aide.
Le larcin commis, les deux hommes poursuivis réussissent à rejoindre leur repère mais un policier les a suivi des yeux. Bientôt une descente est organisée : après une baston générale le gang et leurs chefs sont arrêtés tandis que Grace réussit à prendre la fuite. Personne ne la dénonce.
3 ans plus tard son mari sort de prison et retrouve sa femme. Un enfant lui est né durant ses années sous les verrous. Il prend le nom de Remington, monte sa propre affaire et file sur le droit chemin. Le couple a maintenant 3 enfants et la vie leur sourit.
De son côté Briggs vit en marge de la loi et utilise un petit garçon nommé Jimmy pour ses larcins. Le soir ils vont dormir dans un refuge.
Un jour dans un café Briggs aperçoit Remington venu faire des affaires dans le quartier de East Side. Remington lui remet de l'argent pour lui permettre de changer de vie mais Briggs n'a pas l'intention de modifier quoi que ce soit à ce sujet. Au contraire il décide de faire chanter Remington avec l'aide de Jimmy. Remington lui remet de l'argent mais les choses se corsent après qu'il refuse de payer le maître chanteur. Celui-ci lui demande alors de l'aider à percer un coffre fort, en échange de quoi il ne dénoncera pas Grace qui n'a pas purgé sa peine comme les autres ...



George Stone, Eugene Pallette
Un chouette film de gangsters qui est bien monté. On ne s'ennuie pas une seconde même si le scénario est très prévisible. Le petit Georgie Stone est un acteur né, il se montre très touchant en particulier dans la scène où il se rend pour la nuit à l'armée du salut et choisit de s'étendre sur un chien au milieu des corps déjà couchés à même le sol.

Eugène Pallette dont les yeux bleus sont reconnaissables est encore bien jeune et tout mince. Norma Talamdge a tout juste 20 ans.

Les enfant sont très présents et apportent beaucoup de fraicheur à ce film que l'on peut voir sur la toile.

60 minutes




Norma Talmadge ...
Grace Remington
Ralph Lewis ...
John Remington
Ninon Fovieri ...
Remingtons' Child
Francis Carpenter ...
Remingtons' Child
Fern Collier ...
Remingtons' Child
Ruth Handforth ...
Maid
Eugene Pallette ...
Jimmy Briggs
Georgie Stone ...
Ragged Waif- Jimmy
Kate Toncray ...
Mrs. Van Dyke
'Baby' Carmen De Rue ...
Mrs. Van Dyke's Child
Violet Radcliffe ...
Mrs. Van Dyke's Child

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mercredi 23 décembre 2015

The Block Signal - Frank O'Connor - 1926




A Winona les trains s'arrêtent non seulement pour faire le plein d'eau mais aussi pour voir la jolie opératrice, Grace Ryan. Le père de Grace, Joe Ryan, est le fier conducteur de "Old Betsy" la vieille loco qu'il conduit depuis de très nombreuses années. 
Le brave homme passe ses soirées à jouer au Pinochle avec son vieil ami Rosen tandis qu'un jeune homme ambitieux, Bert Steele vient rendre visite à sa fille. Bert compte bien épouser Grace mais il espère être promu comme conducteur de loco avant de faire sa demande. Lorsqu'il devient trop pressant, Grace le repousse gentiment. Au cour d'une visite, Bert comprend que Joe est daltonien.
Lorsque la charmante Grace fait la connaissance d'un prometteur jeune ingénieur, Jack Milford, Bert est terriblement jaloux. Un soir alors que le collègue de Joe chargé de la chaufferie est malade Bert se propose de le remplacer.
Lorsque Joe lui demande la couleur du signal, Bert ment et c'est le crash. Joe est démis de ses fonctions et désormais obtient un poste de signaleur à terre. Bert est maintenant conducteur de locomotive et Joe passe son temps à mettre au point un système de freinage d'urgence. Ses amis Jack et Rosen l'aident à développer son projet.
Un jour Bert devient fou et se bat contre l'homme chargé de la chaufferie. Pendant que les deux hommes s'affrontent le train fonce à toute vitesse en direction de l'express no 2 ...

George Chesebro



Un film qui ravira les amateurs de vieilles locomotives et qui n'a pas d'autre ambition que de glorifier les hommes du train. La jolie Jean Arthur est toute jeune encore.
On trouve ce film chez Oldies, la copie est passable, sans plus.

53 minutes

Ralph Lewis ...
'Jovial Joe' Ryan
Jean Arthur ...
Grace Ryan
Hugh Allan ...
Jack Milford
George Chesebro ...
Bert Steele (as George Cheeseboro)
Sidney Franklin ...
'Roadhouse' Rosen
Leon Holmes ...
'Unhandy' Andy
Missouri Royer ...
Jim Brennan

mardi 10 septembre 2013

The Conquering Power - Rex Ingram - 1921




Alice Terry ...
Eugenie Grandet
Rudolph Valentino ...
Charles Grandet
Ralph Lewis ...
Pere Grandet
Carrie Daumery ...
Mere Grandet (as Edna Demaurey)
Bridgetta Clark ...
Madame des Grassins
Mark Fenton ...
Monsieur des Grassins
Ward Wing ...
Adolphe des Grassins
Eric Mayne ...
Victor Grandet
Edward Connelly ...
Notary Cruchot
George Atkinson ...
Bonfons Cruchot
Willard Lee Hall ...
Abbé Cruchot
Mary Hearn ...
Nanon
Eugene Pouyet ...
Cornoiller
Andrée Tourneur ...
Annette

89 minutes

Titre français : Eugénie Grandet (D'après l'oeuvre de Honoré de Blazac)


En l'absence de son père, Charles Grandet donne une soirée excentrique pour fêter ses 27 ans. Très amoureux de Annette, il ne voit pas que celle-ci n'a aucun scrupule à se faire embrasser derrière son dos. Contre toute attente son père Victor revient à la maison et demande à voir son fils qui se réjouit de son retour. Victor Grandet cache à son fils qu'il est ruiné mais l'envoie retrouver son oncle qu'il n'a pas revu depuis de nombreuses années.

Accompagné d'un chauffeur, d'un valet de pieds et de son caniche, Charles arrive à Noyant où il est surpris d'apprendre que son oncle, pourtant richissime, vit en ville dans une maison d'aspect tout à fait quelconque bien que le château surplombant la ville lui appartienne. Maladivement radin et dur, le père Grandet vit en effet avec sa fille Eugénie et sa femme. Pour le service les Grandet n'ont qu'un servante, Nanon. 
Contrairement aux usages imposés par son oncle, Charles sonne à l'entrée principale alors que toute une cour d'intéressés est présente à l'occasion de l'anniversaire d'Eugénie, à laquelle son père vient d'offrir un louis d'or par année d’existence.
En lisant la lettre de son frère apportée par Charles, il apprend la ruine de Victor qui lui confie son fils en lui annonçant son suicide prochain. En effet, le journal relate le lendemain le suicide de Victor Grandet au grand désespoir de Charles, effondré. Eugénie le console de son mieux et tombe amoureuse du jeune homme. Petit à petit Charles succombe lui-aussi à Eugénie ce qui n'est pas au goût du père qui décide alors de l'envoyer à la Martinique.
Avant de se quitter les deux jeunes gens échangent des promesses et décident de s'écrire. Malheureusement le père intercepte les lettres de Charles auquel il annonce le mariage de sa fille ...



L'histoire est joliment contée à "notre" époque car l'audience n'aime pas les films costumés selon le premier intertitre !
On ne peut que suivre avec intérêt les trois magnifiques acteurs principaux. Alice Terry et Rudolph Valentino se montrent plus d'une fois très touchants, et Ralph Lewis excelle dans ce rôle d'homme obnubilé par l'or et la fortune qui perd pied avec la réalité petit à petit. Les prétendants au mariage et leurs familles ont tous des visages de rapaces (Les Des Grassins et les Cruchots) et sont tous plus intéressés les uns que les autres. Bien sûr face à tous les autres protagonistes, Eugénie et Charles incarnent de fort belle manière l'innocence, la droiture ... et la beauté !
Quelques scènes valent le détour : celle où Charles retrouve son père, celle où il apprend sa mort, l'arrivée à Noyant, la rencontre avec Eugénie, la scène dans laquelle Eugénie trouve Charles endormi sur une chaise dans sa chambre,  etc, sans parler de la scène finale du Père Grandet !

La femme de Rex Ingram, Alice Terry fait passer beaucoup d'émotions et délivre une très jolie performance.
Rudolph Valentino se montre très intense et sobre, dommage que ce soit son dernier film tourné sous la direction de Rex Ingram qui finit par le pousser à quitter la Metro Pictures pour mésentente : Il lui a fourni de bien jolis scenarii jusqu'ici, ce film y compris ! Par la suite Valentino sera remplacé par Ramon Novarro dans Le prisonnier de Zenda, Where the Pavement Ends, Scaramouche, et The Arab.

Un film à voir, certainement.














lundi 8 octobre 2012

Dante's Inferno - Henry Otto - 1924




Ralph Lewis ...
Mortimer Judd
Winifred Landis ...
Mrs. Judd
William Scott ...
Ernest Judd
Pauline Starke ...
Nurse Marjorie Vernon
Josef Swickard ...
Eugene Craig
Gloria Grey ...
Mildred Craig
Lorimer Johnston ...
The Doctor
Lawson Butt ...
Dante
Howard Gaye ...
Virgil

53 minutes
Selon la Divine Comédie de Dante, l'enfer.

Mortimer Judd déjà immensément riche est sur le point de s'enrichir encore davantage. Le chemin qu'il s'est tracé ne lui permet de donner aucune aide ou de ressentir aucune pitié envers quiconque, pas même à sa femme malade ou son propre fils.
Une délégation de locataires de l'un de ses immeubles vient le trouver pour essayer d'obtenir une installation anti-feu dans un immeuble en décrépitude. Mortimer les jette dehors sans façon malgré que son fils tente de lui faire voir la vétusté de l'immeuble.
Un de ses voisins sur le point de perdre sa fortune par sa faute l'implore de l'aider avant le lendemain. Mortimer refuse abruptement. Le voisin, Craig, lui fait alors apporter le livre de Dante et Mortimer l'ouvre. Sûr de lui il découvre les descriptions des punitions infligées par les démons dans les entrailles de l'enfer. Portée par le livre son imagination lui fait voir l'enfer que Dante décrit en racontant son périple dans les limbes qui l'emmènent hors des chemins battus au centre de la terre. Un démon ne tarde pas à apparaitre ...

Ernest écoute de l'opéra (image sortant du phonographe !)


En quelques tableaux ciblant des personnes ayant commis de "mauvaises" actions le réalisateur semble vouloir nous persuader d'éviter la voie du "mal". A voir les démons représentés dans ce film nul doute que ce film soit convaincant et très incitatif pour rester dans le droit chemin ! 
Ce genre de représentation moralisatrice ne développe pas de choix face à des options données sans jugement de valeur au départ. D'ailleurs dans le fond si l'on croit à une vie éternelle on tente déjà (?) de penser à plus long terme en assumant les conséquences de nos actes, ou bien on s'en f. et dans ce cas ce film ne peut rien pour nous, non ?
Dans le cas qui nous intéresse on fait passer le message que Mortimer va changer sa façon d'être et de faire grâce au réveil de sa conscience, inspirée par le livre de Dante. J'imagine que cela est possible...

Une partie du film met en images la vie d'une famille dirigée par un père tyrannique et impitoyable sans considération pour ses proches qu'il dénigre méchamment. On oscille entre ce monde et l'enfer, dans lequel on passe de salle en salle tout en découvrant les sévices infligés aux esprits qui auraient quitté le droit chemin.

Les images du film visionné sont plutôt floues et ne permettent pas de lire tous les intertitres, surtout ceux du début. Teinté le film m'a paru poétique tout en étant assez naïf. Je crois m'être laissée porter par l’allégorie des scènes tournées en enfer à la fois terribles et belles, par le côté grandiose et très détaillé de ces tableaux décrivant l'enfer tel qu'il est perçu par les hommes de notre civilisation depuis fort longtemps.
Ainsi celui qui aura gaspillé se retrouvera-t-il avec celui qui aura amassé et on comprend donc que la voie "juste" est celle du milieu, soit la tempérance (comment diable classe-t-on la générosité ou l’économie alors ?).
Comme ce film est quand même proche d'une représentation chrétienne, il serait intéressant d'entendre d'autres sons de cloches. Le thème est bien sûr universel mais les notions de bien et de mal méritent certainement un peu plus de finesse suivant les contextes.
Ce film est donc toujours d'actualité si l'on croit que nos actes ont une portée qui nous suivra au-delà de ce monde.
Je parle bien sûr du film et non de la Divine Comédie. Si le livre vous intéresse vous trouverez de nombreux commentaires sur le net sans difficulté.

La musique d'accompagnement du film vu est celle de la série télévisée du Fugitif avec Davis Janssen (musique qui passe plutôt bien d'ailleurs).
Partiellement teinté
Comme je n'ai rien trouvé sur la toile, je rajoute quelques photos histoire d'agrémenter le sujet.

Mortimer

Virgile et Dante
et un portait de William Scott (qu'il est aussi plutôt difficile de trouver en photo)

William Scott
W. Landis (assise devant) P. Starke (nurse) R. Lewis et W. Scott
Un démon veille sur Mortimer ...


jeudi 22 septembre 2011

Hoodlum (The) - Sidney Franklin - 1919



Mary Pickford ...
Amy Burke
Ralph Lewis ...
Alexander Guthrie
Kenneth Harlan ...
John Graham
T.D. Crittenden ...
John Burke (as Dwight Crittendon)
Aggie Herring ...
Nora
Andrew Arbuckle ...
Pat O'Shaughnessy
Max Davidson ...
Abram Isaacs
Paul Mullen ...
The Pugilist
Buddy Messinger ...
Dish Lowry (as Buddie Messenger)

78 minutes
Autre titre : The Ragamuffin (UK)

Alexander Guthrie (Lewis) est un homme d'un certain âge richissime et dur. La compassion n'est pas son fort et tirer les ficelles de la ville locale ne lui pose pas de problème de conscience particulier. Il ne peut rien refuser à sa petite fille, Amy (Pickford), une jeune fille gâtée et insupportable qui crise à la moindre contrariété. Lorsque son grand-père lui propose un voyage en Europe elle décide de rester avec son père, un éminent sociologue qui a établi son quartier général dans une rue populaire pour étudier les mœurs locales et écrire un livre. C'est le choc, Amy est horrifiée de découvrir la plèbe et rechigne à sortir. Un jour elle fait la connaissance de son voisin (Harlan) d'en face qui se sert d'un de leurs linges mis à sécher pour s’essuyer le visage. Peu après son père lui conseille de se faire des amis de ces gens plutôt que de les traiter de haut, et Amy opère des changements radicaux pour découvrir ce monde ...



Un film dans lequel les animaux et en particulier les chats n'ont pas le beau rôle, et c'est quand même navrant. Le film se laisse suivre, Mary Pickford campe toujours un peu de la même manière ce genre de jeune fille, mais ce n'est pas franchement une critique. Je veux plutôt dire qu'on n'est pas surpris par le style donné à ce film dont l'action tourne principalement autour d'elle. Kenneth Harlan est charmant comme toujours mais apparait finalement assez peu dans l'histoire. C'est sensé être une comédie, mais je trouve que ce classement ne convient pas vraiment non plus.
Une magnifique scène jouée par Aggie Herring dans le rôle de Nora, la gouvernante de l'appartement, qui prend Amy dans ses bras alors qu'elle revient mouillée et apeurée après qu'elle se soit perdue. Aggie Herring est superbe de douceur à ce moment là !


Il est indéniable que les films de Mary Pickford bénéficient tous d'une attention particulière : restauration soignée et accompagnement musical particulier composé pour la circonstance. Évidemment cela facilite le visionnement de ses films mais je souhaiterais que d'autres films aient l'opportunité de subir le même traitement !









Quelques captures d'écran :

Jolie vue sur le voisin !





Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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