Isabel Jeans | ... |
Larita Filton
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Franklin Dyall | ... |
Her Husband
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Eric Bransby Williams | ... |
The Co-respondent
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Ian Hunter | ... |
The Plaintiff's Counsel
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Robin Irvine | ... |
John Whittaker
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Violet Farebrother | ... |
His Mother
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Frank Elliott | ... |
His Father
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Dacia Deane | ... |
His Elder Sister
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Dorothy Boyd | ... |
His Younger Sister
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Enid Stamp-Taylor | ... |
Sarah
(as Enid Stamp Taylor)
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80 minutes
Le passé ne meurt pas
d'après une pièce de Noel Coward
Larita Filton pose pour un jeune peintre talentueux. Jaloux son mari veille en buvant plus que de raison. Il moleste sa femme ce qui pousse Claude, le peintre, à déclarer sa flamme à Larita. Lorsque le mari furieux découvre que les deux jeunes gens se rapprochent il menace le peintre qui sort un revolver et tire, blessant gravement le mari. Durant le procès Larita est accusé d'avoir poussé les deux hommes à s'affronter et le divorce est prononcé.
Pour oublier et se faire oublier Larita se rend dans le sud de la France où elle fait la connaissance d'un jeune homme, John Whittaker, qui tombe amoureux d'elle. Elle tente bien de lui expliquer son passé mais John ne veut rien entendre et demande sa main. Larita accepte et le couple s'en retourne en Grande Bretagne pour rencontrer la famille. La mère se montre suspicieuse face à cette femme qu'elle considère comme une aventurière et regrette que son fils n'ait pas épousé la jeune fille qu'elle lui destinait, Sarah.
Le temps passe et Larita se sent délaissée par John qui commence à douter de son choix. Un jour aux courses elle revoit l'avocat de son mari qui se trouve être un ami de la famille. Plus tard la mère trouve un journal qui relate le scandale de l'époque et le divorce. Dès lors elle ne cache plus sa haine et recommande à Larita de ne pas participer à la soirée mondaine donnée à la maison le soir même mais Larita ne l'entend pas de cette oreille ...
Le début est plutôt long à se mettre en place et forcément on a de la peine à se laisser prendre par l'action. La trame est plutôt mince et finalement le plus intéressant du film se passe dans la deuxième moitié du temps. Une chose ne m'a pas parue claire, il semble que le peintre se tue mais ce n'est pas très explicite.
Isabel Jeans se montre plutôt sophistiquée, au départ on la sent distante et elle n'attire pas spécialement la sympathique. Petit à petit on comprend que l'opinion est injuste même si il est bien clair qu'elle aurait du parler à son mari de son passé. John Whittaker aussitôt de retour chez lui subit l'influence de la mère qui se montre assez mesquine et hypocrite. Seuls le père et Sarah gardent la tête froide et témoignent de l'amitié à Larita.
La scène du bal est particulièrement bien faite, Larita décide d'assumer jusqu'au bout et on a plaisir à revoir Ian Hunter qui apparait peu dans le film. Pendant un moment on imagine même qu'il éprouve une certaine tendresse pour la jeune femme.
A la fin aux journalistes qui l'attendent devant le tribunal elle aura ces paroles terribles : "Shoot there is nothing left to kill ..."
C'est la deuxième brève apparition d'Alfred Hitchcock que l'on voit passe sur le court de tennis vers la 20e minutes. (La première était dans the Lodger 1927)
On peut voir ce film sur le net facilement, par contre je pense que la version visionnée est partiellement tronquée.
Le temps passe et Larita se sent délaissée par John qui commence à douter de son choix. Un jour aux courses elle revoit l'avocat de son mari qui se trouve être un ami de la famille. Plus tard la mère trouve un journal qui relate le scandale de l'époque et le divorce. Dès lors elle ne cache plus sa haine et recommande à Larita de ne pas participer à la soirée mondaine donnée à la maison le soir même mais Larita ne l'entend pas de cette oreille ...
Le début est plutôt long à se mettre en place et forcément on a de la peine à se laisser prendre par l'action. La trame est plutôt mince et finalement le plus intéressant du film se passe dans la deuxième moitié du temps. Une chose ne m'a pas parue claire, il semble que le peintre se tue mais ce n'est pas très explicite.
Isabel Jeans se montre plutôt sophistiquée, au départ on la sent distante et elle n'attire pas spécialement la sympathique. Petit à petit on comprend que l'opinion est injuste même si il est bien clair qu'elle aurait du parler à son mari de son passé. John Whittaker aussitôt de retour chez lui subit l'influence de la mère qui se montre assez mesquine et hypocrite. Seuls le père et Sarah gardent la tête froide et témoignent de l'amitié à Larita.
La scène du bal est particulièrement bien faite, Larita décide d'assumer jusqu'au bout et on a plaisir à revoir Ian Hunter qui apparait peu dans le film. Pendant un moment on imagine même qu'il éprouve une certaine tendresse pour la jeune femme.
A la fin aux journalistes qui l'attendent devant le tribunal elle aura ces paroles terribles : "Shoot there is nothing left to kill ..."
C'est la deuxième brève apparition d'Alfred Hitchcock que l'on voit passe sur le court de tennis vers la 20e minutes. (La première était dans the Lodger 1927)
On peut voir ce film sur le net facilement, par contre je pense que la version visionnée est partiellement tronquée.