Elliott Dexter | ... | Charles Murdock | |
Florence Vidor | ... | Juliet Raeburn | |
Sylvia Ashton | ... | Sophy Murdock | |
Wanda Hawley | ... | Sophy in Prologue | |
Theodore Roberts | ... | Tom Berkeley | |
Helen Jerome Eddy | ... | Norma Murdock | |
Marcia Manon | ... | Viola Hastings | |
Julia Faye | ... | Jessie | |
J. Parks Jones | ... | Charley Murdock | |
Edna Mae Cooper | ... | Bertha | |
Gustav von Seyffertitz | ... | Melville Bladen | |
Tully Marshall | ... | Simcox | |
Lillian Leighton | ... | Maid | |
Mayme Kelso | ... | Housekeeper | |
Alice Terry | ... | Saleslady (as Alice Taafe) |
70 minutes
Dans une petite ville, Charles Murdock (Dexter), le riche propriétaire d'un champ pétrolifère, ne peut s'empêcher d'envier l'un de ses employés qu'il observe prendre son pique nique avec sa femme aimante .... et se sent bien seul.
Lui-même est marié et père de deux enfants déjà presque adultes. Sa femme devenue presque obèse Sophy (Ashton) passe ses journées à manger du chocolat et à trainer au lit sans se donner la peine de tenir la maison correctement. Charles se souvient au temps où il avait fait sa connaissance, alors jeune et très jolie; il lui propose de vivre séparément et, pour lui donner le temps de réfléchir à sa proposition, décide d'emmener son fils Charley 3 semaines à la chasse.
Alors qu'il vient d'abattre un ours, il fait la connaissance de Juliet Raeburn (Vidor), une jeune femme qui possède une boutique de mode très en vogue à New York. Son fils Charley lui ayant fait raser sa moustache pour le faire passer pour son frère, une romance débute jusqu'au moment où Charles se rend compte qu'il est vraiment amoureux et qu'il lui avoue être marié et avoir deux enfants. Les deux amants se séparent et Melville, le secrétaire de Charles, s'arrange pour rendre jalouse Sophy en déposant un mouchoir ayant appartenu à Juliet sur le bureau. Dès lors, Sophy refuse de divorcer...
Lui-même est marié et père de deux enfants déjà presque adultes. Sa femme devenue presque obèse Sophy (Ashton) passe ses journées à manger du chocolat et à trainer au lit sans se donner la peine de tenir la maison correctement. Charles se souvient au temps où il avait fait sa connaissance, alors jeune et très jolie; il lui propose de vivre séparément et, pour lui donner le temps de réfléchir à sa proposition, décide d'emmener son fils Charley 3 semaines à la chasse.
Alors qu'il vient d'abattre un ours, il fait la connaissance de Juliet Raeburn (Vidor), une jeune femme qui possède une boutique de mode très en vogue à New York. Son fils Charley lui ayant fait raser sa moustache pour le faire passer pour son frère, une romance débute jusqu'au moment où Charles se rend compte qu'il est vraiment amoureux et qu'il lui avoue être marié et avoir deux enfants. Les deux amants se séparent et Melville, le secrétaire de Charles, s'arrange pour rendre jalouse Sophy en déposant un mouchoir ayant appartenu à Juliet sur le bureau. Dès lors, Sophy refuse de divorcer...
Un film qui ne peut qu'interpeller. En effet, la caricature est extrêmement parlante. Sophy n'a plus rien de la jeune et charmante jeune fille qu'elle fut et Charles est resté jeune et séduisant. Le contraste entre Sophy et Juliet est bien sûr convaincant (et franchement rosse en ce qui concerne Sophy, mais un bon exemple à ne pas suivre, en l'occurrence !). Mais quand même il me semble que ce film est bien fortement axé sur les apparences même si l'on sait que les apparences sont aussi quelque part un reflet de soi-même ... Cecil B. DeMille ne tente pas de nous apporter plus de profondeur (Les enfants n'ont en aucun cas l'air perturbés face aux problèmes conjugaux de leurs parents - Mais il est vrai qu'il est difficile de leur donner un âge ...)
Le début est attractif, et montre les mains des protagonistes, dont Tom Berkeley, l'associé de Charles qui obtient toujours ce qu'il veut, de Viola Hastings ou de Melville Bladen. Lorsque Charles se remémore d'agréables souvenirs, une image parfumée composée de fleurs que l'on imagine capiteuses sans peine l'entoure : c'est très joliment fait, et très parlant.
J'ai bien aimé le personnage de Gustav von Seyffertitz qui lui n'hésitera pas à courtiser Sophy qui commencera alors une nouvelle vie. On peut imaginer qu'il la courtise dans le but de s'approprier sa nouvelle fortune, mais il le fait de manière charmante en tous cas !
Le début est attractif, et montre les mains des protagonistes, dont Tom Berkeley, l'associé de Charles qui obtient toujours ce qu'il veut, de Viola Hastings ou de Melville Bladen. Lorsque Charles se remémore d'agréables souvenirs, une image parfumée composée de fleurs que l'on imagine capiteuses sans peine l'entoure : c'est très joliment fait, et très parlant.
J'ai bien aimé le personnage de Gustav von Seyffertitz qui lui n'hésitera pas à courtiser Sophy qui commencera alors une nouvelle vie. On peut imaginer qu'il la courtise dans le but de s'approprier sa nouvelle fortune, mais il le fait de manière charmante en tous cas !
Ce film est très agréable à suivre, surtout si l'on est dans la tranche d'âge des personnages car cela permet de se remettre en question ! Les costumes sont particulièrement sophistiqués : une tonne de fanfreluches, des plumes, plusieurs couches superposées, des breloques, des matières qui paraissent très luxueuses... Très joli à regarder d'un point de vue mode de l'époque !
Le message n'est pas très clair par contre : la plupart des hommes sont montrés comme des égoïstes intéressés (Berkeley ne pense qu'à s'amuser avec de jeunes femmes, Bladen à l'argent de Sophy - ou bien ?); Mis à part Murdock, qui lui a un rôle moins clair à définir car il semble avoir besoin qu'on s'intéresse à lui et qu'on flatte sa vanité masculine, d'amour ou de romance, de piment dans sa vie, d'une jolie femme, ou de tout cela à la fois ? les femmes se montrent comme des chasseuses d'hommes qui une fois mariées se laissent aller ...
Le seul message que j'y vois c'est de changer si ça ne va pas... donc il ne faut pas compter trouver dans ce film un message concernant le développement personnel, ni imaginer que l'adversité est un bon moyen pour apprendre à se connaître.
Dexter est attractif dans le rôle de cet homme doux et honnête. Florence Vidor encore toute jeune est bien jolie, les autres protagonistes sont tous très bien aussi.
Le message n'est pas très clair par contre : la plupart des hommes sont montrés comme des égoïstes intéressés (Berkeley ne pense qu'à s'amuser avec de jeunes femmes, Bladen à l'argent de Sophy - ou bien ?); Mis à part Murdock, qui lui a un rôle moins clair à définir car il semble avoir besoin qu'on s'intéresse à lui et qu'on flatte sa vanité masculine, d'amour ou de romance, de piment dans sa vie, d'une jolie femme, ou de tout cela à la fois ? les femmes se montrent comme des chasseuses d'hommes qui une fois mariées se laissent aller ...
Le seul message que j'y vois c'est de changer si ça ne va pas... donc il ne faut pas compter trouver dans ce film un message concernant le développement personnel, ni imaginer que l'adversité est un bon moyen pour apprendre à se connaître.
Dexter est attractif dans le rôle de cet homme doux et honnête. Florence Vidor encore toute jeune est bien jolie, les autres protagonistes sont tous très bien aussi.
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