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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mardi 17 juillet 2012

Smiling Through - Sidney Franklin - 1922


Norma Talmadge ...
Kathleen / Moonyeen
Wyndham Standing ...
John Carteret
Harrison Ford ...
Kenneth Wayne / Jeremiah Wayne
Alec B. Francis ...
Dr. Owen
Glenn Hunter ...
Willie Ainsley
Grace Griswold ...
Ellen
Miriam Battista ...
Little Mary, Moonyeen's Sister
Gene Lockhart ...
Village Rector (as Eugene Lockhart)


96 minutes

En Grande Bretagne, au début du 20e siècle. John Carteret (Standing) est venu chercher, en compagnie de son vieil ami le docteur (Francis), une petite fille prénommée Kathleen qui ressemble beaucoup à une certaine Moonyeen, le grand amour de sa vie. Il voue une haine sans borne à la famille Wayne qu'il juge responsable de son malheur survenu de nombreuses années auparavant.

Quelques années ont passé, Kathleen (Talmadge) est maintenant une belle jeune fille très courtisée au village. Dans le journal local, on peut lire qu'un certain Kenneth Wayne (Ford) revient s'installer définitivement en Grande Bretagne après avoir passé son enfance aux États-Unis. Cette nouvelle met John en colère. Plus tard, au cours d'une soirée dansante, un jeune homme récite le passage d'un livre qu'il compte bien déclamer à Kathleen mais celle-ci ne le prend pas au sérieux tout en s'intéressant à un nouvel arrivant avec lequel elle danse. Les deux jeunes gens font connaissance et semblent se plaire. John est très fâché de découvrir que le jeune homme en question est le fameux Kenneth Wayne de retour au bercail. Il lui interdit de revenir se présenter devant lui mais les deux amoureux continuent à se voir en cachette, avec la complicité du docteur.
Kenneth annonce son départ car la guerre est déclarée. Kathleen arrive tout juste à se rentre à la gare pour lui dire au revoir ...



Une histoire très romantique qui a pour thèmes l'amour, la haine et le sens de la vie. On nous explique que le héros ne peut ressentir l'amour que lui porte son amour défunte car il érige un mur de haine autour de lui.
Un film plein de sagesse plutôt bien monté avec de beaux décors et de beaux costumes, avec une explication en flash back qui survient vers la moitié finale du film lorsque John décide enfin de raconter la raison de cette haine envers les Wayne à sa nièce Kathleen.

Les décors de la scène de mariage entre Moonyeen et John sont juste superbement romantiques. Des fleurs partout, dans le jardin, dans les pièces et aussi sur la calèche et les chevaux blancs qui attendent les jeunes mariés devant la porte d'entrée.

L'histoire est contée sans temps mort et débute dans un grenier où le vieil homme ressasse ses souvenirs, une vieille robe, une partition de musique intitulée Smiling Through qu'il avait offert à Moonyeen le jour de leur mariage qu'il sort d'une malle. Alors qu'il quitte la pièce deux fantômes de femmes arrivent en traversant les murs et regrettent à voie haute cette haine qui empoisonne littéralement la vie de John et qui l'empêche de percevoir l'amour que lui porte Moonyeen. Tout le sens de ce film est là, le reste des images sert à nous le faire comprendre. Quelque part on peut aussi se demander si la haine ne maintient pas aussi en vie puisque le moment venu et sa haine retombée comme un soufflé, John meurt et se retrouve enfin auprès de sa bien aimée.

Norma Talmadge sait très bien faire passer ses sentiments à l'aide d'expressions très soignées et plutôt appuyées. Son regard dans la scène où elle regarde Harrison Ford juste avant d'être interrompue alors  qu'il va la demander en mariage est juste parfait d'intensité. Harrison Ford n'apparait jamais comme une forte personnalité mais plutôt comme un garçon gentil, sans plus. Là il a la chance de pouvoir exploiter un côté sombre avec ce rôle de Jerry Wayne, fou d'amour et ivre. La moustache lui donne une apparence beaucoup plus virile.
Wyndham Standing et Alec B. Francis se chamaillent passablement et ces moments sont sympathiques. Alec B. Francis est un acteur toujours plaisant à regarder. Gene Lockhart dont c'est le premier rôle se montre sautillant très joyeusement dans la scène de la danse où il se retrouve tout à coup sans partenaire semble-t-il.
Ce film présentent quelques similitudes avec The Enchanted Cottage de John S. Robertson, tourné deux ans plus tard en 1924 avec Richard Barthelmess et May McAvoy. Ce film m'avait marqué par la poésie qui s'en dégageait, davantage qu'il ne s'en dégage de ce film. 
A mes yeux la note de 7.8 donnée à ce jour sur IMDB est donc passablement exagérée.







mercredi 7 mars 2012

Beverly of Graustark - Sidney Franklin - 1926



Marion Davies ...
Beverly Calhoun
Antonio Moreno ...
Dantan
Creighton Hale ...
Prince Oscar
Roy D'Arcy ...
General Marlanax
Albert Gran ...
Duke Travina
Paulette Duval ...
Carlotta
Max Barwyn ...
Saranoff
Charles Clary ...
Mr. Calhoun


70 minutes

Une étudiante américaine, Beverly (Davis), apprend que son cousin va devenir Roi de Graustark après avoir été chassé de son pays encore tout bébé. Très excitée la jeune fille quitte le collège pour retrouver le jeune homme, maintenant devenu le Prince Oscar (Hale). Avant de prendre ses fonctions le prince souhaite skier et les deux jeunes gens partent pour les pentes neigeuses. Malheureusement il a un grave accident et ne peut se rendre dans son pays. L'escorte sonne à la porte et la tension monte car si le prince ne retourne pas dans son royaume il perdra sa couronne. Il se trouve qu'alors que l'escorte demande à voir le prince, Beverly sorte de sa chambre et tout le monde la prend pour le prince en tenue de ski. Beverly joue le jeu en attendant qu'Oscar soit remis sur pied. Sur le chemin du retour, Dantan (Moreno), un jeune berger la sauve d'un complot mené par le General Marlanax et Beverly ne peut s'empêcher de tomber amoureuse de Dantan qui décide de servir le prince ...



Les situations cocasses ne manquent pas et Marion Davies s'en donne à coeur joie. Au milieu d'hommes elle souhaiterait redevenir une femme pour se retrouver dans les bras d'Antonio Moreno et use de stratagèmes ingénieux pour y parvenir. Pendant ce temps l'affreux Marlanax complote à l'aide de la belle Carlotta qui tente de séduire le faux prince Oscar. La fin termine sur le rebondissement habituel qui arrange bien les choses. C'est assez amusant et léger, toutes les situations sont exploitées pour montrer la gêne de la pauvre fille dans des scènes qui la placent au milieu d'hommes qui la prennent pour l'un des leurs. Bref, on ne se prend pas la tête, pas plus que les acteurs qui ont l'air de bien s'amuser.
Malheureusement la copie que j'ai vue m'a vrillé les yeux à coups d'éclairs lumineux, aucune bande sonore ne l'accompagnait et je n'ai pas vu trace de la séquence en couleur deux bandes ... Pas extraordinaire en l'état mais plutôt sympathique.


lundi 24 octobre 2011

Forbidden City (The) -Sidney Franklin - 1918




Norma Talmadge ...
San San / Toy
Thomas Meighan ...
John Worden
E. Alyn Warren ...
Wong Li
Michael Rayle ...
Mandarin
L. Rogers Lytton ...
Chinese Emperor
Reid Hamilton ...
Lieutenant Philip Halbert

62 minutes

En Chine, la fille d'un Mandarin San San (Talmadge) est courtisée par un attaché de l'ambassade des Etats Unis, John Worden (Meighan). Les deux se voient en cachette et finissent par se marier secrètement (hum, c'est ce qu'on veut nous faire croire, en tous cas). John annonce son départ pour Shanghai à San San qui aurait bien voulu lui annoncer qu'elle attend un heureux événement mais ne trouve pas le moment adéquat. Plus tard Wong Li, un ami de la famille convainc le Mandarin de donner sa fille à l'Empereur pour emporter ses faveurs. Le Mandarin emmène donc San San et l'Empereur se montre ravi par la jeune fille jusqu'au moment où il réalise qu'elle porte un enfant dans ses bras ...Ô Horreur, scandale, comment a-t-on pu oser lui présenter une jeune femme profanée ! Bref, il s'arrange pour faire poignarder (par ses lanciers) la pauvre San San qui ne rêvait que d'une chose, retrouver son bel occidental qui lui s'en revient à la maison du Mandarin pour récupérer son aimée. Bien sûr tout le monde a perdu la trace du Mandarin et de sa fille. John estime donc que San San est morte ... Mais dans l'ombre le destin veille et la petite Toy (déjà un enfant jouet !) est épargnée par l'Empereur pour marquer le coup. Des années plus tard, Toy est devenue une jeune femme qui se vêt à l'occidentale et qui est confinée dans la Cité Interdite; elle réussit à s'enfuir grâce à l'aide d'un serviteur (on se demande pourquoi il a attendu si longtemps quand même ...)



Au départ tout se présente assez bien, les décors sont jolis et exotiques, mais cette histoire d'amour est assez peu plausible, il faut bien l'avouer. J'aime bien l'idée que le destin veille et je n'ai rien contre, mais là le destin est plus que forcé. Norma Talmadge ne fait pas très chinoise mais est plutôt bien maquillée pour donner le change. Thomas Meighan sert de faire-valoir dans ce film où il a un rôle de potiche (mais rien d'un vase précieux), si j'ose me permettre. Pour les inconditionnels de Norma Talmadge.

On trouve ce film chez Grapevine. Les cartons intertitres sont par contre très beaux.



















jeudi 22 septembre 2011

Hoodlum (The) - Sidney Franklin - 1919



Mary Pickford ...
Amy Burke
Ralph Lewis ...
Alexander Guthrie
Kenneth Harlan ...
John Graham
T.D. Crittenden ...
John Burke (as Dwight Crittendon)
Aggie Herring ...
Nora
Andrew Arbuckle ...
Pat O'Shaughnessy
Max Davidson ...
Abram Isaacs
Paul Mullen ...
The Pugilist
Buddy Messinger ...
Dish Lowry (as Buddie Messenger)

78 minutes
Autre titre : The Ragamuffin (UK)

Alexander Guthrie (Lewis) est un homme d'un certain âge richissime et dur. La compassion n'est pas son fort et tirer les ficelles de la ville locale ne lui pose pas de problème de conscience particulier. Il ne peut rien refuser à sa petite fille, Amy (Pickford), une jeune fille gâtée et insupportable qui crise à la moindre contrariété. Lorsque son grand-père lui propose un voyage en Europe elle décide de rester avec son père, un éminent sociologue qui a établi son quartier général dans une rue populaire pour étudier les mœurs locales et écrire un livre. C'est le choc, Amy est horrifiée de découvrir la plèbe et rechigne à sortir. Un jour elle fait la connaissance de son voisin (Harlan) d'en face qui se sert d'un de leurs linges mis à sécher pour s’essuyer le visage. Peu après son père lui conseille de se faire des amis de ces gens plutôt que de les traiter de haut, et Amy opère des changements radicaux pour découvrir ce monde ...



Un film dans lequel les animaux et en particulier les chats n'ont pas le beau rôle, et c'est quand même navrant. Le film se laisse suivre, Mary Pickford campe toujours un peu de la même manière ce genre de jeune fille, mais ce n'est pas franchement une critique. Je veux plutôt dire qu'on n'est pas surpris par le style donné à ce film dont l'action tourne principalement autour d'elle. Kenneth Harlan est charmant comme toujours mais apparait finalement assez peu dans l'histoire. C'est sensé être une comédie, mais je trouve que ce classement ne convient pas vraiment non plus.
Une magnifique scène jouée par Aggie Herring dans le rôle de Nora, la gouvernante de l'appartement, qui prend Amy dans ses bras alors qu'elle revient mouillée et apeurée après qu'elle se soit perdue. Aggie Herring est superbe de douceur à ce moment là !


Il est indéniable que les films de Mary Pickford bénéficient tous d'une attention particulière : restauration soignée et accompagnement musical particulier composé pour la circonstance. Évidemment cela facilite le visionnement de ses films mais je souhaiterais que d'autres films aient l'opportunité de subir le même traitement !









Quelques captures d'écran :

Jolie vue sur le voisin !





mardi 20 septembre 2011

Primitive Lover (The) - Sidney Franklin - 1922




Constance Talmadge ...
Phyllis Tomley
Harrison Ford ...
Hector Tomley
Kenneth Harlan ...
Donald Wales
Joe Roberts ...
'Roaring' Bill Rivers
Charles Pina ...
Indian Herder
Chief John Big Tree ...
Indian Chief
Mathilde Brundage ...
Mrs. Graham (as Mathilda Brundage)
George C. Pearce ...
Judge Henseed (as George Pierce)
Clyde Benson ...
Attorney

68 minutes
Adaptation de Frances Marion d'après une pièce de Edgar Selwyn.

Un yacht fait naufrage et 4 personnes se retrouvent sur un radeau qui dérive. Lorsque le lait de la chèvre qu'ils ont pris le soin d'embarquer se tarit (mais oui !), alors commencent les ennuis car un marin tente de s'emparer des biscuits et de l'eau. L'un des hommes le jette à l'eau, ne restent alors plus alors qu'un homme grièvement blessé et sa femme, ainsi que l'homme cité précédemment qui déclare que l'eau restant ne suffit que pour deux et que l'un d'eux doit se sacrifier.Comme la femme plaide en la faveur de son mari blessé, l'homme déclare alors noblement vouloir céder sa part, contre une petite faveur, celle d'embrasser la jeune femme avant de se jeter à l'eau ... Après que le mari ait donné son accord et un baiser qui n'en finit pas, l'homme, héroïque se laisse tomber à l'eau. Fin
Ainsi se termine l'histoire dont le titre est The Primitive Lover, le dernier roman en date écrit par un certain Donald Wales, dont Phyllis Tomley (Talmadge) vient tout juste de tourner la dernière page. Il se trouve que Donald (Harlan) est un ancien petit ami qui a disparu au cours d'une partie de chasse dans la jungle. Depuis Phyllis a épousé Hector Tomley (Ford), un homme qu'elle trouve froid et peu démonstratif; émue elle pense à Donald qui justement réapparait, avouant que sa mort était un coup publicitaire monté de toute pièce pour promouvoir son dernier livre. Il ajoute que son vieil ami Hector était au courant. Ignorant qu'Hector et Phyllis sont maintenant mariés, il embrasse vigoureusement la jeune femme quelque peu confuse ce qui pousse Hector, pensant à tort que c'est ce qu'elle souhaite, à lui rendre sa liberté. Phyllis, bien qu'amoureuse d'Hector qui ne montre toujours pas ses sentiments, se rend donc au Nevada demander le divorce. Hector surprend Donald qui susurre des mots d'amour à Phyllis tout en faisant miroiter des aventures qui la font rêver. Dépité et alors qu'il jette le livre de Wales par la fenêtre, il atteint une indienne qui reçoit en prime des baffes de son compagnon, un indien qui explique que les femmes apprécient les hommes forts. Aussitôt germe dans la tête d'Hector un plan pour récupérer Phyllis ...



J'ai quand même bien souri, je l'avoue. Bien sûr l'histoire est un peu tirée par les cheveux, mais c'est plutôt amusant de voir ces vieux principes machos développés de cette manière. Évidemment Phyllis représente la femme qui rêve d'un homme fort, et il lui faudra toute la ruse d'Hector pour qu'enfin elle voit clair en elle. De même Hector ne peut rester un somnambule toute sa vie (sic) et va agir aux dépends du pauvre Donald qui lui vit carrément dans un autre monde : les belles théories de celui-ci tombent à l'eau et il est très vite démasqué lorsqu'il est confronté à la réalité, qu'il s'agisse de faire du feu, de défendre ou de nourrir sa belle !
C'est donc l'histoire de trois personnes qui se font des scénarios et qui évidemment ont bien de la peine à se retrouver eux-mêmes ! A voir pour mettre un visage sur Harrison Ford (celui-ci, pas l'autre !), Constance Talmadge et ses mimiques expressives, le très séduisant et fabulateur Kenneth Harlan et le Chief John Big Tree pour ses théories efficaces (du moins dans ce film !).
Unknown Video : accompagnement musical à l'orgue par Bob Vaughn.




Harrison Ford (pas l'autre)

Quelques captures d'écran :

Une situation tragique qui demande un noble dénouement !
Le fameux baiser qui n'en finit pas ...

Une citrouille ... et non un indien menaçant ?

La tentation passe aussi par l'estomac !


dimanche 18 septembre 2011

Safety Curtain (The) - Sidney Franklin - 1918



Norma Talmadge ...
Puck
Eugene O'Brien ...
Captain Merryon
Anders Randolf ...
Vulcan (as Anders Randolph)
Gladden James ...
Sylvester
Lillian Hall ...
Ballet Girl

60 minutes

Puck (Talmadge) travaille dans un music hall en tant que danseuse sous la contrainte de Vulcan (Randolf) un homme qui l'a enlevée alors qu'elle n'était encore qu'une enfant et qu'il a pris pour femme. Lui même est l'un des clous du spectacle dans lequel il est présenté comme l'homme le plus fort du monde et il soulève des altères. Un jour, Puck surprend Vulcan avec une petite danseuse et Vulcan, fâché de voir le Monsieur Loyal lui tourner autour, lui administre une méchante raclée. Le spectacle continue, fatiguée Puck doit danser malgré tout. Parmi les spectateurs se trouve le Capitaine Merryon, un jeune homme stationné en Inde en permission en Grande Bretagne. Quand soudain la scène prend feu, c'est la panique, les spectateurs sont affolés et s'enfuient de tous les côtés et Puck, qui a eu la présence d'esprit de faire descendre le rideau de sécurité, est coincée et aveuglée par la fumée. Heureusement Merryon saute sur la scène et sauve Puck qu'il emmène chez lui. Plus tard, en lisant le journal, le nom de Vulcan ainsi que celui de Puck apparaissent dans la liste des personnes disparues ou tuées dans le sinistre. Merryon propose à Puck de la ramener pour rassurer ses amis et sa famille mais celle-ci lui avoue être seule au monde. Merryon, seul lui aussi lui propose alors de l'épouser et de le suivre en Inde. Commencent alors enfin des années de bonheur, mais le destin veille ...






Un film sans temps mort vraiment plaisant. Un concentré de bonnes choses et de bons acteurs expressifs. L'image est bien restaurée et la musique du genre orgue traditionnel accompagne le tout.
Anders Randolf est danois de naissance et possède une sacrée stature : une masse imposante pour un acteur qui compte de nombreux films à son actif.
A voir pour Norma Talmadge, Eugene O'Brien et l'ambiance des Indes et des musical halls de l'époque !


Billikens : j'ai cru que c'était un prénom tout d'abord, mais non, il s'agit d'une figure porte bonheur très en vogue à l'époque !


Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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