Rose vit avec Toni et vend des fleurs le soir à l'entrée d'une boîte de nuit. Aux petites heures du matin elle s'y trouve encore, dans l'espoir de gagner encore quelques piécettes sous les yeux du jaloux Toni qui attend tel un vautour de s'emparer du peu d'argent qu'elle récoltera.
Un soir un banquier emmène Rose dans sa belle voiture et la garde auprès de lui. Toni est évincé mais surveille sa belle de loin. Celle-ci se plait dans cette nouvelle vie de luxe.
Quelque temps plus tard, le banquier annonce la visite de son neveu, le baron Edgar Stein qui devrait se présenter durant son absence. Dès son arrivée, celui-ci reconnait la petite vendeuse de fleurs et l'emmène dans la même boite de nuit où les deux jeunes gens se bécotent allégrement durant une bonne partie de la nuit. De son côté le banquier décide de revenir plus tôt que prévu.
Quelque temps plus tard, le banquier annonce la visite de son neveu, le baron Edgar Stein qui devrait se présenter durant son absence. Dès son arrivée, celui-ci reconnait la petite vendeuse de fleurs et l'emmène dans la même boite de nuit où les deux jeunes gens se bécotent allégrement durant une bonne partie de la nuit. De son côté le banquier décide de revenir plus tôt que prévu.
Au petit jour, Toni attend Rose devant la riche propriété dans laquelle il pénètre alors que Rose compte se coucher, épuisée après sa nuit de folies avec Edgar. Toni ayant besoin d'argent, il décide de cambrioler la maison et force Rose à lui montrer où se trouvent les valeurs mais tous deux sont surpris par le banquier qui est abattu par l'affreux bonhomme.
Du coup Rose n'a pas d'autre choix que de suivre son mari et le couple s’installe dans une cabane de montagne où Toni peut faire de la contrebande pendant que Rose détourne les douaniers grâce à ses charmes.
Apprenant que l'homme riche du village se nomme Hannes, Rose décide de se faire aimer du gars déjà mûr, dédaignant le fait que sa famille porte le surnom de la "main qui étrangle" ...
Die-Wurghand-aka-the-Strangling-Hand |
Un film autrichien qui conte une histoire dont l'héroïne est une jeune femme dévergondée qui connait de nombreux stratagèmes pour aguicher les hommes qui l'intéresse. Les hommes sont d'une naïveté crasse et se laissent prendre au piège de l'affriolante Rose, qui n'hésitera pas à se rendre à l'église pour se montrer plus jolie que les autres filles du village dans le but d'intéresser Hannes ...
Chacun pense posséder Rose, le banquier et le baron par leur argent, Toni et Hannes par les sacrements du mariage, le douanier par son charme mais Rose n'en fait qu'à sa tête et se débarrasse des hommes qui l'empêchent d'atteindre les buts qu'elle se fixe.
Chacun pense posséder Rose, le banquier et le baron par leur argent, Toni et Hannes par les sacrements du mariage, le douanier par son charme mais Rose n'en fait qu'à sa tête et se débarrasse des hommes qui l'empêchent d'atteindre les buts qu'elle se fixe.
Il y a de belles images d'époque, en ville, dans la montagne, les intérieurs de chalets et des habitations sont toujours intéressants à regarder de même que les vêtements d'époque.
De prime abord on ne comprend pas que Rose est mariée avec Tony. D'ailleurs même par la suite on n'en sera pas sûr. La fin est peu claire : Hannes est-il vraiment mort ? Rose a-t-elle été étranglée ? Je fais partie des spectateurs cartésiens qui ont beaucoup d'imagination. J'aime bien comprendre et du coup je reste sur ma faim.
De prime abord on ne comprend pas que Rose est mariée avec Tony. D'ailleurs même par la suite on n'en sera pas sûr. La fin est peu claire : Hannes est-il vraiment mort ? Rose a-t-elle été étranglée ? Je fais partie des spectateurs cartésiens qui ont beaucoup d'imagination. J'aime bien comprendre et du coup je reste sur ma faim.
Ceci dit il y a de belles images, dont l'une des plus marquantes est ce gros plan sur une toile d'araignée qu'une main écarte lentement pour signifier un retour dans le temps. L'image est fort bien conçue et très explicite.
La musique composée par Juergen Berlakovich et Ulrich Troyer est horripilante et vous porte sur les nerfs, pas moyen de plonger dans le film avec les sons discordants et aigus qui sortent des hauts parleurs. Au début j'ai même pensé qu'il y avait un problème avec le son ! Ce n'est pas que la musique est trop moderne pour les images, c'est juste que les sons n'apportent rien si ce n'est des crispations !
Le film est édité par FilmArchiv Autriche
69 minutes
Victor Kutschera | ... |
Hartung
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Carmen Cartellieri | ... |
Rose
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Eugen Preiß | ... |
Toni
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Hans Rhoden | ... |
Baron Edgar Stein
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Adolf Weisse | |||
Hugo Werner-Kahle | ... |
Hannes
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