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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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mercredi 2 juin 2021

Pretty Ladies - Monta Bell - 1925

 


Maggey Keenan (ainsi orthographié dans le film, aussi bizarre que cela puisse paraitre) travaille aux Follies où elle présente un numéro comique après le show de Selma Larson, la star du spectacle.

Dans la fosse de l'orchestre, à la batterie, se trouve Al Cassidy.


Maggie, qui rêve de passer ses soirées avec un homme qui ressemble à Conrad Nagel et se retrouve bien seule après les soirées aux Follies.

Un soir en écoutant Al qui compose, elle tombe dans la fosse et se retrouve dans un tambour. Le soir même Al racompagne Maggie chez elle en bus. Il accepte de manger une morse qui s'avère être un vrai repas.

Maggie aime beaucoup Al et son numéro déguisée en mouche sur une musique composée par son ami obtient beaucoup de succès. A tel point que Selma, jalouse, détourne Al pour une soirée afin qu'il compose pour elle.

Maggie, convaincue par une amie de passer une soirée chez le producteur, se retrouve à amuser la galerie lorsque Al et Selma débarquent. Maggie, le visage noirci par du cirage, rentre chez elle le coeur gros mais Al réalise tout à coup à quel point il tient à elle et la rejoint chez elle avant de lui proposer le mariage. Maggie est heureuse et débute une nouvelle carrière, celle de maman au foyer.

Le jeune couple a bientôt un enfant et le bonheur est bien présent mais un jour un télégramme parvient à Al lui demandant de prévoir un nouveau numéro pour Selma. Al prend le train et rejoint la troupe ...

 


Un film bizarre dont le sens n'est pas très clair et qui me laisse sur ma faim. La version vue est très trouble, la musique d'accompagnement est par moment peu heureuse.

L'action est frustrante, on assiste à des spectacles terriblement démodés ne prêtant pas particulièrement à rire et il semble qu'il manque quelques scènes. Il est possible que le film ne soit pas complet.

Zasu est pour moi une grande actrice qui sait toucher la corde sensible. Dans le rôle de Maggie elle se montre douce et humble, croyante elle va pardonner à Al. A notre époque ça passe plutôt mal bien que le pardon soit une belle chose. J'ai de la peine à comprendre un gars comme Al, et je ne comprendrais jamais tous les Al de la création, tous ceux qui ne savent pas apprécier une femme telle que Maggie et le bonheur simple et constant que ce type de femmes apportent dans un foyer.

 George K. Arthur fait le clown et on aperçoit Joan Crawford quelques secondes.

 Titre français : Les feux de la rampe

54 minutes


Zasu Pitts ... Maggie Keenan

Tom Moore ... Al Cassidy

Ann Pennington ... Ann Pennington

Lilyan Tashman ... Selma Larson

Bernard Randall ... Aaron Savage

Helena D'Algy ... Adrienne

Conrad Nagel ... Maggie's Dream Lover

Norma Shearer ... Frances White

George K. Arthur ... Roger Van Horn

Joan Crawford ... Bobby - A Showgirl (as Lucille Le S

 

 


dimanche 13 janvier 2013

Man, Woman and Sin - Monta Bell - 1927

John Gilbert ...
Albert Whitcomb
Jeanne Eagels ...
Vera Worth
Gladys Brockwell ...
Mrs. Whitcomb
Marc McDermott ...
Bancroft
Philip Anderson ...
Al Whitcomb, as a child
Hayden Stevenson ...
The Star reporter
Charles K. French ...
The city editor

65 minutes

Au fond d'une allée vivent chichement Al et sa mère, épargnant sou par sou dans le but de trouver un meilleur logement. Al grandit et de job en job il finit par aboutir comme Garçon à tout faire au sein d'un journal. Al et sa mère peuvent enfin déménager dans un lieu plus cossu.
Un jour Al découvre dans une revue des visages de femmes qui éveillent sa curiosité. Il se rend dans un endroit mal famé de la ville et se retrouve avec une jeune femme sur les genoux. très emprunté il ne sait que faire lorsqu'il aperçoit l'un des journalistes du journal saoul et en train d'être mis à la porte, il l'emmène gentiment dans un bar. Devant une tasse de café il lui avoue qu'il aimerait devenir reporter et finit par obtenir un petit job plus proche de ses aspirations. 
Un soir Al est choisi pour aller à un bal en compagnie de Vera Worth, une journaliste mondaine qui est la maitresse de Bancroft, le patron du journal, marié et père. Al passe une soirée de rêve et tombe fou amoureux de Vera qui se joue avec lui, son amant étant absent.
Petit à petit pourtant elle sent son amour grandir et lorsqu'Al lui propose le mariage, elle accepte mais Bancroft fait son apparition et agresse Al qui en se défendant le tue par accident ...


C'est l'histoire d'un garçon couvé par sa maman. Lorsqu'il connait ses premiers émois face au sexe opposé il bascule dans le rêve éveillé. Innocent (d'une façon qui pourrait paraitre ridicule de nos jours), John Gilbert joue sur toutes une palette d'émotions naïves qui devaient toucher les spectatrices de l'époque et éveiller leur instinct maternel. Lors d'une scène, Vera vêtue d'un déshabillé vaporeux s'étend et prétend avoir mal à la tête de façon à ce que Al puisse lui passer la main sur le front. Al ne comprend rien aux manœuvres de séduction de Vera et, croyant qu'elle se repose, il finira par sortir sur la pointe des pieds de la pièce au grand désespoir de la jeune femme. Si on peut concevoir qu'il existe des garçons naïfs, on a peine à croire que ce garçon soit si peu au courant des choses de la vie. Difficile de penser qu'il s'agit d'une même John Gibert qui tournait dans La Grande parade en 1925, soit deux ans plus tôt ! tant il a l'air jeune dans ce film.
Jeanne Eagels est la femme sûre de son charme et expérimentée qui déroute le pauvre garçon. Ce rôle lui va comme un gant. Gladys Brockwell, une habituée des rôles de femmes souvent acariâtres, est ici une mère aimante, couvant son petit comme une mère poule. Elle seule réussira à sauver son fils, avec l'aide de Vera qui finira par s'effacer devant cette femme qui ne pense qu'à son fils. Etrange final qui me laisse très dubitative sur le sens caché de ce film qui ne semble pas prôner la vie de couple ....

Plus de détails et photos de ce film sur
 http://johngilbertandme.wordpress.com/nancy-comes-homs/man-woman-and-sin/




lundi 18 juin 2012

Lady of the Night - Monta Bell - 1925



Norma Shearer ...
Molly Helmer / Florence Banning

Malcolm McGregor ...
David Page (as Malcolm Mac Gregor)

Dale Fuller ...
Miss Carr - Florence's Aunt

George K. Arthur ...
'Chunky' Dunn

Fred Esmelton ...
Judge Banning

Lew Harvey ...
Chris Helmer - Molly's Father

Gwen Lee ...
Molly's Friend

Betty Morrissey ...
Gertie - Molly's Other Friend (as Betty Morrisey)

64 minutes

Un policier attend sur le palier d'une maison d'habitation, un homme menotté fait ses adieux à sa femme qui tient un nouveau né entre ses bras. Le policier l'emmène et le juge Banning le condamne à passer les 20 prochaines années dans un pénitencier. Alors qu'il est embarqué dans la fourgonnette qui l'emportera purger sa peine, Chris Helmer se retourne et interpelle le juge qui parle avec sa femme et sa fille en lui disant que "Si sa fille n'aura pas de souci, mais qu'en sera-il de la sienne qui n'aura pas de père pendant toute sa jeunesse" ?

18 ans plus tard on assiste à la sortie d'un pensionnat pour jeunes filles huppé de Florence Banning (Norma Schaerer), accompagnée de sa tante et de son père, bien entourée et surtout bien protégée. D'une maison de correction sort au même moment Molly Helmer (Schaerer), la fille du condamné maintenant orpheline. Molly sort avec Chunky (Arthur) un jeune homme avec lequel elle se rend souvent danser et qui ferait n'importe quoi pour lui plaire. Un soir elle fait la connaissance de l'un de ses amis, David Page (McGregor) dont elle tombe aussitôt amoureuse. David invente un moyen de percer les coffres forts avec facilité et Molly lui conseille d'essayer de la vendre du côté des banques. C'est le succès, les banquiers sont enthousiastes menés par Banning qui leur tient lieu de conseiller lui achètent son brevet. En sortant David fait la connaissance de Florence, la fille de Banning dont il tombe très amoureux. Une romance débute entre les jeunes gens et Molly se sent terriblement triste, sous les yeux non moins tristes de Chunky qui ne désespère pas de l'épouser un jour ....


C'est l'histoire d'une jeune fille aimée par un jeune homme qui aime un autre jeune homme qui lui aime une autre jeune fille. 
L'histoire débute de façon très captivante et originale, dans des tons bleutés la caméra se rapproche d'un policeman assis qui regarde à l'intérieur d'un petit appartement par la porte ouverte. On se demande aussitôt qu'est-ce qu'il peut bien attendre et la caméra continue de glisser de son visage jusqu'à l'intérieur de la pièce où une jeune femme est alitée avec un bébé. On recule un peu pour voir qu'un homme se tient au pied du lit et qu'il regarde sa femme avec intensité. Les petits doigts du bébé tiennent les menottes qui emprisonnent les deux mains de son père. On ne saura jamais ce que cet homme a fait, mais on ne peut s'empêcher d'imaginer qu'il a été poussé à commettre un acte répréhensible par la force des choses, et non par malhonnêteté foncière. Qu'importe, le monde des deux jeunes filles est évidemment bien contrasté : l'une d'elle vit dans l’opulence et les bonnes manières et l'autre, attifée de façon beaucoup plus voyante est pauvre et vit donc dans un milieu plus défavorisé (mais non terriblement défavorisé). 
Le réalisateur pourtant ne fait pas de Molly une mauvaise femme, au contraire, il s'attache à la dépeindre comme une femme de coeur pleine d'attentions pour celui qu'elle aime. Les deux jeunes femmes aiment le même jeune homme d'un amour qui semble équivalent. Derrière ce trio il y a Chunky qui se montre d'une maladresse touchante et d'une gentillesse à toute épreuve. Son personnage ne peut que toucher, moins gâté par la nature, il attend. Le final ne lui rend pas justice en ce sens que Molly le rejoindra en disant qu'au moins ce sera amusant, ce que je trouve particulièrement triste puisque dans le fond cet amour immense que porte Chuncky à Molly est loin d'être partagé.
Norma Schaerer est une bien belle femme, les deux rôles en font deux personnes totalement différentes. Florence est gracieuse, évaporée, délicate et fine alors que Molly est un peu plus rude et assez vulgaire, ses toilettes sont voyantes mais originales. Du beau travail d'actrice et de maquilleur !

J'ai beaucoup aimé le début qui commence très fort, après le film devient beaucoup plus conventionnel et c'est un peu dommage. L'acteur qui joue le père, Lew Harvey, campe un homme brisé et cassé de manière convaincante. La tante interprétée par Dale Fuller ressemble à la caricature de la vieille fille un peu frustrée que l'on voit habituellement dans ce genre de rôle.

A noter que c'est Joan Crawford qui double Norma Schaerer dans ce film. 
TCM : Les images sont joliment teintées et la musique d'accompagnement de Jon Mirsalis soutient les images avec sensibilité.




mardi 24 janvier 2012

Torrent - Monta Bell - 1926




Ricardo Cortez ...
Don Rafael Brull
Greta Garbo ...
Leonora Moreno
Gertrude Olmstead ...
Remedios Matías
Edward Connelly ...
Pedro Moreno
Lucien Littlefield ...
Cupido, the Barber
Martha Mattox ...
Doña Bernarda Brull
Lucy Beaumont ...
Doña Pepa Moreno
Tully Marshall ...
Don Andrés, a Lawyer
Mack Swain ...
Don Matías
Arthur Edmund Carewe ...
Salvatti (as Arthur Edmund Carew)
Lillian Leighton ...
Isabella, La Brunna's Maid


87 minutes

D'après un roman de Vicente Blasco Ibáñez
Autre titre : Ibáñez' Torrent


Près de Valencia, en Espagne, dans un petit village connu pour les terribles crues de sa rivière lorsqu'il pleut. Don Moreno, sa femme et leur fille Leonora (Garbo) habitent la vieille maison familiale entourée d'orangers non loin de l'eau. Leonora chante comme un rossignol et fait la fierté de sa famille et de Cupido (Littlefield), le barbier qui officie comme maître de chant. La jeune fille est éprise de Don Rafael (Cortez), le fils de Doña Bernarda (Mattox) dont la famille possède les terres de la région. Pendant que les deux tourtereaux échangent des promesses sur le muret bordant les orangers,  Doña Bernarda connaissant l'amour que porte son fils à la fille de ses métayers, chasse Leonora et son père mais garde la mère, inoffensive à ses yeux pour récurer la maison. Avant de partir, Leonora fait envoyer un mot à Rafael qui renonce à venir la retrouver sous l'influence de sa mère.

Leonora fait carrière de chanteuse d'Opera à Paris sous le nom de La Brunna. Très vite sa notoriété atteint l'Espagne, son succès est immense. Son père est décédé. Un jour, lasse, elle décide de retourner chez elle et arrive en grande pompe dans son village natal où justement Don Rafael fait campagne pour être élu Député. Il ne comprend pas d'où proviennent les richesses de Leonora qui le traite avec distance ...


Ne lisez pas la suite si vous préférez garder la surprise.


Un film tout bonnement magnifique. Les jeunes gens s'aiment, ils ont tout pour être heureux. La mère ambitieuse du jeune homme joue de son influence pour détourner son fils afin de le mener sur la voie du succès politique. Le fils, faible, obtempère et courtise la jeune fille que sa mère à choisie : la fille de Don Matias, Remedios (Olmstead), un éleveur de porcs qui semblent tout autant aimer ses animaux que sa fille. Lorsque Leonora parait, la passion se réveille à nouveau dans les veines de Rafael, d'autant plus que Leonora est plus belle que jamais. Celle-ci le repousse car son amour a été déçu. L'admiration grandit lorsque Rafael apprend que Leonora n'est autre que La Brunna. 
Un jour le ciel s'assombrit, les digues du barrage cèdent et le torrent furieux emporte tout sur son passage. Rafael, très inquiet, brave le danger pour sauver Leonora qui ne craint rien, bien installée au fond de son lit. Le soir de ses fiançailles avec Remedios, Rafael est innexorablement poussé à revenir sous les orangers : Les deux amants se retrouvent enfin et le film alors atteint l'apogée du romantisme. Mais rien n'est joué car Doña Bernarda veille et s'arrange pour que la propre mère de Leonora dénigre sa fille. Celle-ci finit par partir à Madrid où elle reprend sa vie de star adulée mais Rafael la rejoint et les deux amants projettent de partir en Amérique. Las ! envoyé par Doña Bernarda, Don Andrès (Marshall), son homme de loi, convainc Rafael de renoncer à partir avec Leonora qui l'attend pourtant. Au final Leonora poursuivra sa carrière, toujours belle et adulée alors que Rafael se mariera avec Remedios avec laquelle il aura de nombreux enfants. Lorsqu'un jour, regrettant ses choix, il tentera de revoir Leonora, celle-ci le reconnaîtra à peine tant il a vieilli ...


L'histoire est parfaitement maîtrisée, Greta Garbo dont c'est le premier film américain a 20 ans (et déjà 6 films en Suède à son actif) est tout bonnement magnifique, d'ailleurs tout est filmé pour la sublimer, encore et encore. Ricardo Cortez, le Valentino de la MGM qui bien qu'autrichien d'origine peut paraître latin joue ce rôle d'homme dominé par sa mère avec naturel. Les seconds rôles sont aussi excellents : entre autres la terrible Martha Mattox dont les traits durs conviennent à merveilles pour ce rôle de femme autoritaire, Tully Marshall, dans le rôle de l'homme de loi sans pitié qui joue dans le même registre, Gertrude Olmstead qui se montre douce et éprise de Rafael, et Lucien Littlefield dans le rôle de l'exubérant barbier chanteur.
Ce film doux amer termine de façon douloureuse mais réaliste. Les costumes et les décors parfaitement pensés, le tout sensuel, romantique et parfaitement accompagné musicalement, est à voir.

Il semble que le réalisateur de ce film, Monta Bell, en soit aussi le producteur et ne serait pas crédité (?).

avec Lucien Littlefield


Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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