Donald Keith | ... | Hugh Carver | |
Mary Alden | ... | Mrs. Carver | |
Henry B. Walthall | ... | Henry Carver | |
Gilbert Roland | ... | Carl Peters | |
Clara Bow | ... | Cynthia Day | |
David Butler | ... | Coach Henley |
ainsi que de nombreux extras qui deviendront célèbres, parmi lesquels Clarke Gable, Bill Eliott, Janet Gaynor, Carole Lombard
73 minutes
Les parents d'Hugh (Keith) sont des gens respectables. La mère (Alden) lui prépare son sac avec amour et son père (Walthall) vient lui apporter quelques derniers conseils masculins avant son départ pour le College de Prescott où il va entamer sa première année. Hugh est un grand sportif, son père tient à ce qu'il brille à Prescott.
A Prescott, Hugh partage la chambre de Carl Peters (Gilbert), un jeune homme qui semble avoir de nombreuses conquêtes féminines à son actif qui a accroché la photo de chaque fille qu'il a embrassé au moins deux fois. La plus populaire semble être Cynthia Day (Bow) une jolie jeune fille aimant faire la fête.
Lors d'une soirée de bizutage, Hugh est propulsé en chemise de nuit dans le campus des filles. Il fait la connaissance de Cynthia qui lui plait aussitôt. Cynthia de son côté ne semble pas indifférente au jeune homme avec lequel elle commence à sortir. Après le premier semestre les notes d'Hugh sont en nette baisse et il ne fait guère de prouesses en sport, au grand désespoir du coach (Butler) qui misait gros sur ses capacités...
Un film gentil et nunuche qui se passe sur un campus. Les choses ne changent probablement guère, les premiers émois amoureux, la rivalité entre jeunes gens, les premiers pas loin de la maison, les parents qui souhaitent que leurs enfants réussissent. La mère protège son fils et le père se montre sévère. Le monde professoral n'est pas décrit et tout le monde est heureux à la fin grâce à la victoire de l'équipe de Prescott, comme si cela suffisait pour atteindre le bonheur. Mais il est vrai qu'entre temps chacun aura trouvé sa voie et sa place dans la société !
On retrouve tous les clichés qui nous seront rabâchés des décennies plus tard, avec le jeune homme un peu bêbête incarné par Donald Keith, le jeune expérimenté (enfin, un peu plus que le précédent) joué par Gilbert Roland et la jeune fille pas très sage mais qui a le coeur sur la main sous les traits de Clara Bow, toujours aussi attachante et mignonne. Pour elle le film vaut le détour, ou pour Henry B. Walthall ou David Butler (deux acteurs que j'apprécie beaucoup mais qu'on ne voit que quelques minutes), pour le reste on peut passer sans peine.
Un film gentil et nunuche qui se passe sur un campus. Les choses ne changent probablement guère, les premiers émois amoureux, la rivalité entre jeunes gens, les premiers pas loin de la maison, les parents qui souhaitent que leurs enfants réussissent. La mère protège son fils et le père se montre sévère. Le monde professoral n'est pas décrit et tout le monde est heureux à la fin grâce à la victoire de l'équipe de Prescott, comme si cela suffisait pour atteindre le bonheur. Mais il est vrai qu'entre temps chacun aura trouvé sa voie et sa place dans la société !
On retrouve tous les clichés qui nous seront rabâchés des décennies plus tard, avec le jeune homme un peu bêbête incarné par Donald Keith, le jeune expérimenté (enfin, un peu plus que le précédent) joué par Gilbert Roland et la jeune fille pas très sage mais qui a le coeur sur la main sous les traits de Clara Bow, toujours aussi attachante et mignonne. Pour elle le film vaut le détour, ou pour Henry B. Walthall ou David Butler (deux acteurs que j'apprécie beaucoup mais qu'on ne voit que quelques minutes), pour le reste on peut passer sans peine.
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