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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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jeudi 11 juillet 2013

Capital Punishment - James P. Hogan - 1925



Clara Bow ...
Delia Tate

George Hackathorne ...
Dan OConnor
Elliott Dexter ...
Gordon Harrington
Margaret Livingston ...
Mona Caldwell
Alec B. Francis ...
Chaplain
Mary Carr ...
Mrs. OConnor
Robert Ellis ...
Harry Phillip
Joseph Kilgour ...
Governor
George Nichols ...
Warden
Eddie Phillips ...
Condemned boy
Edith Yorke ...
Boys mother
John T. Prince ...
Doctor (as John Prince)
Wade Boteler ...
Officer Dugan
Fred Warren ...
Pawnbroker
Sailor Sharkey ...
Convict

67 minutes

Un condamné à mort hurle son innocence alors que l'aumônier tente de le consoler et que deux gardiens attendent pour l'emmener sur la chaise électrique. Pendant ce temps un homme implore le gouverneur local de commuer sa peine en condamnation à vie faute de preuves. Non loin un homme avoue sur son lit de mort être coupable du crime mais trop tard, la peine est exécutée.

Pour éviter une telle erreur se reproduise, deux amis Gordon Harrington et Harry Phillip font un pari pour démontrer la faiblesse de la procédure : Harry Phillip va disparaitre et l'accusé sera disculpé en dernière minute. Harrington propose $10'000 à Danny O'Connor qui accepte bien volontiers de jouer l'accusé en imaginant la belle vie qu'il pourra offrir à sa fiancée Delia et à sa mère avec une telle fortune. Les deux hommes écrivent une confession avant de mettre leur projet à exécution.
Danny est incarcéré au grand désespoir des femmes de sa vie qu'il n'a pas mises au courant. Il se trouve que Harry, le pseudo mort en a assez d'attendre et qu'il profite de la situation pour se jeter sur la petite amie de Harrington, Mona Caldwell. Harrington surprend la scène et défend la jeune femme mais dans le combat Harry est tué.
Au bout des deux semaines Danny toujours très sûr de lui explique le plan au directeur de la prison qui lui met le journal annonçant le crime de Harry sous le nez. Danny est persuadé que Harrington ne va pas tarder à le disculper et envoie Delia chercher la confession signée par les deux hommes, mais et l'avocat et le papier ont disparu ...
Un film visant à convaincre d'abolir la peine de mort. Et comme Fritz Lang l'a tourné dans son dernier film américain 'Beyond a Reasonable Doubt', l'affaire tourne plutôt mal.

Les premières images sont terribles, Eddie Phillips vous scotche dans votre fauteuil, beau et jeune il sort ses tripes pour vous convaincre de son innocence et on ne peut que se sentir interpellés face à la scène.
Par la suite le film n'atteindra plus une telle intensité, George Hackathorne étant beaucoup plus cabotin. Malgré tout on suit l'affaire avec intérêt grâce à Alec B. Francis, toujours plein de miséricorde à l'écran, Elliott Dexter que sa conscience travaille quand même malgré tout, Margaret Livingston égale à elle même au bord de la légalité, Robert Ellis (qui tout à coup se montre bestial alors qu'il aurait pu se contenter de tenir deux semaines dans l'isolement pour jouer le jeu correctement, enfin c'est dans le scénario donc voilà...), Mary Carr et Edith York dans les rôles des mères, sans oublier Clara Bow la gentille et fidèle petite amie de Danny et l'agent de police attendri par les deux tourtereaux joué par Wade Boteler. Mais malgré tout ce beau monde, celui qui tire son épingle du jeu haut la main à mes yeux, c'est Eddie Philipps !
On se demande comment le médecin légiste ne voit pas que le mort a été tué alors que l'accusé était déjà en prison, mais là aussi la question du timing n'est pas très claire bien qu'on imagine qu'il ait été tué vers la fin des deux semaines puisque Danny dévoile le plan au moment où la parution du journal est faite ...




mardi 23 avril 2013

The Saturday Night Kid - A. Edward Sutherland - 1929



Clara Bow ...
Mayme Barry
Jean Arthur ...
Janie Barry
James Hall ...
William Taylor
Edna May Oliver ...
Miss Streeter
Charles Sellon ...
Lem Woodruff
Ethel Wales ...
Lily Woodruff
Hyman Meyer ...
Mr. Ginsberg

63 minutes

Titre français : La Cadette
Remake de Love'Em or Leave'Em 1926

Mayme et sa petite soeur Janie vivent dans une pension. Leur voisin de chambre et petit ami de Mayme se nomme Bill. Tous trois travaillent au grand magasin Grinsberg.

 Mayme se tape toutes les corvées et rend volontiers service à sa soeur qui profite de sa bonne volonté à la moindre occasion. En plus de lui chiper ses vêtements, Janie rêve de lui chiper Bill et va insidieusement lui faire penser que Mayme ne l'aime plus en lui montrant l'un des poèmes écrit par le jeune homme soit disant retrouvé à la poubelle. Pour arrondir ses fins de mois elle joue aux courses et place des paris auprès de Lem, le mari malhonnête de la logeuse. Lorsqu'elle aura perdu au jeu la somme remise par les magasins Grinsberg Janie appelle sa soeur à l'aide ...



Sympathique remake peut-être plus réaliste et naturel que la version précédente, Love'Em or Leave'Em qui par contre parait esthétiquement plus abouti tout en perdant de la crédibilité.
Clara Bow se tape toutes les corvées pendant que Jean Arthur flirte sans vergogne. Le charmant James Hall est l'objet de leur attention. Edna May Oliver apporte son caractère bien trempé à Miss Streeter ...
On peut voir Jean Harlow en vendeuse dans l'un de ses premiers rôles.
Par contre j'ai de la peine à voir le côté comique de ce film, comme dans la version précédente.





dimanche 21 avril 2013

Black Oxen - Frank Lloyd - 1923


Corinne Griffith ...
Madame Zatianny / Mary Ogden
Conway Tearle ...
Lee Clavering
Tom Ricketts ...
Charles Dinwiddie
Tom Guise ...
Judge Gavin Trent
Clara Bow ...
Janet Ogelthorpe
Kate Lester ...
Jane Ogelthorpe
Harry Mestayer ...
James Ogelthorpe
Lincoln Stedman ...
Donnie Ferris
Claire McDowell ...
Agnes Trevor
Alan Hale ...
Prince Rohenhauer
Clarissa Selwynne ...
Gora Dwight

(58) 80 minutes
D'après une histoire de Gertrude Atherton, bestseller no 1 en 1923.

Le soir d'une première théâtrale, à New York. Durant l’entracte une jeune femme (Griffith) se lève et regarde autour d'elle à l'aide de ses jumelles. Non loin, un jeune critique de théâtre et écrivain lui-même, Lee Clavering (Tearle) demande à son voisin Charles Dinwiddie s'il connait l'inconnue. Celui-ci est sous le choc car il croit voir le fantôme d'une femme qu'il a aimée tantôt, une femme brillante et belle nommée Mary Ogden. Toute la salle se passionne pour savoir qui est cette belle femme. Voyant que l'inconnue parle avec le juge Trent, Dinwiddie se rapproche et apprend qu'il s'agirait de la nièce de Mary. Pour en avoir le coeur net, il se rend chez Jane Ogelthorpe, une vieille amie de Mary qui se montre très suspicieuse et qui finit par comprendre qu'il s'agir de la fille de Mary. Lee est sous le charme et suit un soir la jeune femme qui se retrouve fort démunie devant chez elle car elle a oublié ses clés et les serviteurs sont en congé. Lee réussit à pénétrer à l'intérieur de la maison en cassant un carreau et Mary l'invite à boire un verre. Les deux jeunes gens aiment se retrouver ensemble et Lee finit par demander la main de Mary mais celle-ci se montre paniquée et lui demande de lire la lettre qu'il recevra le lendemain  ...


The years like great black oxen tread the world and God the Herdsman goads them on behind. W.B. Yeats

Clara Bow a un rôle qu'on lui voit souvent ces années là, la flapper, la jeune femme délurée qui flirte, fume et boit sans vergogne. Elle jette son dévolu sur Lee qui lui dit en la raccompagnant un soir qu'il l'a trouvée dans la rue à bord d'une voiture qui a provoqué un accident, que les jeunes filles de son âge ne l'intéressent pas.

On nous décrit Lee Clavering ainsi : He was thirty-four, unmarried and secretly romantic though outwardly a cynic -- particularly on the subject of woman. Une telle description ne peut qu'éveiller l'intérêt de toutes les spectatrices romantiques !

L'histoire est basée sur la jeunesse éternelle et aussi sur l'amour éternel bien sûr. La jeune femme est en fait une vieille femme qui a suivi un traitement qui lui a permis de rajeunir pour le bien de son pays d'adoption, l'Autriche. Au départ cela semble être le seul leitmotiv. Lorsque les autres femmes se montrent intéressées à suivre la cure de jouvence (en particulier une vieille fille qui aimerait se marier), Mary prétend que ce motif n'est pas suffisant. La vieille femme ricane, car enfin, elle en jouit quand même de sa grande beauté et cela finit par ébranler les convictions de Mary. Mais bien vite Lee la rassure car les deux jeunes gens ont le droit de s'aimer puisque leur amour est éternel.
On peut se demander si l'histoire ne tente pas de nous convaincre que le fait d'aimer ou de se passionner rendent plus jeune dans le fond. Il manque une bobine et le film finit abruptement. Il faudra donc lire le livre pour connaitre la fin ou savoir ou voulait en venir l'auteur.

23 avril 2013. Comme j'étais curieuse de connaitre la fin construite par l'auteur, je me suis finalement procuré le livre qui ne semble pas avoir été traduit en français (Impossible à trouver).  Les personnages sont évidemment décrits de façon plus poussée. Ainsi apprend-on que Mary est désillusionnée par les hommes en général dont elle n'attend plus rien. Elle se se rend à New York pour vendre ses possessions afin d'aider son pays d'adoption, l'Autriche et ses orphelins. Elle ne comptait pas rester mais ses affaires prennent plus de temps à régler que prévu. Elle s'ennuie à New York et sort au théâtre. Sa vraie identité n'est pas dévoilée et toute la société parle d'elle. Le personnage de Gora Dwight a une certaine importance car il s'agit d'une femme indépendante influente qui a obtenu une position enviée après s'être battue pour s'extraire d'un milieu défavorisé. Clavering vient du sud et représente le preux chevalier défenseur des valeurs de ses ancêtres. De nombreux autres personnages ont de l'importance aussi. Janet est amoureuse depuis l'enfance de Clavering. Elle se comporte en vraie flapper et inquiète son père et sa grand-mère. Elle tente même de se faire épouser en se compromettant, sans succès.
Clavering qui obtient un grand succès en écrivant une pièce de théâtre, est très amoureux de Mary qu'il souhaite épouser. Elle lui avoue que son mariage avec Zatianny n'était pas un mariage d'amour mais de convenances. Après sa mort elle aurait fait la connaissance d'un homme qu'elle aurait admiré beaucoup. Tout cela date d'environ 16 ans, elle a maintenant 58 ans.
Un jour elle réunit ses anciennes amies et leur avoue être Mary, puis leur raconte sa transformation grâce au traitement d'un médecin autrichien. Pour finir elle met Clavering au courant et lui donne un délai pour décider si il veut poursuivre ses plans de mariage. Clavering est tourmenté mais plus amoureux que jamais. Mary repousse toutefois l'annonce du mariage mais une ombre s'approche : Un certain Hohenhauer se rend à New York pour ses affaires. Clavering suspecte que ce homme riche et influent est l'homme dont parlait Mary. Il organise un petit voyage dans la propriété de montagne de Dinwiddie en compagnie d'amis afin de l'éloigner. Mary succombe au charme de la montagne qui l'a vue grandir et accepte la proposition de mariage alors que jusque là elle souhaitait l'épouser en Autriche. Les deux tourtereaux comptent vivre entre les deux continents.
Mais Hohenhauer rencontre Mary et lui demande de le suivre car il a besoin d'elle pour remettre l'Autriche sur pied. Qu'obtiendrait-elle en épousant Clavering ? un époux américain ne lui serait d'aucune utilité pour aider l'Autriche alors qu'à eux deux ils pourraient faire tant de choses. Mary sait qu'il a raison et s'en retourne à New York. Clavering l'y retrouve et sait qu'elle lui a échappé : l'amour ne lui suffit pas, elle a d'autres ambitions. Bon voyage lui dit Clavering à la fin (il n'est nulle part fait mention d'un mariage entre Janet et Clavering dans le livre).
Un livre très sympa à lire !
Quelques portraits de femmes de l'époque sont bien décrits, la mère, la vieille fille, la jeune flapper, etc.

Au final on est un peu partagé par cette fin un peu cruelle : du côté coeur on se dit, ah l'amour ne suffit pas ? tout en souhaitant sincèrement que ce ne soit pas vrai, mais de l'autre, d'une manière cérébrale on sait que ce n'est pas faux. Du coup on compatit pour Clavering ...



Si vous désirez le lire en anglais, ou voir quelques images tirées du film, une bonne adresse :
http://www.gutenberg.org/files/25542/25542-h/25542-h.htm





vendredi 19 avril 2013

Dancing Mothers - Herbert Brenon - 1926


 

Alice Joyce ...
Ethel Westcourt
Norman Trevor ...
Hugh Westcourt
Clara Bow ...
Kittens Westcourt
Conway Tearle ...
Jerry Naughton
Eleanor Lawson ...
Irma
Dorothy Cumming ...
Mrs. Mazzarene
Donald Keith ...
Kenneth Cobb
Leila Hyams ...
Birdie Courtney
Spencer Charters ...
Butter and Egg Man


66 minutes
d'après une pièce d'Edmund Goulding
La soif de vivre


Un père et sa fille reviennent d'un voyage en Europe. Sur le paquebot qui les emmène ils font la connaissance de Jerry Naughton accompagné d'une amie. Kittens et Hugh retrouvent leur femme et mère, Ethel, une ancienne actrice française ayant sacrifié sa carrière pour sa famille. 
Dès leur retour le père et la fille sortent sans modération, le père avec Birdie sa maitresse et la fille avec un vieil ami, Kenneth, puis avec Jerry qu'elle retrouve au cours d'une soirée et duquel elle s'éprend. Pendant ce temps Ethel reste seule à la maison et passe son temps à attendre jusqu'au jour où une vieille amie, Madame Mazzarene, lui conseille de vivre. Ethel décide alors enfin de passer une soirée au Roof Club. Justement ce soir là son mari tente de faire entendre raison à Kittens pour qu'elle rentre à la maison et cesse de voir Jerry. Après que le père et la fille soient partis, Birdie est importunée par un ivrogne et part à son tour.
 Entre temps Ethel se retrouve seule à une table, ses amis étant en train de danser. Jerry en tombe alors amoureux alors qu'Ethel se fait passer pour une française. Celle-ci connaissant la réputation de playboy du jeune homme pense d'abord flirter pour qu'il cesse de voir sa fille mais se laisse charmer à son tour.
Surpris de ne pas trouver sa femme à la maison Hugh apprend qu'elle se trouve au club et revient la chercher. Mais Ethel ne souhaite pas rentrer et après qu'Hugh se soit fâché décide de passer quelques jours chez son amie où Jerry la retrouve.
Un jour qu'elle lui téléphone pour annoncer à Jerry qu'elle ne viendra pas prendre le thé chez lui, elle a la surprise d'entendre sa fille ivre à l'autre bout du téléphone. Elle se rend chez le jeune homme qui croit avoir réussi à se débarrasser de Kittens qui s'incruste malgré lui et lui avoue son amour. Arrive alors Kittens qui découvre sa mère dans les bras de l'homme qu'elle aime ...

Alice Joyce et Dorothy Cumming

Un film très bien construit. Le père et la fille sortent, s’enivrent, flirtent sans vergogne et attendent de leur mère et femme qu'elle les attende à la maison. Après de longs jours de solitude Ethel sort enfin de sa tanière et rencontre un homme qui lui ouvre les yeux sur le comportement de sa fille et de son mari.
A la fin on craint pourtant le pire, que va faire Ethel, va-t-elle retrouver son mari ? En effet en partant chercher ses bagages avant d'embarquer sur le paquebot qui l'emportera sur le vieux continent, le mari l'appelle et lui annonce qu'il lui pardonne. J'ai bien cru que la pauvre Ethel allait tomber dans le panneau, mais non, Ethel s'en va, non sans comprendre que sa fille est aussi égoïste que son mari. Le film sauve les apparences car Ethel s'en va seule, laissant derrière elle les Etats-Unis, sa famille et l'homme qu'elle aime. Chapeau bas, c'est faire preuve d'une grande force de caractère et d'une grande modernité. Évidemment si l'on aime les happy-endings on est un peu frustré par cette fin qui ménage la bienséance car il est bien clair qu'il doit être difficile de laisser le séduisant Conway Tearle derrière soi ! Alice Joyce est magnifique dans ce rôle qui lui va comme un gant. Clara Bow est tout à fait à l'aise dans ce rôle de jeune fille gâtée et égoïste. Dorothy Cumming est l'amie fidèle et Donald Keith est le vieux copain de Kittens.






mardi 14 août 2012

Plastic Age (The) - Wesley Ruggles - 1925


Donald Keith... Hugh Carver
Mary Alden... Mrs. Carver
Henry B. Walthall... Henry Carver

Gilbert Roland... Carl Peters

Clara Bow... Cynthia Day
David Butler... Coach Henley

ainsi que de nombreux extras qui deviendront célèbres, parmi lesquels Clarke Gable, Bill Eliott, Janet Gaynor, Carole Lombard

73 minutes


Les parents d'Hugh (Keith) sont des gens respectables. La mère (Alden) lui prépare son sac avec amour et son père (Walthall) vient lui apporter quelques derniers conseils masculins avant son départ pour le College de Prescott où il va entamer sa première année. Hugh est un grand sportif, son père tient à ce qu'il brille à Prescott.
A Prescott, Hugh partage la chambre de Carl Peters (Gilbert), un jeune homme qui semble avoir de nombreuses conquêtes féminines à son actif qui a accroché la photo de chaque fille qu'il a embrassé au moins deux fois. La plus populaire semble être Cynthia Day (Bow) une jolie jeune fille aimant faire la fête.
Lors d'une soirée de bizutage, Hugh est propulsé en chemise de nuit dans le campus des filles. Il fait la connaissance de Cynthia qui lui plait aussitôt. Cynthia de son côté ne semble pas indifférente au jeune homme avec lequel elle commence à sortir. Après le premier semestre les notes d'Hugh sont en nette baisse et il ne fait guère de prouesses en sport, au grand désespoir du coach (Butler) qui misait gros sur ses capacités...



Un film gentil et nunuche qui se passe sur un campus. Les choses ne changent probablement guère, les premiers émois amoureux, la rivalité entre jeunes gens, les premiers pas loin de la maison, les parents qui souhaitent que leurs enfants réussissent. La mère protège son fils et le père se montre sévère. Le monde professoral n'est pas décrit et tout le monde est heureux à la fin grâce à la victoire de l'équipe de Prescott, comme si cela suffisait pour atteindre le bonheur. Mais il est vrai qu'entre temps chacun aura trouvé sa voie et sa place dans la société !
On retrouve tous les clichés qui nous seront rabâchés des décennies plus tard,  avec le jeune homme un peu bêbête incarné par Donald Keith, le jeune expérimenté (enfin, un peu plus que le précédent) joué par Gilbert Roland et la jeune fille pas très sage mais qui a le coeur sur la main sous les traits de Clara Bow, toujours aussi attachante et mignonne. Pour elle le film vaut le détour, ou pour Henry B. Walthall ou David Butler (deux acteurs que j'apprécie beaucoup mais qu'on ne voit que quelques minutes), pour le reste on peut passer sans peine.





mercredi 8 août 2012

Primrose Path (The) - Harry O. Hoyt - 1925




Wallace MacDonald ...
Bruce Armstrong
Clara Bow ...
Marilyn Merrill
Arline Pretty ...
Helen
Stuart Holmes ...
Tom Canfield
Pat Moore ...
Jimmy Armstrong
Tom Santschi ...
Big Joe Snead
Lydia Knott ...
Mrs. Armstrong
Templar Saxe ...
Dude Talbot


60 minutes

Bruce (MacDonald) est un jeune playboy qui suit le chemin de la facilité (Primrose Path). Le soir il sort, boit et joue. Son alcoolisme a déjà provoqué un accident qui a rendu son petit frère Jimmy (Moore) handicapé d'une jambe. Malgré tout, les deux garçons restent proches de leur mère aimante (Knott).
Tom Canfield (Holmes) est un tricheur qui possède une boîte de nuit qui rencontre un joli succès. Il ne tarde pas à se rendre compte que les reconnaissances de dettes signées par Bruce sont des faux. Il propose donc à Bruce de lui rendre un petit service. Il s'agit d'aller au port rencontrer Dude Talbot (Saxe), un contrebandier qui apporte des diamants par bateau. Comme tous les hommes de la bande sont surveillés, Bruce a de bonnes chances de pouvoir s'approcher de Dude pour échanger sa canne qui contient les diamants au nez et à la barbe des agents fédéraux qui soupçonnent Dude. Son homme de main Snead (Santschi) fait diversion pour faciliter l'opération.
Alors que les diamants sont rapportés à Canfield une altercation éclate entre lui et Snead qui lui donne un magistral coup de poing. En tombant Canfield se tue sur les chenets de la cheminée. Dude et Snead prennent la fuite et Bruce ne doit son salut qu'à la présence d'esprit de Marilyn (Bow), la star de la boîte qui l'entraine dans sa loge. Plus tard, Snead se rend chez Bruce pour récupérer les diamants qui ont été escamotés par Dude lors de l'accident. Il ne croit pas un mot des explications données par Bruce et les deux hommes se battent violemment. En désespoir de cause, Bruce sort un revolver et abat Snead.
Il est aussitôt arrêté ....



Ce film que l'on peut trouver édité chez Synergy Archive Series n'a pas une image très nette. Comme l'action est constante ce n'est pas trop dérangeant. La musique d'accompagnement n'est pas mauvaise non plus. Le petit Pat Moore apporte beaucoup au film grâce à sa présence très attachante.
Wallace MacDonald est un acteur séduisant qui a beaucoup tourné, dans de nombreux genres de films.
Clara Bow se montre sous l'aspect d'une chic fille qui fera tout ce qu'elle peut pour aider l'homme qu'elle aime. Lydia Knott est le genre de femme que vous souhaiteriez comme mère. Un air de grande douceur et de gentillesse, un peu du genre d'Edythe Chapman.
Tom Santschi est toujours imposant dans sa manière de traiter ses rôles. Sûr de lui et possessif, il incarne avec sérieux et autorité un homme qui sait où il va. Le nom du bateau sur lequel se trouve Dude et les diamants est le LUCERNE. Étonnant, ce n'est pas un nom de bateau usuel. Je me demande si ce n'est pas Tom Santschi qui aurait soufflé ce nom, lui qui est né dans cette ville en 1878 ? Un acteur pionnier du cinéma mort prématurément en 1931 à l'age de 50 ans à la filmographie impressionnante.
Je ne sais pas qui joue le rôle du chorégraphe des danses des filles de la boîte de nuit, mais il est excellent. Ses mimiques sont parfaitement compréhensibles et drôles !

Bref, il y a de l'action et aussi des scènes touchantes : le petit frère comme mentionné plus haut et des détails simples mais assez percutants (la tranche de gâteau d'anniversaire qui attend Bruce avec une petite bougie ou le petit garçon qui tente de remonter le moral de son frère en prison et qui fait croire qu'il n'a plus besoin de l'appareillage qui l'aide à marcher) il y a des acteurs hors pairs (pour s'en convaincre il suffit de regarder Clara Bow les yeux pleins de larmes en regardant l'homme qu'elle aime sur le point de s'enfoncer dans l'illégalité ou Lydia Knott fière de ses deux garçons et qui reste digne quoi qu'il arrive, sans parler des acteurs mentionnés plus haut !)

dimanche 19 février 2012

Mantrap - Victor Fleming - 1926



Clara Bow ...
Alverna
Ernest Torrence ...
Joe Easter
Percy Marmont ...
Ralph Prescott
Eugene Pallette ...
E. Wesson Woodbury
Tom Kennedy ...
Curly Evans
Josephine Crowell ...
Mrs. McGavity
William Orlamond ...
Mr. McGavity
Charles Stevens ...
Lawrence Jackfish (Indian Guide)
Miss DuPont ...
Mrs. Barker
Charlotte Bird ...
Stenographer


71 minutes

Dans le cabinet de Ralph Prescott (Marmont) un avocat spécialisé en divorce qui semble avoir beaucoup de succès avec les dames. Alors que l'une de ses clientes lui fait du pied il craque et s'enfuit par une porte dérobée. Son voisin de palier un certain Woodbury (Pallette) lui recommande de l'accompagner au Minnesota dans un endroit appelé Mantrap au bord d'un lac. Ralph fait les achats nécessaires à la vie en plein air en compagnie de Woodbury. Pendant ce temps à Mantrap Joe Easter (Torrence) qui tient le magasin local n'en peut plus et ne souhaite qu'une chose : changer d'air et voir des filles. Il se rend donc à Minneapolis où il fait la connaissance d'Alverna (Bow), une jeune manucure qui le drague impunément chez le coiffeur. 

Woodbury et Ralph sont arrivés et campent près de Mantrap mais l'ambiance n'est pas au beau fixe, il pleut et Ralph renverse le chaudron contenant leur repas. Les deux hommes en viennent aux mains mais un homme les sépare : Joe Easter qui est maintenant de retour et qui suggère à Ralph d'habiter à Mantrap. Ralph n'en croit pas ses yeux lorsqu'il découvre Alverna sur le ponton du magasin et Joe lui présente sa femme qu'il a rencontré peu de temps auparavant à Minneapolis. Très vite Alvy se montre fortement intéressée par Ralph et d'ailleurs aussi par le peu d'hommes des environs ....



Une comédie enlevée qui repose sur les épaules de Clara Bow plus attractive que jamais. Jouant des yeux et du sourire, elle emballe tous les hommes de la petite communauté. Même le sérieux Ralph a de la peine à lui résister et d'ailleurs finira par se laisser lui aussi embobiner ...
La partie où Joe se retrouve tout seul est poignante, en effet l'occasion ne nous est pas donnée très souvent de voir Ernest Torrence dans un rôle d'homme sympathique. Ici il se montre affable et touchant. Percy Marmont possède un charme particulier et peu commun. Presque trop mince, le visage émacié son charme n'apparait pas de prime abord. Celui d'Ernest Torrence non plus, notez !
La soirée organisée en l'honneur de Ralph est très drôle grâce aux personnages personnages qui sont invités : M. et Mme McGavity, Curly le Mountie, et des locaux plus vrais que nature.
Mais comment faire face à la tornade Clara, séductrice en diable ? Visiblement rien ni aucun homme ne lui résiste et bien qu'elle se montre dans le fond peu fidèle à son mari Joe, personne ne semble lui en vouloir, au contraire même, tout le monde semble trouver normal de laisser la nature d'Alvy s'exprimer librement !

A noter : les paysages magnifiques des lieux de tournage.

Mantrap MN se trouve à 196 miles (4 heures de voiture de nos jours) de Minneapolis !



samedi 18 février 2012

Empty Hearts - Alfred Santell - 1924



John Bowers ...
Milt Kimberlin
Charles Murray ...
Joe Delane
John Miljan ...
Frank Gorman
Clara Bow ...
Rosalie
Buck Black ...
Val Kimberlin
Lillian Rich ...
Madeline
Joan Standing ...
Hilda, the maid

60 minutes mais vu seulement 15 minutes (retrouvées ou disponibles pour l'instant ? 18.02.2012)

Milt (Bowers) est tombé amoureux de Rosalie (Bow), une danseuse de cabaret. Il l'épouse et des revers de fortune les force à vivre de manière chiche. Deux ans plus tard Rosalie qui a donné naissance à un bébé fait ses adieux à son mari et à son enfant si chéris et meurt. Milt est désespéré ...

Quelle frustration que ce film qui s'arrête pile poil après la mort de Rosalie après la deuxième bobine. Toutefois ce film nous laisse entrevoir Clara Bow dans le rôle d'une sirène découvrant un coffre à trésor au fond de la mer qu'un plongeur vient lui retirer : La mise en scène du spectacle est pour le moins originale, et j'avoue que c'était fort bien fait !

mardi 4 octobre 2011

Free to Love - Frank O'Connor - 1925




Clara Bow ...
Marie Anthony
Donald Keith ...
Rev. James Crawford
Raymond McKee ...
Tony
Hallam Cooley ...
Jack Garner
Winter Hall ...
Judge Orr
Charles Hill Mailes ...
Kenton Crawford

60 minutes

Marie Anthony (Bow), une jeune orpheline est envoyée dans une maison de correction alors qu'elle est innocente. Deux ans plus tard elle revient dans la ferme intention de se venger du juge qui l'a condamnée et se rend à son domicile avec un revolver. Le juge Orr (Hall) fait amende honorable et se montre sincèrement désolé car il a depuis pris connaissance de nouveaux faits innocentant Marie. Elle n'arrive finalement pas à tirer mais un bandit, Garner (Cooley), venu lui aussi dans de mauvaises intentions,  surprend la conversation et croit que Marie va le débarrasser du juge à sa place. Comme finalement elle n'arrive pas à passer à l'acte, le juge propose à Marie de parfaire son éducation et de rester avec lui, ce que Marie accepte. Elle fait ensuite la connaissance du Révérend James Crawford, le voisin dont le père est ami avec le juge Orr. Les deux jeunes gens se plaisent et James propose à Marie de l'aider à créer un foyer pour déshérités, ce que Marie accepte. Elle distribue à chacun beaucoup de tendresse mais bientôt il s'avère que Garner est un voleur qui vent ses larcins au père de James ...



Je suis étonnée de voir la note donnée sur IMDB à ce film, j'aurais donné davantage car ce film est un vrai écrin qui met en valeur Clara Bow, qui s'y montre touchante dans sa détermination à sauver celui qu'elle aime du scandale. L'action se laisse suivre sans temps mort. Il y a aussi Tony le bossu, joué par Raymond McKee qui donne une excellente prestation. Edité chez Grapevine, l'image saute quelquefois, mais le tout est bien restauré.



dimanche 24 juillet 2011

Hula - Victor Fleming - 1927






Clara Bow... Hula Calhoun
Clive Brook... Anthony Haldane
Arlette Marchal... Mrs. Bane
Arnold Kent... Harry Dehan
Patricia Dupont... Margaret Haldane
Albert Gran... Old Bill Calhoun
Agostino Borgato... Uncle Edwin

64 minutes

Dans une île des mers du sud, Hula (Bow), la fille d'un propriétaire de ranch élevée par le contremaître de son père après le décès de sa mère, vit comme une sauvageonne en passant son temps à se baigner nue dans l'eau, à monter à cheval; elle trouve davantage d'intérêt à se retrouver avec les employés du ranch qu'à passer du temps dans les soirées organisées par son père où se retrouvent pour jouer au bridge quelques notables de l'île. Le jour de l'anniversaire d'Hula, un nouvel arrivant fait son apparition, un ingénieur venu construire un barrage dans l'île, Anthony Haldane (Brook). Celui-ci est tout de suite repéré par Mme Bane (Marchal) qui jette son dévolu sur lui et déploie tous ses charmes pour l'intéresser à elle. Mais Hula elle aussi éprouve une grande attraction pour Anthony et compte bien se faire remarquer par le séduisant ingénieur. Dès lors tous les coups sont permis, mais les deux femmes ignorent qu'Anthony est déjà marié ...



Ouh là, un film qui commence très fort avec une scène très sensuelle montrant Hula se baignant nue au milieu de la jungle et qui sort lascivement une jambe pour cueillir une fleur ...et qui se fait piquer la cuisse par une guêpe !
La principale attraction de ce film sensuel est bien sûr Clara Bow, que l'on voit de plus danser en petite tenue légère de vahiné. Pour les dames on a l'occasion de voir le séduisant Clive Brook, très attractif lui aussi. Le scénario est un peu tiré par les cheveux et pas vraiment intellectuel (difficile de concilier intellectuel et sensuel !) mais on ne s'ennuie pas une seconde du tout !









samedi 19 février 2011

Wild Party - Dorothy Arzner - 1929



Clara Bow ...
Stella Ames
Fredric March ...
James 'Gil' Gilmore
Marceline Day ...
Faith Morgan
Shirley O'Hara ...
Helen Owens
Adrienne Dore ...
Babs (as Adrienne Doré)
Joyce Compton ...
Eva 'Evie' Tutt
Jack Oakie ...
Al
Jack Luden ...
George

Dans un collège, des filles emmenées par Stella (Bow) s'intéressent plus à faire la fête ou à leur apparence qu'à étudier. Très déshabillées, ces demoiselles se rendent dans un bal masqué où elles sont mal reçues. Pour pimenter la soirée, les jeunes filles se rendent dans un espèce de restauroute. Les consommateurs ne tardent pas à vouloir s'approcher d'un peu trop près et les jeunes filles s'enfuient, sauf Stella, coincée par un ivrogne. Le professeur Gilmore (March), alerté par les autres filles vient à la rescousse et sauve la demoiselle en détresse. Stella tombe amoureuse de Gil qui tente de la mener sur le droit chemin ...



Ouh là, ça ne vole pas très haut. Les filles ont l'air un peu trop mûres ... Clara Bow est encore bien mignonne, sa voix passe très bien, mais le sujet n'est pas passionnant et la fin est très prévisible. 
Fredric March porte la moustache, ce qui le vieillit un peu mais pas assez. Étonnant toutefois, le scénario avec ce Professeur qui tombe amoureux de l'élève et ne peut lui résister et qui lâche tout pour elle.... ça ressemble assez à un fantasme d'écolière !
Par contre, chouettes toilettes portées par Clara Bow !
Un film qui manque de consistance et qui ne restera pas dans les annales.







Titres français (incomplet)

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