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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mardi 18 septembre 2012

A Lady of Chance - Robert Z. Leonard - 1928



Norma Shearer ...
Angel Face Crandall
Lowell Sherman ...
'Brad'
Gwen Lee ...
Gwen
Johnny Mack Brown ...
Steve Crandall (as John Mack Brown)
Eugenie Besserer ...
'Ma' Crandall
Buddy Messinger ...
Hank Crandall (as Buddie Messinger)

78 minutes

Dolly Crandall (Shearer) surnommée "Angel Face" travaille dans un hotel chic en tant qu'opératrice des téléphones ce qui lui permet de repérer facilement des proies masculines qu'elle va escroquer grâce à ses allures angéliques. Pour ce faire elle utilise tous ses charmes et n'hésite pas à manipuler ses victimes en inventant des histoires tristes et en versant de grosses larmes. Un couple d'escrocs Brad (Sherman) et Gwen (Lee) la reconnaissent et s'arrangent pour s'inclure dans le coup monté par Dolly. Brad se fait passer pour son mari et réussit à extorquer une grosse somme d'argent à un millionnaire naïf qui finit par se rendre compte qu'il s'est fait arnaquer et dénonce la jeune fille à la police qui n'a aucune peine à l'identifier rapidement.
Dolly récupère l'argent que Brad et Gwen tentent de garder pour eux et se rend à une convention sur le ciment dans un hôtel. Dans l'ascenseur elle se méprend sur les paroles de Steve Crandall (Mack Brown) qu'elle croit riche et qu'elle tient dès lors dans son collimateur. Lorsque Steve lui propose le mariage elle croit avoir atteint le sommet mais déchante vite lorsqu'elle arrive dans la ville natale du jeune homme, voit la maison familiale et rencontre sa mère et son frère ...



Dommage le thème n'était pas mauvais mais une certaine lenteur alourdit le film, due surtout au couple d'escrocs interprété par Lowell Sherman et Gwen Lee. Lowell Sherman en fait trop mais par contre Johnny Mack Brown est tout à fait charmant dans le rôle de Steve Crandall, timide et maladroit. Les scènes comportant Norma Shearer et lui sont toutes excellentes, en particulier celle où Dolly fait croire qu'elle s'est foulé la cheville et qu'elle ne peut plus marcher. Steve tente alors de lui ôter ses chaussures bien maladroitement, c'est très drôle (je n'en dis pas plus pour ne pas gâcher le plaisir !). On se demande quand même comment le couple Brad-Gwen finit par toujours retrouver Dolly ...

Norma Shearer papillonne des yeux, pleure sur commande et porte de jolies toilettes. La mauvaise fille qui finit par rencontrer l'amour est une histoire souvent rabâchée ...Le final est donc assez prévisible mais on passe un bon moment d'autant plus que l'image est très nette. On trouve ce film dans la collection Warner Archive.





mardi 14 février 2012

Lilac Time - George Fitzmaurice - 1928


Colleen Moore ...
Jeannine Berthelot
Gary Cooper ...
Capt. Philip Blythe
Burr McIntosh ...
Gen. Blythe
George Cooper ...
Mechanic's Helper
Cleve Moore ...
Capt. Russell (flight commander)
Kathryn McGuire ...
Lady Iris Rankin
Eugenie Besserer ...
Madame Berthelot
Emile Chautard ...
The Mayor
Jack Stoney ...
The Kid
Edward Dillon ...
Mike the Mechanic
Dick Grace ...
Aviator
Stuart Knox ...
Aviator
Harlan Hilton ...
Aviator
Richard Jarvis ...
Aviator
Jack Ponder ...
Aviator

90 minutes
Titre français : Ciel de gloire ou Les ailes blessées

En France, de jeunes pilotes britanniques sont stationnés près d'une ferme et utilisent le champ attenant comme terrain d'aviation. Choyés par Madame Berthelot qui est secondée par Jeannie la mascotte de la troupe qui ne rate pas une occasion pour remonter le moral des hommes qui meurent les uns après les autres et qui sont remplacés par d'autres au fur et à mesure. Un nouvel arrivant fait son apparition et manque écraser Jeannie qui se trouve sur la piste déguisée en mécano. Un coup de pied au derrière sert d'introduction au capitaine Philippe Blythe (Cooper) qui va vite se rendre compte que Jeannie est un peu rancunière. Petit à petit Jeannie fond pour le séduisant capitaine et celui-ci est très attiré par Jeannie mais le jour J approche ...



Mouais, j'avoue avoir été déçue et même m'être carrément ennuyée, il ne suffit donc pas de réunir deux acteurs que j'aime en général pourtant beaucoup pour faire un spectacle qui fait vibrer. Une histoire dans le genre de The Big Parade, sauf que le souffle n'est pas le même. Le début part dans les accents comiques avec Colleen Moore qui est un peu le remontant de tous ces jeunes pilotes basés à la ferme. On passe un long moment à la suivre taquiner Gary Cooper et c'est trop long. D'autant plus que sous prétexte d'ajouter de la légèreté on assiste à des actes finalement peu drôles et qui font perdre de la crédibilité au film (tel Jeannie au volant d'un avion qu'elle finira par faire crasher ...). Ou bien il fallait se contenter d'exploiter le créneau comique, ou bien il fallait rester les pieds sur terre : un mélange des deux genres passe plutôt mal à mon avis. Que dire de cette scène où Jeannie retient Philippe qui doit décoller, "reste, reste, ne part pas" qui n'en finit pas ? Le final est complètement disproportionné et tombe dans le patho qui tourne presque à la dérision ; en effet le pauvre Philippe Blythe (recouvert de bandage bien immaculés) aperçoit Jeannie qui s'éloigne le croyant mort; il l'appelle de toutes les pauvres forces qui lui restent, mais Jeannie ne l'entend pas. Plus tard alors qu'elle regarde enfin vers la fenêtre où le pauvre blessé tente d'attirer son attention (en bougeant ses petites mains bandées dans des bandages toujours immaculés) elle crie visiblement son nom plusieurs fois, "Philippe, Philippe, Philippe aaahhh" auquel répond l'écho "Jeannie, Jeannie, Jeannie, aaahhh" et qu'elle court en sa direction. Franchement ça m'a fait penser à cette scène de Singing in the Rain "Philippe" dit d'un air théâtral un peu exagéré et pendant un moment j'ai même eu la vision de Jeannie écrasée par un camion alors qu'elle traversait pour rejoindre Philippe... Bref, je suis navrée de le dire, mais j'ai eu de la peine à prendre le film au sérieux malgré quelques scènes plutôt touchantes mais qui concernaient de près les AUTRES protagonistes (ce qui est un comble !). Bref, pour enfoncer le clou, dans ce film Colleen Moore en fait des tonnes, beaucoup trop, des mimiques la bouche en cul de poule et des grands yeux presque non stop.
Accompagnement à l'orgue par Thérèse Meyer pour la version Critic's Choice Video.


jeudi 17 novembre 2011

Yellow Lily (The) - Alexander Korda - 1928




Billie Dove ...
Judith Peredy
Clive Brook ...
Archduke Alexander
Gustav von Seyffertitz ...
Kinkelin
Marc McDermott ...
Archduke Peter
Nicholas Soussanin ...
Dr. Eugene Peredy
Eugenie Besserer ...
Archduchess
Jane Winton ...
Mademoiselle Julie
Charles Puffy ...
Mayor of Tarna

65 minutes

C'est les vacances à Tarna. Un attroupement se forme au village mais la police ordonne à la population de s'écarter afin de faire place à l’Archiduc Alexandre (Brook) qui passe en traineau. La foule en liesse l'acclame alors qu'il glisse à toute allure dans le village sans un sourire. Parmi les badauds se trouve Judith (Dove) la soeur du médecin local, le Dr Eugene Peredy. L'Archiduc se rend dans son palais mais s'ennuie avec la femme qu'il a choisie pour un temps, une actrice de Buda. Arrogant il fait en sorte qu'elle s'en aille mais celle-ci, fine mouche, fait mine de s'empoisonner et est emmenée chez le docteur. L'archiduc, pas dupe, la suit pour lui faire prendre le train du soir et fait la rencontre de Judith qui l'évite soigneusement, comprenant que l'archiduc est simplement habitué à prendre ce qui lui plait, puis à jeter ce qui ne lui convient pas. L'archiduc comprend qu'il a affaire à une femme différente et organise une soirée au palais pour le peuple, en espérant bien y revoir Judith. En effet, celle-ci se présente avec son frère et le jeune homme a tôt fait d'éloigner le docteur pour tenter d'abuser d'elle. Judith réussit à échapper aux étreintes (il lui susurre en effet au creux de l'oreille les paroles d'une valse intitulée the Yellow Lily) et aux manigances de cet homme sans scrupule qui a plus d'un tour dans son sac : il envoie un de ses hommes pour emmener le docteur au loin soigner un patient qui semble aller au plus mal pour retrouver Judith, maintenant livrée à elle-même dans la maison ....



HHHiiii, on dirait un film d'horreur au stade où je m'arrête. Je vous rassure, ça n'en est pas un ! Clive Brook se montre parfaitement dur, lèvres pincées, snob et arrogant comme son rôle l'exige. On comprend qu'il est épris de Judith/Billie Dove, une jeune femme absolument charmante et très belle mais visiblement son éducation comporte quelques lacunes dans la manière de courtiser aimablement une demoiselle. Il est servi par un homme qui donnerait probablement sa vie pour lui, c'est du moins l'impression qu'il donne, dénommé Kinkelin (von Seyffertitz).
A notre époque, l'archiduc aurait probablement ramassé quelques baffes bien méritées, mais on ne plaisantait pas avec l'étiquette et le rang à cette époque. Il ramasse toutefois du plomb dans l'aile, si j'ose me permettre, mais je n'en dirai pas davantage...
Le réalisateur a bien pris soin de filmer régulièrement Clive Brook de profil.
Un film à voir pour la jolie Billie Dove et si on aime les spectacles un peu kitsch.


jeudi 10 novembre 2011

Anna Christie - John Griffith Wray - 1923


Blanche Sweet ...
Anna Christie
William Russell ...
Matt Burke
George F. Marion ...
Chris Christopherson
Eugenie Besserer ...
Marthy
Ralph Yearsley ...
The Brutal Cousin
Chester Conklin ...
Tommy
George Siegmann ...
Anna's Uncle

96 minutes
D'après une pièce d'Eugene O'Neill


En Suède, Anna, une petite fille joue au bord de l'eau. Sa maman l'observe depuis la maison et reçoit une lettre de cousins émigrés aux USA qui les invitent à les rejoindre. Le père Chris Christopherson est un marin au long cours toujours en voyage. Il souffre de la mer et boit beaucoup.
Quinze ans plus tard on retrouve Chris Capitaine d'une barge de charbon à New York. Il boit toujours autant dans un bar sur le quai et sort avec Marthy (Besserer), une pauvre femme qui vit dans les parages. Un soir il reçoit une lettre lui annonçant l'arrivée de sa fille Anna. Très ému de retrouver sa fille il tente d'évincer Marthy. Un soir, alors que celle-ci boit seule dans la salle réservée aux femmes, une jeune femme (Sweet) fait son apparition et commande un whiskey. Marthy comprend qu'il s'agit d'Anna et commence par lui faire croire que son père est parti en mer mais finit par prendre en pitié la jeune femme qui éprouve une grande haine envers les hommes et lui fait rencontrer son père. Les retrouvailles sont courtes et Chris emmène sa fille sur la barge.  Après quelque temps, lors d'une nuit de fort brouillard, ils recueillent un marin rescapé d'un naufrage nommé Matt Burke (Russell) qu'Anna soigne de son mieux contre l'avis de son père qui fait tout afin d'éloigner Anna. Mais Matt et Anna tombent amoureux et Matt souhaite l'épouser. Anna lutte et finit par raconter son passé ...



Un scénario beaucoup plus sensé que celui du film de 1930 avec Greta Garbo. On comprend le passé d'Anna par petites touches, en paroles et en flash back. L'histoire en elle-même est terriblement mélodramatique ! Blanche Sweet est une très belle femme très expressive qui n'a aucune peine à faire passer ses sentiments. William Russell a une carrure impressionnante. Pas vraiment le genre séducteur mais plutôt le genre qui inspire le respect, en bref, vu son gabarit, le genre de mec qu'on écoute lorsqu'il s'énerve !
George Marion a vraiment la tête de l'emploi et les cousins font franchement peurs. Si on a l'oeil vif on devrait apercevoir Fred Kohler (le mien ne l'a pas été assez !)
Le film est très bien restauré et on le trouve chez Grapevine.


lundi 7 mars 2011

Circle (The) - Frank Borzage - 1925

The Circle


Eleanor Boardman ...
Elizabeth Cheney
Malcolm McGregor ...
Edward "Teddy" Lutton
Alec B. Francis ...
Lord Clive Cheney
Eugenie Besserer ...
Lady Catherine "Kitty" Cheney
George Fawcett ...
Lord Hugh "Hughie" Porteous
Creighton Hale ...
Arnold Cheney
Otto Hoffman ...
Dorker
Eulalie Jensen ...
Mrs. Alice Shenstone
Buddy Smith ...
Young Arnold
Joan Crawford ...
Young Lady Catherine
Frank Braidwood ...
Young Porteous
Derek Glynne ...
Young Cheney

Selon une pièce de Somerset Maugham
60 minutes

En 1890, Lady Catherine est sur le point de quitter son mari et son fils pour s'enfuir avec Hughes Porteous, un "ami" de son mari. Son mari Clive Cheney n'en croit pas ses yeux quand il lit le message qu'elle lui adresse épinglé sur la chemise de nuit de son fils Arnold. 30 ans plus tard, Elisabeth (Boardman) la femme d'Arnold (Creighton Hale) elle-même sur le point de quitter son mari en prévoyant de s'enfuir avec Teddy Lutton (McGregor) son amant, invite Lady Catherine et Lord Porteous au château afin de se rendre compte si l'amour que se portaient les deux amants a tenu dans le temps. En l'absence de son père Clive Cheney (Francis), Arnold, un vieux garçon du genre maniaque et pincé portant le monocle, stresse et angoisse de revoir sa mère après de si nombreuses années. De manière inattendue, Clive revient portant un fusil. Tous les protagonistes sont mal à l'aise et Elisabeth,  sur les genoux de Clive, finit par lui confesser l'arrivée de son ex-femme. Curieusement, Clive se demande comme cette belle femme a pu vieillir. C'est bien sûr la même question que se posent Lady Catherine et Lord Porteous. Tout se passe au mieux à leur arrivée, Lady Catherine est devenue un femme replète et exubérante, Lord Porteous un vieux grognon rhumatismal qui porte un dentier, ce qui ravit Lord Cheney...
Les deux amants se chamaillent passablement ce qui semble décourager Elisabeth, jusqu'au moment où elle les surprend échangeant des souvenirs avec tendresse : elle décide alors de quitter Arnold, mais le père Cheney veille ....



Tout repose sur la question : vaut-il la peine ou non de quitter son mari ?? Ha, ha, vu le ton plutôt sarcastique de ce film et la fin, ce n'est pas sûr. Un film qui dépeint très bien l'univers de cette époque, et les personnages interprétés vous rappellent forcément des personnes que vous connaissez ...
Les mimiques de Creighton Hale sont à voir : lorsqu'il essaie de dérober le fusil de son vieux père, lorsqu'il se demande si sa mère va vouloir l'embrasser après toutes ces années, l'embarras devant sa mère très exubérante qui l'embrasse et lui rappelle sa petite enfance ... et le revirement final, lorsque conseillé par son père, il prend la place du chauffeur de la voiture des deux amants en fuite pour récupérer sa femme ...
Lady Catherine déclare à Lord Porteous qu'"au moins son ex-mari est resté aimable," Lord Porteous répond que "c'est bien normal, car il n'a pas eu de raison de s'aigrir" ! 
Lady Catherine ne peut s'empêcher de pleurer et de s'apitoyer en regardant une ancienne photo d'elle jeune et belle.
Le final est assez surprenant : les deux vieux amis, Porteous et Cheney terminent dans un éclat de rire qui n'en finit pas qui porte à croire que dans le fond une femme en vaut une autre ? Un peu mysogine ce film, dans ce cas, non ?

A relever : 
le 2e rôle de Joan Crawford âgée de 20 ans qui ne sera pas crédité à l'origine par erreur semble-t-il. Eleonor Boardman épousera peu de temps après King Vidor.





Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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