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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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samedi 12 octobre 2013

The Cossacks - George W. Hill, Clarence Brown - 1928



John Gilbert ...
Lukashka
Renée Adorée ...
Maryana
Ernest Torrence ...
Ivan
Nils Asther ...
Prince Olenin Stieshneff
Paul Hurst ...
Sitchi
Dale Fuller ...
Ulitka (Maryana's mother)
Mary Alden ...
Lukashka's mother
Josephine Borio ...
Stepka
Yorke Sherwood ...
Uncle Eroshka
Joseph Marievsky ...
Turkish Spy (as Joseph Mari)


90 minutes

Non loin de la frontière turque, des cosaques s'en vont au combat et ramènent quelques prisonniers au village dans lequel les femmes les attendent. Parmi elle Maryana aimée par Lukashka, le fils du chef et plus vaillant guerrier des environs.
Les hommes vénèrent leur chef qui de montre peu fier de son fils, une femmelette qui est la risée du village car il ne s'intéresse pas aux équipées sauvages des cosaques qui ont pour habitude d'attaquer leurs voisins turcs.
Un jour à leur retour d'une de ces équipées sauvages et après que les hommes se soient imbibés de vodka pour fêter leur victoire ils s'en prennent à Lukashka qui conte fleurette à Maryana. Pour ce faire ils le déguisent en femme et lui intime l'ordre de presser le raisin, un travail de femme. Attaché à un poteau et vêtu de force d'une tunique féminine et de fleurs sur la tête, Luksashka est humilié devant les yeux de Maryana qui lui lance même quelques raisins à la tête.
Son père honteux décide de lui donner une correction mais son fils n'en peu plus et lui rend la monnaie de sa pièce de belle manière. La leçon semble avoir porté ses fruits, Lukashka semble être devenu un homme et mène la prochaine attaque contre les turcs après que leurs prisonniers se soient évader en emmenant quelques chevaux. Il fait la fierté des hommes du village pour lesquels il faut avoir été blessé au combat et avoir tué quelques turcs pour être un vrai cosaque. Mais cela ne l'empêche pas de se montrer désormais distant envers Maryana.
Lors du raid suivant un prince envoyé par le petit père de Moscou fait son apparition. Le Tsar souhaite que le sang de son peuple soit mélangé et donc le prince est prié de trouver une femme au village en vue des épousailles. Ses yeux se portent évidemment sur la belle Maryana et par chance il est logé chez sa mère, la veuve Ulitka ce qui lui permet de courtiser et de très se montrer empressé à tel point qu'il lui propose le mariage. A son reotur, jaloux, Lukashka courtise une gitane d'un peu trop près et Maryana accepte l'offre du prince...


On oscille entre le tragique et le comique. Évidemment, pour être cosaque il faut être qualifié ! Ainsi le gentil Lukashka deviendra grand, comme son rustre de papa interprété par le toujours excellent Ernest Torrence, plus vrai que nature dans ce rôle !
Le revirement qui voit Lukashka devenir tout à coup un homme est un peu grossier, on a de la peine à le croire car comment imaginer que ce gentil et souriant garçon ait trouvé une raison valable pour devenir un "vrai" homme en se battant contre son père ? Tout le monde sait pourtant bien qu'il faut bien plus de force de caractère pour se montrer différent des autres, ou bien ?
Mais qu'importe les raisons, les cosaques semblent aimer rigoler, ça tombe bien moi aussi. On passe un bon moment grâce à ces charmants acteurs que sont Renee Adoree et John Gilbert dont c'est le cinquième films ensemble (il me semble) après Honor First 1921, A Man's Mate 1924, The Big Parade 1925 et The Show 1927; ils tourneront encore ensemble Redemption en 1930.
Outre les scènes de flirt, il y a de nombreuses scènes de combat et deux moments particulièrement intenses : L’affrontement entre son père et Lukashka, et la scène où tous deux sont capturés et torturés par les Turcs, ce qui donne à penser que ce film aurait pu atteindre d'autres sommets grâce à Renée Adoree qui a le chic pour se montrer touchante avec des larmes plein les yeux.

... Et si vous aimez la voltige cosaque ou la poste hongroise vous serez aussi ravis que moi, il y a en effet de nombreuses scènes qui montrent d'excellent cavaliers exécuter de magnifiques figures !

Il semble que le film devait être dirigé à la base par Viktor Tourjansky mais celui-ci s'est attelé à d'autres projets, la mise en place du script étant trop lente.






jeudi 23 février 2012

Himmelskibet - Holger-Madsen - 1918



Nils Asther ...
Martian citizen
Philip Bech ...
Martian leader - wise man
Alf Blutecher ...
Dr. Krafft, Avantis' friend
Frederik Jacobsen ...
Professor Dubius
Lilly Jacobson ...
Marya, Martian leader's daughter
Svend Kornbech ...
David Dane, american
Nicolai Neiiendam ...
Professor Planetaros, astronomer
Alfred Osmund ...
Martian priest
Zanny Petersen ...
Corona, Avanti's sister
Gunnar Tolnæs ...
Avanti Planetaros, sea captain


97 minutes
autre titre : 400 Million Miles from Earth

Ne vous méprenez pas, Nils Ashter figure peut-être en tête des acteurs ci-dessus mais il n'apparait que quelques secondes. Le héros de ce film est Gunnar Tolnæs !

Avanti, le fils du professeur Planetaros revient d'une glorieuse mission en mer. Son père lui donne l'envie de progresser et de découvrir l'univers et Avanti s'initie à l'aviation. Un jour il revient bouleversé car il a volé plus haut que quiconque à ce jour et entrevoit une possibilité de voler jusqu'à mars. Son père soutient le projet ainsi que le Dr Krafft, amoureux de sa sœur Corona.
Au bout de deux ans le vaisseau spatial (Himmelskibet) ou plutôt l'engin spatial est construit et il ne reste plus qu'à trouver un équipage. 
Le capitaine Avanti organise une soirée pour les téméraires qui désireraient tenter l'aventure et le professeur Dubius tente de semer le doute comme son nom l'indique. Après des adieux aux siens, le vaisseau décolle en direction de la planète mars vers laquelle il se dirige à 12'000 km à l'heure.
Après 6 mois le vaisseau vogue toujours en direction de Mars et les hommes se découragent dans la nuit (!) qui les entoure. Alors qu'une mutinerie se prépare Avanti et le Dr Krafft prévenus par l'un d'eux se préparent à défendre chèrement leurs vies. Mais sur Mars ils sont repérés et les Martiens accélèrent leur arrivée. Le vaisseau atterrit dans la liesse générale, une population tout de blanc vêtue les accueille avec gentillesse. Les notables parviennent à communiquer par la transmission de pensée et leur présentent leur planète. Dans un jardin ils font goûter aux voyageurs les fruits locaux et les terriens apportent des échantillons en provenance de la terre, une bouteille de chianti qui provoque une grimace et une boîte de viande qui dégoute profondément le sage qui demande alors comment ils font pour manger de la viande. Avanti se méprenant sur la question prend alors son revolver et abat un oiseau qui passe provoquant ainsi un mouvement de panique car des milliers d'années étaient passés sans qu'un coup de feu soit tiré sur Mars. La foule se dirigeant en courant vers eux, le Dr Krafft lance une grenade et un jeune homme s’effondre ...

Les martiens déclarent alors qu'il leur faut se rendre dans la maison des jugements ...



Je m'arrête là pour ne pas en dire plus sur cet excellent film sorti le 22 février 1918, soit 94 ans jour pour jour avant que je n'aie la chance de le voir.
Les films qui apportent de l'espoir même s'il peuvent paraitre naïfs m'émeuvent. Je trouve simplement réconfortant de partager ce sentiment avec d'autres personnes, égale l'époque à laquelle elles ont vécu. Là je suis tombée sous le charme de ce film truffé d'images symboliques. Je n'y ai pas vu, comme certains l'ont relevé, d'images racistes.

On ne peut manquer remarquer que les protagonistes portent des noms qui reflètent leur personnalité : ainsi Avanti va de l'avant, Planetaros garde un œil vers l'univers et donc démontre une ouverture d'esprit peu commune, le Dr Krafft produit de l'énergie et donne l'élan nécessaire, le professeur Dubius apporte ses doutes et donc manque de foi dans le projet qu'il tente de saboter, Marya représente bien sûr la pureté et l'innocence, et Corona est la constellation de la couronne et donc la noblesse de son esprit ne peut nous échapper. David Dane pourrait représenter le commun des danois ou des terriens par extrapolation, le film étant danois et Dane voulant dire danois en anglais (mais là je m'avance). Leur vaisseau s'appelle l'Excelsior.

L'histoire est fort simple : l'aventure de quelques personnes ayant la foi en leur projet qu'ils mènent à son terme et, malgré les quolibets de ceux qui n'y croient pas, ils ne se découragent pas. Une fois le vaisseau parti, le doute assaille les plus faibles qui se regroupent et qui tentent de se rassurer en prenant le contrôle de la machine dans l'obscurité ou les ténèbres sidérales qui les entourent.
Les martiens représentent l'idéal humain et ça fait chaud au cœur de les voir emplis d'amour et simples. Les terriens vont assister à la danse des vierges, aux coutumes locales toutes emplies de beauté et d'amour. Ils vont faire le serment de ne plus jamais faire couler le sang (on est en 1918 et la fin de la première guerre mondiale approche - pour mémoire L'armistice sera signé le 11 novembre 1918 tôt le matin et marquera la fin des combats, le Danemark étant resté un état neutre).

Les martiens ont des années d'avance sur les terriens, ils savent vivre en bonne entente les uns avec les autres après avoir connu la violence. Les sages meurent avec reconnaissance pour la vie qu'ils ont menée et s'en vont le coeur empli de bonheur. Aucun jugement n'est porté par une tierce personne, celles qui commettent de mauvaises actions sont priées de se juger elles-mêmes consciemment.
Bien sûr Avanti tombe amoureux de la belle Marya. Lorsqu'il lui déclare son amour celle ci l'installe sous un arbre du songe ce qui lui permettra de savoir si elle doit s'unir avec lui. La scène de l'union est particulièrement douce et tendre. D'ailleurs une bonne partie du film l'est, doux et tendre.
Gunnar Tolnæs est un homme magnifique qui possède une jolie prestance. Un visage très beau au profil très masculin, il a de plus de belles mains déliées. Ses expressions sont assez théâtrales dans ce film. Lilly Jacobson sourit avec douceur tout au long du film. La sensation de douceur est accentuée par les voiles vaporeux qu'elle porte et par ses longs cheveux soyeux dans lesquels des reflets de lumière se perdent. 
Les terriens arrivent en combinaison de cuir sombre, portent des revolvers et des grenades et se munissent de masque à gaz pour débarquer avant de réaliser que l'air est tout à fait respirable. Une fois leur conversion effectuée ils recevront la cape blanche de l'innocence.
Tout cela est certes un peu théâtral  mais cela ne nuit toutefois pas au sens profond de ce film qui est un régal pour les yeux et pour le cœur.
Si comme le professeur Dubius vous ne croyez pas aux aventures qui dépassent notre entendement  - passez votre chemin. Si l'utopie ou la quête d'un idéal ne vous font pas peur ou si vous avez gardé une âme d'enfant friande de contes, ce film devrait vous plaire !



Sur Mars, même les fleurs vont se coucher ...







Attention la musique de cet extrait n'est pas la musique du DVD que vous pouvez obtenir au film & kunst GmbH, Edition Filmmuseum  http://www.edition-filmmuseum.com/




lundi 30 janvier 2012

Laugh Clown Laugh - Herbert Brenon - 1928




Lon Chaney ...
Tito Beppi
Bernard Siegel ...
Simon
Loretta Young ...
Simonetta
Cissy Fitzgerald ...
Giancinta (as Cissy Fitz-Gerald)
Nils Asther ...
Count Luigi Ravelli
Gwen Lee ...
Lucretia

73 minutes

Titre français : Ris donc, paillasse ! (pas très heureux, non ?)

Tito et Simon sont des clowns itinérants en Italie. Un jour Tito découvre une petite fille abandonnée et convainc Simon de la garder. La jeune fille baptisée Simonetta grandit et devient part de la troupe en tant que funambule. Un jour alors que Simonetta cherche à cueillir une rose dans un somptueux jardin, le comte Luigi Ravelli la surprend et en tombe amoureux. Très prédateur il manque profiter de l’innocence de la jeune fille qui disparait durant un moment d'inattention.
Plus tard alors que Tito, très amoureux de Simonetta déprime et pleure et que Luigi se soigne pour des crises de fou rire intempestives, les deux font connaissance et, souffrant du même mal, courtisent tous deux la belle et gracieuse Simonetta...



Je crois qu'il faut aimer les clowns pour aimer ce film plutôt poétique. La prestation de Chaney est particulièrement touchante, d'autant plus que vieillissant je craignais que le scénario ne lui accorde le droit de s'enfoncer dans le ridicule et le pathos en aimant malgré tout cette jeune fille qui l'aimerait en retour, mais heureusement cela n'est pas le cas. Mais vu le nombre de rôles de psychopathe de Lon Chaney on craint toujours un peu le pire. Là ce n'est pas la peine, il se montre d'une grande tendresse envers Loretta Young déjà bien mignonne et frêle et Nils Ashter complète le casting avec ses manières distinguées.







lundi 7 novembre 2011

Our Dancing Daughters - Harry Beaumont - 1928




Joan Crawford ...
Diana 'Di' Medford
Johnny Mack Brown ...
Ben Blaine (as John Mack Brown)
Nils Asther ...
Norman
Dorothy Sebastian ...
Beatrice 'Bea'
Anita Page ...
Ann 'Annikins'
Kathlyn Williams ...
Ann's mother
Edward J. Nugent ...
Freddie (as Edward Nugent)
Dorothy Cumming ...
Diana's mother
Huntley Gordon ...
Diana's father (as Huntly Gordon)
Evelyn Hall ...
Freddie's mother
Sam De Grasse ...
Freddie's father (as Sam de Grasse)


84 minutes


Trois jeunes filles se préparent à sortir un samedi soir en ville : Beatrice (Dorothy Sebastian), une jeune fille simple aux parents très stricts; Ann (Anita Page), une mignonne blonde immorale et immature et à la recherche d'un homme riche, suivant ainsi les préceptes de sa mère et Diana Bedford (Joan Crawford), une mondaine qui aime s'amuser et connue pour son amour des voitures rapides, la fête et la danse tout en essayant de vivre selon de nobles principes moraux. Lors de la fête, Diana amuse ses amis en se dépouillant de sa robe et en dansant. Elle fait ensuite la connaissance de Ben Blaine (Johnny Mack Brown), un beau jeune homme fortuné. Diana en tombe follement et sincèrement amoureuse et Ben n'est pas indifférent, mais Ann décide de s'approprier le jeune homme avec l'aide de sa mère en faisant croire à Ben qu'elle est pure et innocente. Tant et si bien qu'elle finit par pousser à l'épouser le pauvre Ben inconscient de la manipulation. Béatrice quant à elle épouse Norman (Nils Asther) et Diana reste douloureusement célibataire ...









Un film extrêmement sensuel - gros plans sur les jambes ou sur des visages qui chavirent - plein de bon sens qui montre des comportements qui n'ont pas beaucoup changé depuis 1920 et qui est axé sur l'apparence.  Le comportement des parents est de même intéressant : ce n'est pas parce que vous êtes stricts que votre fille ne fera pas de bêtises (comme le démontre Beatrice avant de rencontrer Norman), ou que vous êtes très libéraux que votre fille sera une débauchée. J'imagine de même qu'avoir une mère malhonnête ne vous pousse pas forcément à l'être vous-même.

On peut admirer dans les seconds rôles Eddie Nugent, Dorothy Cumming, Huntley Gordon, Evelyn Hall et Sam DeGrasse.

La scène de l'ivresse d'Ann est excellente, les trois femmes de ménage en bas de l'escalier restent l'un des points forts de ce film mémorable. Anita Page est parfaite dans ce rôle de belle fille malsaine qui trompe son monde ! On comprend de même que la carrière de Crawford ait été lancée grâce à ce film car elle s'y montre féminine et très fine. Certains de ses regards échangés avec Johnny Mack Brown vous remuent terriblement. Johnny Mack Brown est quant à lui absolument craquant ! Tout le monde est jeune et beau dans ce film qui vous permet de vous plonger dans votre propre jeunesse et qui ravive une tonne de souvenirs !

Sans compter que les décors (art déco) et les costumes sont superbes !









Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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