Priscilla Dean | ... |
Sylvia Donovan
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Matt Moore | ... |
Dick Longworth
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Raymond Griffith | ... |
Roy Donovan
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Wallace Beery | ... |
Count Donelli
/
Hawkes
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Alfred Allen | ... |
Mike Donovan
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environ 80 minutes
A Londres, un indic, Hawkes (Griffith) fait arrêter Mike Donovan, le père de deux bambins qui jouent à ses pieds. Dans l'ombre la police attend le signal de l'indic et donne l'assaut. Le père mourra durant l'attaque et les deux enfants séparés croiront chacun que l'autre est mort. Pourtant Sylvia a été sauvée par Hawkes qui l'emmène à Paris. De retour à Londres, sans le savoir le frère et la soeur se rencontrent à nouveau au Musée de Cire. Roy (Griffith) est maintenant l'actionneur des leviers d'un joueur d'échec automatique qui attire beaucoup de chalands et Sylvia (Dean) élevée par Hawkes comme sa fille une voleuse à la tire. Hawkes est toujours à l'affut d'un nouveau coup et voyant que Roy semble sympathiser avec Sylvia il propose de l'emmener lui et l'automate aux Etats Unis. Là il se fait passer pour un comte avec sa fille et Roy devient son secrétaire.
Bien sûr tout le monde est intrigué et l'automate leur ouvre des portes. Les trois escrocs font la connaissance de Longworth (Moore) qui leur montre les environs et les emmène dans une cabane dans la montagne. Peu de temps après, un soir Roy dérobe des bijoux chez la soeur de Longworth et les escamote habilement grâce à l'automate. Les trois filous s'échappent et filent vers la cabane suivis par Longworth. Petit à petit l'ambiance se détériore, chacun soupçonnant l'autre de vouloir s'accaparer les bijoux en se débarrassant des autres ...
Un film porté par un trio (voire quatuor si on inclut Matt Moore qui a un rôle un peu moindre) d'excellents acteurs.
On ne présente plus Wallace Beery, Pricscilla Dean a un genre de beauté délicate mais se montre assez dure et Raymond Griffith est très expressif (Il avait perdu sa voix quelques années auparavant et peut-être cela explique-t-il cela).
Cette histoire est tout à fait bien construite. Même si Roy considère Sylvia comme sa soeur, jamais il ne va imaginer qu'elle l'est réellement. De même il croit reconnaitre Hawkes et lui demande s'il a connu un homme de ce nom. Bien sûr Hawkes répond que non, et son aplomb cache la fraction de seconde d'inquiétude qui devient dès lors indécelable.
On trouve ce film dans le coffret édité par Bach, Hommage à Tod Browning. La qualité de l'image n'est pas parfaite mais encore assez bien conservée. La musique composée par Liqueur Brune est plutôt bonne (au début c'est clair) mais pas toujours en adéquation dans certaines scènes durant lesquelles j'ai trouvé qu'elle détonnait.
On peut aussi regretter que Bach n'ait pas trouvé la place pour indiquer le nom des acteurs dans la liste des films au dos du coffret (j'ai renoncé à les chercher à l'intérieur donc j'ignore s'ils sont même mentionnés quelque part). Par contre il me semble que Bach a fait des efforts en ce qui concerne les cartons français qui étaient souvent truffés de fautes de français ou d’orthographe.
Un film porté par un trio (voire quatuor si on inclut Matt Moore qui a un rôle un peu moindre) d'excellents acteurs.
On ne présente plus Wallace Beery, Pricscilla Dean a un genre de beauté délicate mais se montre assez dure et Raymond Griffith est très expressif (Il avait perdu sa voix quelques années auparavant et peut-être cela explique-t-il cela).
Cette histoire est tout à fait bien construite. Même si Roy considère Sylvia comme sa soeur, jamais il ne va imaginer qu'elle l'est réellement. De même il croit reconnaitre Hawkes et lui demande s'il a connu un homme de ce nom. Bien sûr Hawkes répond que non, et son aplomb cache la fraction de seconde d'inquiétude qui devient dès lors indécelable.
On trouve ce film dans le coffret édité par Bach, Hommage à Tod Browning. La qualité de l'image n'est pas parfaite mais encore assez bien conservée. La musique composée par Liqueur Brune est plutôt bonne (au début c'est clair) mais pas toujours en adéquation dans certaines scènes durant lesquelles j'ai trouvé qu'elle détonnait.
On peut aussi regretter que Bach n'ait pas trouvé la place pour indiquer le nom des acteurs dans la liste des films au dos du coffret (j'ai renoncé à les chercher à l'intérieur donc j'ignore s'ils sont même mentionnés quelque part). Par contre il me semble que Bach a fait des efforts en ce qui concerne les cartons français qui étaient souvent truffés de fautes de français ou d’orthographe.
Silent Films Still Archive |
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